Sincèrement... Je n'ai pas dévoré celui-là comme les autres. C'était la première fois que je plongeais vraiment dans la résistance, parce que c'est une chose dont on ne parle jamais, contrairement à la Shoah, par exemple.
Il ne m'a néanmoins pas passionnée tout du long, je l'ai trouvé plat. Il y avait à la fois trop et pas assez de détails, juste trop pour qu'on le lache, juste pas assez pour qu'on ait envie de tourner la page. J'ai lu les cinquantes dernières pages d'une traite, quand même, pour savoir si la fin serait aussi injuste que le reste.
Vraiment, Marc Lévy, je l'aime quand il écrit de jolies histoires qui font battre mon coeur de midinette.