eloso12;4607109 a dit :
C'est un très bon début... mais ce n'est pas suffisant.
Après je ne connais pas trop les statistiques aux Etats-Unis.
J'ai vécu ça dans un temps pas si lointain... Et ce n'est pas forcément lorsque l'on est totalement ivre, droguée ou je ne sais quoi qu'on se fait violer. Le viol peut très bien être fait par des personnes que l'on connait!
Et je pense qu'il faut aussi faire de la prévention là-dessus (bon j'n'ai pas d'idée sur le comment).
Après je pense qu'il faut aussi agir sur l'encadrement... Il n'y a rien de pire que d'être prise pour une menteuse par les autorités. Faut pas s'étonner que très peu de personne porte plainte après....
Sinon, très bon début et ça serait cool d'avoir ce relais d'infos en France!
Je réagis (un peu tard
![:p :P :P](https://forum.mmzstatic.com/smilies/razz.gif)
) par rapport au propos en gras parce que dans le contexte étudiant américain, ce n'est pas du tout contradictoire, bien au contraire. Les étudiantes, la plupart du temps, connaissent leur agresseur puisqu'ici, on parle d'agressions qui ont lieu dans les campus universitaires, donc les lieux de vie des étudiants et notamment lors de fêtes organisées par les fraternités. On parle donc d'endroits où les victimes sont amenées à croiser et recroiser leurs agresseurs, rien à voir donc avec le mythe sur le viol qui veut que la victime soit agressée dans une ruelle sombre par un parfait inconnu.
Pour plus d'infos, je t'invite à lire
cet article d'Antisexisme intitulé
Alcool, fêtes & viol – les fraternités étudiantes aux États-Unis qui est le troisième d'un ensemble enquêtant sur les sociétés sans viol et les sociétés enclines au viol. Elle y montre notamment quel rôle stratégique tient l'alcool dans le contexte de fraternités machistes.