Pareil, je comprends pas cette mode actuelle de ce genre d'article, présenter les enfants comme des petits monstres.
Commentaires sur Boomer VS enfants en vacances : qui est le plus insupportable ?
- Initiateur de la discussion Chloe Genovesi Fluitman
- Date de début
@LavraiLilith marrant comme on a une lecture différente de l'article.
Quand tu dis ça (tu me dis si je dois retirer la citation, je n'ai rien vu sous ton pseudo) :
Les grands-parents dont on parle ici ne s'occupent pas des petits-enfants, ils vivent leur vie, parfois au détriment des enfants. Elle ne se plaint pas du fait que les grands-parents s'en occupent mal, mais du fait que les grands-parents ne semblent pas se préoccuper plus que ça du bien-être de leur fille et de leurs petits-enfants, tout en exigeant qu'on respecte le leur et leurs contraintes à eux. L'exemple typique étant justement celui de l'heure du coucher vs l'heure du réveil.
Ce qui, pour un jeune parent qui doit déjà subir le jugement, contraint à une gymnastique mentale éreintante.
Alors oui, dans ce cas-là, on peut toujours ne pas partir en vacances ensemble. Mais ces mêmes grands-parents pourraient alors se plaindre de ne pas assez voir leurs petits-enfants. Et il est même possible que ce soit eux qui demandent à passer des vacances tous ensemble.
Bon, cet article est écrit sur un ton humoristique et soulève une situation rencontrée fréquemment par les parents (on est déjà plusieurs à avoir reconnu une ou deux situations). Evidemment que ça peut bien se passer. Par exemple, en ce qui me concerne, pour les activités culturelles et de visites, il n'y a jamais eu de problèmes. Mais sur le rythme, oui, il y en a eu, et ceux qui subissent, ce sont généralement les parents, pas les grands-parents qui ont imposé un coucher à 23h et qui s'étonnent d'avoir des petits-enfants pleurnichards le lendemain.
Quand tu dis ça (tu me dis si je dois retirer la citation, je n'ai rien vu sous ton pseudo) :
Je trouve que ce n'est pas ce que dit l'article.
Les grands-parents dont on parle ici ne s'occupent pas des petits-enfants, ils vivent leur vie, parfois au détriment des enfants. Elle ne se plaint pas du fait que les grands-parents s'en occupent mal, mais du fait que les grands-parents ne semblent pas se préoccuper plus que ça du bien-être de leur fille et de leurs petits-enfants, tout en exigeant qu'on respecte le leur et leurs contraintes à eux. L'exemple typique étant justement celui de l'heure du coucher vs l'heure du réveil.
Ce qui, pour un jeune parent qui doit déjà subir le jugement, contraint à une gymnastique mentale éreintante.
Alors oui, dans ce cas-là, on peut toujours ne pas partir en vacances ensemble. Mais ces mêmes grands-parents pourraient alors se plaindre de ne pas assez voir leurs petits-enfants. Et il est même possible que ce soit eux qui demandent à passer des vacances tous ensemble.
Bon, cet article est écrit sur un ton humoristique et soulève une situation rencontrée fréquemment par les parents (on est déjà plusieurs à avoir reconnu une ou deux situations). Evidemment que ça peut bien se passer. Par exemple, en ce qui me concerne, pour les activités culturelles et de visites, il n'y a jamais eu de problèmes. Mais sur le rythme, oui, il y en a eu, et ceux qui subissent, ce sont généralement les parents, pas les grands-parents qui ont imposé un coucher à 23h et qui s'étonnent d'avoir des petits-enfants pleurnichards le lendemain.
Cet article me parle tout à fait 
Mon père ne comprend pas que je ne veuille pas partir en vacances avec eux et ma fille... mais vu la difficulté de concilier les envies de mes parents et les besoins de ma fille, je sais qui se ferait ruiner ses vacances en tentant l'expérience = moi.
Comme l'auteure de l'article, personne ne se demanderait quelle sortie je veux faire, a quelle heure je veux me réveiller ou me coucher, ce que je veux manger... Par contre il faudrait que je me torde les méninges pour trouver l'activité qui plaise à tout le monde, le menu qui ira au plus grand nombre, l'horaire de resto qui ira avec l'horaire de la sieste ET de l'apéro. Et que j'essaie de convaincre mes parents qu'ils sont sensés être plus matures que ma fille donc faire eux, plus d'entorses à leurs envies/besoins.
