Je me souviens avoir porté une paire de sabots plus jeune, quand j'allais à la campagne. C'était confortable dans mes souvenirs, et sans chichi. Dans le coin où j'allais, le style passait au second plan et on privilégiait le confort. Cela me semble être une suite logique après la période après-confinement où les gens ont découvert le confort vestimentaire ; mais ce ne sont pas des chaussures que je porterais partout. Je ne me visualise pas les porter pour prendre le métro et aller travailler à Paris.