La puce à orgasme, c'est pour bientôt

[Fab]

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[AnonymousUser]

Je ne comprends pas bien ce besoin que la société essaie de faire rentrer dans le crâne de tous, il faut avoir une sexualité, il faut qu'elle soit absolument épanouie, il faut toujours avoir un orgasme à la fin. C'est hallucinant de voir des projets de recherche focalisés sur cette nécessité de la sexualité la plus parfaite, qu'on souhaite maintenant automatisée.

 

[Karukera]

C'est seulement pour les femmes ce truc? Je trouve ça idiot, les vibromasseurs c'est fait pourquoi alors. Globalement je vois pas l'intérêt.

 

[AnonymousUser]

Je trouve ça triste en fait. Parce que ça va enlever tout le plaisir de la recherche des zones érogènes de l'autre, de ce qui le fait partir au quart de tour etc.

 

[accroche-coeur]

Ouah je m'étais pas encore remise de l'hymen à 15$, quelle matinée.
Ca me fait vachement peur en fait des recherches comme ça, et comme Treize je trouve ça triste.

 

[AnonymousUser]

C'est triste en fait, ça fait vraiment mécanique.

 

[AnonymousUser]

Euh... Il y a eu une expérience réalisée sur des rats (racontée par mon professeur de neurobiologie) avec le même principe. Dans un premier temps les rats, après avoir fait l'association "j'appuie-sur-le-bouton/j'ai-un-orgasme", ont commencé par déclencher très souvent la puce. Puis de plus en plus souvent. Le résultat de l'expérience ? Ces rats sont morts. Obnubilés par leur source de plaisir so intense, ils ne faisaient plus que ça, jouir, si bien qu'ils ont "oublié" de se nourrir.

A méditer.

 

[AnonymousUser]

Référence de l'expérience : Olds et Miner, 1954, je vous mets un lien en français.

Ouverture de l'article qui cause des conséquences observées :

Cette expérience fut bien entendue reprises de nombreuses fois : Schonderreger (1970) montra que l'instinct maternel lui même n'était pas aussi fort que le plaisir procuré par le levier, des mères abandonnant leur nichée pour s'administrer une décharge... Si le sommeil venait, ils s'assoupissaient quelques instants et reprenaient dès le réveil leur activité auto stimulatrice. Plusieurs rats préféraient se priver de nourriture plutôt que d'abandonner le levier. du plaisir jusqu'à en mourir...

 

[AnonymousUser]

Référence de l'expérience : Olds et Miner, 1954, je vous mets un lien en français.

Ouverture de l'article qui cause des conséquences observées :

Ça fait peur... Surtout quand on connaît l'intelligence de ces bestioles.

 

[Nadja__]

Ouais, c'est triste.

 

[AnonymousUser]

Euh... Il y a eu une expérience réalisée sur des rats (racontée par mon professeur de neurobiologie) avec le même principe. Dans un premier temps les rats, après avoir fait l'association "j'appuie-sur-le-bouton/j'ai-un-orgasme", ont commencé par déclencher très souvent la puce. Puis de plus en plus souvent. Le résultat de l'expérience ? Ces rats sont morts. Obnubilés par leur source de plaisir so intense, ils ne faisaient plus que ça, jouir, si bien qu'ils ont "oublié" de se nourrir.

A méditer.

J'avais étudié ça en biologie en seconde, et c'est vrai que c'est assez impresionnant.

 

[AnonymousUser]

Je trouve ça triste en fait. Parce que ça va enlever tout le plaisir de la recherche des zones érogènes de l'autre, de ce qui le fait partir au quart de tour etc.

Je plussoie aussi