Bref, double de charge mentale alors que sur le papier, mes parents me vendent qu'ils seront un super relai (parce que c'est peut être ça sui manque de l'analyse de certaines lectrices : souvent les GP expliquent qu'ils vont aider et tout. Sauf que non, ils vont.jouer avec les enfants aux horaires où ceux ci sont "faciles" (et pourraient jouer seuls) mais seront à l'apéro pendant le tunnel du soir et feront la grasse mat le matin. Ils ont le droit hein, mais dans ce cas là il ne faut pas se considérer comme un "relai").
Enfin j'adoooore mes parents, mais clairement, je vais en week end chez eux car je ne m'attends pas à des vacances. si l'objectif c'est que je me repose un minimum et que j'en profite aussi, c'est pas avec eux et ma fille que je pars !
Bref, courage à l'autrice de l'article et n'hésite pas à déposer tes enfants en vacances chez leurs GP si ceux ci ont vraiment trop envie de les voir ^^
Mon père ne comprend pas que je ne veuille pas partir en vacances avec eux et ma fille... mais vu la difficulté de concilier les envies de mes parents et les besoins de ma fille, je sais qui se ferait ruiner ses vacances en tentant l'expérience = moi.
Comme l'auteure de l'article, personne ne se demanderait quelle sortie je veux faire, a quelle heure je veux me réveiller ou me coucher, ce que je veux manger... Par contre il faudrait que je me torde les méninges pour trouver l'activité qui plaise à tout le monde, le menu qui ira au plus grand nombre, l'horaire de resto qui ira avec l'horaire de la sieste ET de l'apéro. Et que j'essaie de convaincre mes parents qu'ils sont sensés être plus matures que ma fille donc faire eux, plus d'entorses à leurs envies/besoins.
Bref, double de charge mentale alors que sur le papier, mes parents me vendent qu'ils seront un super relai (parce que c'est peut être ça sui manque de l'analyse de certaines lectrices : souvent les GP expliquent qu'ils vont aider et tout. Sauf que non, ils vont.jouer avec les enfants aux horaires où ceux ci sont "faciles" (et pourraient jouer seuls) mais seront à l'apéro pendant le tunnel du soir et feront la grasse mat le matin. Ils ont le droit hein, mais dans ce cas là il ne faut pas se considérer comme un "relai").
Enfin j'adoooore mes parents, mais clairement, je vais en week end chez eux car je ne m'attends pas à des vacances. si l'objectif c'est que je me repose un minimum et que j'en profite aussi, c'est pas avec eux et ma fille que je pars !
Bref, courage à l'autrice de l'article et n'hésite pas à déposer tes enfants en vacances chez leurs GP si ceux ci ont vraiment trop envie de les voir ^^
@Cafédusoir c’est vrai qu’attendre de l’aide de personnes qui réclament les enfants et qui invoquent le fait qu’ils vont vous aider pour vous convaincre c’est CULOTTÉ QUAND MÊME. Raaah.
Sur le fait que dans la situation présentée par l'article les grands-parents râlent parce que leurs petits-enfants font du bruit très tôt du matin alors qu'eux auraient aimé dormir parce 1/ Ils se sont couchés tard et 2/ Ils sont en vacances, beaucoup ironisent parce que ce ne sont pas les enfants qui vont faire la loi, encore heureux qu'on ne s'aligne pas sur leurs horaires etc.
Spoiler : les adultes qui ne vivent pas avec un enfant et qui se permettent de bouleverser son rythme pour leur bon plaisir pour ensuite râler parce que "mais pourquoi il est réveillé à 5h du mat !?", "pourquoi il est grognon ?", "pourquoi il ne fait pas sa sieste bon sang, il est déjà 15h ?" sont beaucoup, BEAUCOUP plus nombreux qu'on ne le pense
Et non, ce n'est pas la faute des enfants et non plus celle de leurs parents qui se retrouvent pris entre deux feux ("normalement mon enfant est censé se coucher tôt mais mes parents me font la morale parce qu'ils voudraient l'avoir avec eux tard le soir...puis ils gueulent le lendemain parce qu'il est agité").
