Il ne faut pas oublier que dans cette étude,
c'est la facon dont l'écologie est genrée qui détermine les comportements des hommes (et femmes) : rose/violet filles, bleu/noir garcon. Au final c'est comme des brosses à dents pour hommes/femmes ou n'importe quel autre produit. C'est purement du marketing genré et certain.e.s se conforment aux stéréotypes en vigeur, CQFD (j'ai pas écrit CQFD en 2018, no please)
Il faut laisser tomber complet ces histoires d'identité(s) "féminine(s))" ou d'identité(s) "masculine(s)". Ca suffit de ces hommes qui brident leur empathie envers les autres ou leurs émotions personnelles sous prétexte de ne pas faire assez "masculin" ou de ces femmes qui ont peur de perdre leur "part féminine" en faisant du sport ou même en prenant du poids : ces personnes s'imaginent qu'elles seront reniées par lesdites communautés féminines/masculines. C'est la même histoire ici, comme disait
@Calipo dans le premier post : les participants, dans un besoin de "repère commun", se conforment à "l'écologie pour nous les femmes" ou "l'écologie pour nous les hommes". Je rêve, je rappelle qu'on parle de préserver notre habitat afin qu'il reste vivable.
Dans une société au genre(s) plus fluide(s) que jamais, au lieu de perpétuer cette recherche aberrante d'identité virile/féminine chez les gens ("entrez dans cette danse et conformez vous à ce qui se trouve entre vos jambes ou vous serez juste marginaux bitches (ou hippies) !") ou de chercher ses (tentatives de) définitions (aussi positives et inclusives qu'elles puissent être), ne faudrait il pas juste chercher à questionner les identités directement : les communautés. Leurs identités propres, ce qu'elles apprécient, leur critères de ralliements, leurs codes singuliers, leurs différences, leurs deal breakers. Des plus petites aux plus larges (communautés), voilà un genre de repère commun plus appréciable car inclusif (par essence) et asexué. C'est à mon sens plus riche en sens (au pluriel) que : tu te sens femme/homme, comment le manifestes-tu ?? C'est une piste de réflexion hein, je peux aussi me gourer, enfin bon.