C'est arrivé à une amie à moi, et c'était très dur à entendre, car c'était un inceste. Je connais la personne de sa famille qui a fait ça. Je la croise régulièrement, ils plaisantent ensemble, depuis cette confidence je suis dans un autre espace-temps quand je les vois ensemble. Mais je ne dis rien car je sens qu'elle est loin d'être prête à en parler à quelqu'un de sa famille (on doit être 5 à le savoir dans son entourage amical et non familial).
J'ai fais une grosse erreur à l'époque, que je vous incite à ne pas faire : j'ai conseillé plusieurs fois à mon amie d'aller voir un psy, je lui ai dis que j’appellerais pour elle, que j'en connaissais un vraiment bien (encore pire, il n'était donc pas neutre à ses yeux), j'étais persuadée que c'est grâce à ça qu'elle sortirait de ce traumatisme.
Au final elle a fait une séance, ça c'est mal passé et n'est plus jamais retournée voir un psy.
Je m'en veux toujours pour ça (j'avais 16 ans et j'étais très peu informée à ce sujet)
Le cas de l'inceste est un autre cas très délicat à aborder.