Je prends mon exemple : je couche mon fils de trois mois à 20h et il se réveille le lendemain à 8h. Le matin il fait une sieste de 2h30, pareil l'après-midi puis environ 1h de sieste légère entre le goûter et le dîner. Si on le couche après 20h, il a du mal à s'endormir. Si on loupe une de ses trois siestes, même celle de seulement 1h en fin de journée, il pleure. Et ça on le sait peu quand on n'a pas d'enfants et moi-même je ne m'en rendais pas compte il y a trois mois mais un enfant qui est éveillé ET excité/énervé, hors maladie, est un enfant fatigué.
Avec mon mari on se fait traiter de tyrans par sa famille parce qu'on OSE coucher notre fils aux heures prévues et qu'on refuse qu'il reste avec nous. Et les deux fois où on a cédé, eh bien on a eu droit à un bébé qui pleurait de fatigue et ma belle-famille qui d'un seul coup nous enjoignait à le mettre au lit
Et vous savez ce qu'on a fait ? On a demandé un coup de main parce qu'il pleurait énormément et qu'on n'arrivait pas à le calmer. Et personne n'a voulu nous aider.
On entre dans un cercle vicieux où en tant que parents on suit le schéma suivant :
Couchers à heures fixes = Enfant reposé = Enfant calme = Gens contents, youpi.
et où beaucoup de personnes nous imposent l'autre schéma :
"Nan mais on veut le garder encore un peu" = Enfant fatigué = Enfant agité = "Mais c'est un vrai chiard ton gosse".
Spoiler : les adultes qui ne vivent pas avec un enfant et qui se permettent de bouleverser son rythme pour leur bon plaisir pour ensuite râler parce que "mais pourquoi il est réveillé à 5h du mat !?", "pourquoi il est grognon ?", "pourquoi il ne fait pas sa sieste bon sang, il est déjà 15h ?" sont beaucoup, BEAUCOUP plus nombreux qu'on ne le pense
Et non, ce n'est pas la faute des enfants et non plus celle de leurs parents qui se retrouvent pris entre deux feux ("normalement mon enfant est censé se coucher tôt mais mes parents me font la morale parce qu'ils voudraient l'avoir avec eux tard le soir...puis ils gueulent le lendemain parce qu'il est agité").Je prends mon exemple : je couche mon fils de trois mois à 20h et il se réveille le lendemain à 8h. Le matin il fait une sieste de 2h30, pareil l'après-midi puis environ 1h de sieste légère entre le goûter et le dîner. Si on le couche après 20h, il a du mal à s'endormir. Si on loupe une de ses trois siestes, même celle de seulement 1h en fin de journée, il pleure. Et ça on le sait peu quand on n'a pas d'enfants et moi-même je ne m'en rendais pas compte il y a trois mois mais un enfant qui est éveillé ET excité/énervé, hors maladie, est un enfant fatigué.
Avec mon mari on se fait traiter de tyrans par sa famille parce qu'on OSE coucher notre fils aux heures prévues et qu'on refuse qu'il reste avec nous. Et les deux fois où on a cédé, eh bien on a eu droit à un bébé qui pleurait de fatigue et ma belle-famille qui d'un seul coup nous enjoignait à le mettre au lit
Et vous savez ce qu'on a fait ? On a demandé un coup de main parce qu'il pleurait énormément et qu'on n'arrivait pas à le calmer. Et personne n'a voulu nous aider.
On entre dans un cercle vicieux où en tant que parents on suit le schéma suivant :
Couchers à heures fixes = Enfant reposé = Enfant calme = Gens contents, youpi.
et où beaucoup de personnes nous imposent l'autre schéma :
"Nan mais on veut le garder encore un peu" = Enfant fatigué = Enfant agité = "Mais c'est un vrai chiard ton gosse".
@Iroise Merci pour ton message c'est super éclairant. Moi qui suis CF et aurais comme réflexe de dire "on va pas arrêter de vivre et penser nos faits et gestes en fonction d'un môme non mais", ça parait logique maintenant que tu le décris comme ça. Et ça parait complètement dingue que des adultes qui ont déjà été parents ne soient pas au courant / oublient ce genre de détails juste par caprice au lieu de respecter le rythme de l'enfant. Enfin je suppose qu'à l'époque on les trimballait comme on voulait et osef si ça pleurait plus. Ça parait logique que les "structures" de ce type soient importantes à respecter et compliquées à bouleverser sans impact sur l'humeur du môme. Les parents sont quand même les mieux placés pour savoir quel est le rythme de leur enfant et quels impacts attendre si on nique son train-train.
