-Réadaptation de contes connus, La Belle au bois dormant façon 93, les Aristochats Marseillais, Peter Pan gay (ça peut être trash, mais pas forcément)
-On invente des histoires à partir d'une phrase, par exemple : "Une femme furieuse et en robe rouge sort du bus. A peine son pied posé par terre, elle fonce sur un monsieur, la quarantaine et chapeau de feutre, qui traverse la route hors des clous".
Avec contraintes de signes, sinon on se disperce ! (Disons 3000 signes)
(Pour compter les signes : word -outils -statistiques - nombre signes sans espaces
ou sur internet sur action rédaction)
-On part d'une situation du style : " Bernard n'a jamais aimé les kiwis, ni les tomates. Elle le savait pourtant. Mais tous les jours, parce qu'elle avait la flemme, ou bien pour se venger d'une mesquinerie qu'il lui aurait faite, elle s'acharnait à lui servir ratatouilles et autres spaghettis. Evidemment, Bernard fuyait. Dès que le coucou suisse de l'entrée l'approchait du casse-croûte, il attrapait sa canne. Mais parfois, il n'y pouvait rien : elle le calait bien, coussin derrière et serviette coincée devant. Et ça finissait toujours pareil, avec un kiwi coupé en lamelles dans la petite assiette à dessert offerte par la grand mère.
Et de là, on s'essaie à raconter cette histoire de différentes manières. Tout au présent narratif, tout en discours entre les deux protagonistes, tout en vers, tout en utilisant le champ lexical de la cuisine (ex : elle le bassine, il n'y va pas avec le dos de la cuiller, elle ferait mieux de retourner à ses torchons, il se creuse le citron, etc.)
(Oui, comme les exercices de style de Raymond Quenaud)
-Ecriture automatique. Sans se soucier du style ni même de la forme grammaticale, on laisse aller son stylo à obéir à ce que notre inconscient nous dicte d'écrire. Il faut lâcher prise !
-Cadavre exquis : chacune écrit tour à tour un sujet un verbe, un complément. C'est faisable sans tricher si celle qui écrit son mot le fait en blanc, puis fait suivre en noir ce que la prochaine doit écrire (donc en noir on ne verra que les mots sujet / verbe / complément. Celle qui lit ça efface le mot en noir et le remplace par un mot en blanc. A la fin, on passe tout en noir et on rigole !
Allez mes petites Andrée Breton, on affûte son calame et let's write !
-On invente des histoires à partir d'une phrase, par exemple : "Une femme furieuse et en robe rouge sort du bus. A peine son pied posé par terre, elle fonce sur un monsieur, la quarantaine et chapeau de feutre, qui traverse la route hors des clous".
Avec contraintes de signes, sinon on se disperce ! (Disons 3000 signes)
(Pour compter les signes : word -outils -statistiques - nombre signes sans espaces
ou sur internet sur action rédaction)
-On part d'une situation du style : " Bernard n'a jamais aimé les kiwis, ni les tomates. Elle le savait pourtant. Mais tous les jours, parce qu'elle avait la flemme, ou bien pour se venger d'une mesquinerie qu'il lui aurait faite, elle s'acharnait à lui servir ratatouilles et autres spaghettis. Evidemment, Bernard fuyait. Dès que le coucou suisse de l'entrée l'approchait du casse-croûte, il attrapait sa canne. Mais parfois, il n'y pouvait rien : elle le calait bien, coussin derrière et serviette coincée devant. Et ça finissait toujours pareil, avec un kiwi coupé en lamelles dans la petite assiette à dessert offerte par la grand mère.
Et de là, on s'essaie à raconter cette histoire de différentes manières. Tout au présent narratif, tout en discours entre les deux protagonistes, tout en vers, tout en utilisant le champ lexical de la cuisine (ex : elle le bassine, il n'y va pas avec le dos de la cuiller, elle ferait mieux de retourner à ses torchons, il se creuse le citron, etc.)
(Oui, comme les exercices de style de Raymond Quenaud)
-Ecriture automatique. Sans se soucier du style ni même de la forme grammaticale, on laisse aller son stylo à obéir à ce que notre inconscient nous dicte d'écrire. Il faut lâcher prise !
-Cadavre exquis : chacune écrit tour à tour un sujet un verbe, un complément. C'est faisable sans tricher si celle qui écrit son mot le fait en blanc, puis fait suivre en noir ce que la prochaine doit écrire (donc en noir on ne verra que les mots sujet / verbe / complément. Celle qui lit ça efface le mot en noir et le remplace par un mot en blanc. A la fin, on passe tout en noir et on rigole !
Allez mes petites Andrée Breton, on affûte son calame et let's write !