Pareil que
@Niachan l'étude prouve surtout que les hommes et les souris mâles anticipe plus la douleur que les souris femelles et les femmes.
De plus, il s'agit d'une étude isolée, on ne parle d'aucun groupe témoin, l'article mis en source ne cite pas l'étude elle même, donc retrouver les conditions d'expérience est périlleux (surtout avec mon niveau d'anglais).
Mais de ce que j'ai compris, l'étude de base c'est le lien entre la mémoire, le stress et la douleur, et elle ne teste qu'un seule type de douleur, celle lié à l'excès de chaleur (donc différente, par exemple, de celles ressenti par un excès de pression)
De plus, si la condition mâle sans testostérone a été testé pour les souris, elle ne l'a pas été pour les humains. Apparemment, ils ont quand même réussi à démontrer que c'était la suppression d'un neurotransmetteur (Je crois, j'ai pas compris) qui permettait de faire baisser l'appréhension face à une nouvelle douleur.
Mais ça ne prouve pas que chez les humains, la composante sociale ne joue pas (l'absence de preuve n'est pas la preuve d'absence), mais peut être ds études de psycho sociale se sont elles déjà penchées sur le sujet (je ne sais pas)
Oui, je suis tatillonne. D'autant plus que l'étude m'arrange bien. Mais il serait bien de comprendre comment fonctionne la recherche scientifique, et comment on obtient un consensus, plutôt de que de lancer une étude parce qu'elle nous arrange.
Une étude seule n'est pas une preuve.