Mais du coup c'est à partir de quel moment qu'on arrête de raisonner en fonction des besoins de seul cherichou et son rythme circadien de fragile et qu'on commence à expliquer que "scoop, en société parfois c'est toi qui t'adapte à la majorité ?" C'est progressif je suppose ? Btw, c'est à partir de quel moment qu'un môme est suffisamment intelligent pour capter que chuchoter c'est possible et que ça va pas l'amputer ?
Mais du coup c'est à partir de quel moment qu'on arrête de raisonner en fonction des besoins de seul cherichou et son rythme circadien de fragile et qu'on commence à expliquer que "scoop, en société parfois c'est toi qui t'adapte à la majorité ?" C'est progressif je suppose ? Btw, c'est à partir de quel moment qu'un môme est suffisamment intelligent pour capter que chuchoter c'est possible et que ça va pas l'amputer ?
Dernière édition :
@Patacha vers 5 ans déjà ça s’assouplie pas mal même si non deso on va pas coucher la petite à 21:00 ou plus hors exceptions sinon elle est hyper crevée le lendemain et non seulement elle est reloue mais en plus elle elle en chie et elle est pas bien non plus. Idem je skippe rarement la sieste du deuxième car si il dort bien il est de bonne humeur et facile à gérer, si il dort pas il est infernal et ça se voit clairement qu’il est pas bien. C’est pas pour faire chier ni parce qu’on est rigides, c’est juste que sinon l’enfant est pas bien et en plus il va être très pénible. Donc si mon enfant peut être en forme, et qu’on passe une bonne journée, je préfère passer pour un tyran.
Par contre en journée à 5 ans ca devient hyper flexible et je pense que à 7 ans avec l’âge de raison ca doit être super cool.
Par contre en journée à 5 ans ca devient hyper flexible et je pense que à 7 ans avec l’âge de raison ca doit être super cool.
Ahaha, la naïveté des jeunes parents, souvenir émue de moi-même et mon mari en mode galériens, avec ma fille de 6 mois en larmes à 5h du matin en essayant de la calmer/divertir sans faire trop de bruit pour ne pas réveiller mes parents. Mes parents qui nous avaient convaincus de passer un weekend-end ensemble dans le sud, en disant qu'ils s'occuperaient de ma petite pour nous permettre de faire une grasse matinée. Ils se sont réveillés à 9h, en disant qu'ils ont été dérangés, et elle tôt dis-donc, quoi c'est comme ça tous les jours et on avait été prévenus, etc. Et ma mère qui comprends pas qu'on veuille plus partir en vacances avec eux
@Patacha ça dépend des enfants, mais notre fille de 3 ans ne fait quasi plus la sieste, donc si on veut qu'elle dorme, bah il faut la coucher tôt, donc pas plus de 20:30 et de temps en temps 21h, mais pas plus sinon c'est ingérable. Et fun fact, mais coucher un enfant tard, ne garanti pas du tout un réveil plus tardif, en général c'est même plutôt le contraire
@Patacha ça dépend des enfants, mais notre fille de 3 ans ne fait quasi plus la sieste, donc si on veut qu'elle dorme, bah il faut la coucher tôt, donc pas plus de 20:30 et de temps en temps 21h, mais pas plus sinon c'est ingérable. Et fun fact, mais coucher un enfant tard, ne garanti pas du tout un réveil plus tardif, en général c'est même plutôt le contraire
Dernière édition :
@Whynaute
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@Patacha oui, c'est progressif, ce sont des choses qu'on répète depuis qu'ils sont tout petits, mais ça met du temps à rentrer. Mon fils parle très fort, par exemple, et pourtant ce n'est pas faute de lui répéter de baisser le ton depuis qu'il sait parler.
Il faut aussi qu'ils s'habituent tranquillement à suivre le rythme des activités. Ils ne peuvent pas marcher très longtemps (surtout ma fille) donc on sait que nos activités ne doivent pas dépasser deux heures pour le moment.
Mais je commence à sentir une différence, au restaurant notamment, où ils peuvent maintenant se tenir facilement pendant une heure trente.
Il faut aussi qu'ils s'habituent tranquillement à suivre le rythme des activités. Ils ne peuvent pas marcher très longtemps (surtout ma fille) donc on sait que nos activités ne doivent pas dépasser deux heures pour le moment.
Mais je commence à sentir une différence, au restaurant notamment, où ils peuvent maintenant se tenir facilement pendant une heure trente.
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