Boudiou.
Déjà, pour celles qui ont eu recours à une IVG et qui en ressentent encore une certaine fragilité, je déconseille la lecture des paroles. Moi qui l'ai vécu il y a 10 ans et qui l'ait assez bien vécu, j'ai quand même être frappée par certains passages.
Ce qui me met mal à l'aise, et peut-être par ignorance d'ailleurs c'est qu'on y sent une IVG contrainte: l'amour de la narratrice semble tout à fait personnifié pour son fils (identifier le sexe est déjà une étape qui n'a aucune concordance chronologique sauf à faire une IMG liée à des soucis de santé, non?) et les regrets si forts qu'on dirait que cette IVG n'est presque pas un choix ou alors lié à un traumatisme que l'on sent très fort pour la maman.
Je partage le malaise, voire la colère que l'on peut ressentir à la lecture de ce texte.