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Cinq choses sur le sexe que tout le monde devrait savoir
Cinq choses sur le sexe que tout le monde devrait savoir
Cinq choses sur le sexe que tout le monde devrait savoir
- Initiateur de la discussion Mymy Haegel
- Date de début
Le truc que j'aurais a-do-ré savoir au commencement de ma vie sexuelle, c'est que la vie intime du vagin d'une femme est loin d'être un long fleuve tranquille.
On parle beaucoup je trouve aux jeunes filles des IST "gravissimes" type sida, syphilis, papillomavirus et cancer, infection bactérienne grave et menace de stérilité, etc. Tout en laissant entendre que si elles se "protègent bien", elles n'auront pas à souffrir de toutes ces vilaines maladies. （C'est limite culpabilisant : si tu finis avec une IST, c'est ta faute jeune fille, t'avais qu'à mettre un préservatif）
Mais tous les joyeux petits tracas que sont les mycoses et cystites, pertes vaginales fluctuantes avec le cycle hormonal, saignements entre les règles, irritations plus ou moins douloureuses après un rapport un peu trop enthousiaste
... Corrigez-moi si je me trompe, mais j'ai l'impression que toutes le femmes sont concernées （préservatif ou pas）
Et pourtant, avec toutes les personnes avec qui j'ai pu parler de sexe (avant de passer moi même aux travaux pratiques), que ce soit des copains et copines, des proches plus âgé(e)s, ou pendant les cours d'éducation sexuelle au collège, le vagin m'avait toujours été présenté comme un truc tout rose et tout aseptisé, qui ne "s'active" que pendant les règles, pendant un rapport, et éventuellement pendant l'ovulation. En dehors de ces phases d'utilité, le gentil vagin était censé rester calmement -et proprement- au repos.
Si on m'avait expliqué que l'équilibre de la flore vaginale, et plus gobalement de la sphère génitale, est fragile et fluctuant... Ben ça m'aurait évité de finir en panique aux urgences le jour où j'ai perdu ma virginité, et fais ma première cystite
On parle beaucoup je trouve aux jeunes filles des IST "gravissimes" type sida, syphilis, papillomavirus et cancer, infection bactérienne grave et menace de stérilité, etc. Tout en laissant entendre que si elles se "protègent bien", elles n'auront pas à souffrir de toutes ces vilaines maladies. （C'est limite culpabilisant : si tu finis avec une IST, c'est ta faute jeune fille, t'avais qu'à mettre un préservatif）
Mais tous les joyeux petits tracas que sont les mycoses et cystites, pertes vaginales fluctuantes avec le cycle hormonal, saignements entre les règles, irritations plus ou moins douloureuses après un rapport un peu trop enthousiaste
... Corrigez-moi si je me trompe, mais j'ai l'impression que toutes le femmes sont concernées （préservatif ou pas）Et pourtant, avec toutes les personnes avec qui j'ai pu parler de sexe (avant de passer moi même aux travaux pratiques), que ce soit des copains et copines, des proches plus âgé(e)s, ou pendant les cours d'éducation sexuelle au collège, le vagin m'avait toujours été présenté comme un truc tout rose et tout aseptisé, qui ne "s'active" que pendant les règles, pendant un rapport, et éventuellement pendant l'ovulation. En dehors de ces phases d'utilité, le gentil vagin était censé rester calmement -et proprement- au repos.
Si on m'avait expliqué que l'équilibre de la flore vaginale, et plus gobalement de la sphère génitale, est fragile et fluctuant... Ben ça m'aurait évité de finir en panique aux urgences le jour où j'ai perdu ma virginité, et fais ma première cystite
Dernière édition :
Pour moi la plus grande leçon du sexe qu'on ne répétera jamais assez :
LE CONSENTEMENT C'EST LA BASE DE TOUT LES ENFANTS !
Foilà, c'est tout pour moi
LE CONSENTEMENT C'EST LA BASE DE TOUT LES ENFANTS !
Foilà, c'est tout pour moi
Je n'es jamais envie de faire pipi après un rapport 
la plupart du temps j'y vais peu de temps avant donc rien a vidé
la plupart du temps j'y vais peu de temps avant donc rien a vidé
M
Membre supprimé 116050
Guest
J'ai une réaction en forme de question : quid du lubrifiant ?
Je n'en ai jamais utilisé, que ce soit seule ou avec un partenaire.
Sauf qu'avec un partenaire, justement, je ne mouille généralement pas assez pour ne pas ressentir de gêne, voire de douleur...
Je pense donc que ça pourrait m'aider, mais en même temps, ça me fait un peu peur : déjà, comment l'utiliser et ensuite, comment le faire accepter à la personne avec laquelle j'ai un rapport ? (Sachant que ceux-ci ont surtout été des coups d'un soir improvisés au cours de soirées arrosées) Parfois, même le préservatif, c'est compliqué...
Bref, merci d'avance pour vos réponses et que vos capotes soient résistantes !
Je n'en ai jamais utilisé, que ce soit seule ou avec un partenaire.
Sauf qu'avec un partenaire, justement, je ne mouille généralement pas assez pour ne pas ressentir de gêne, voire de douleur...
Je pense donc que ça pourrait m'aider, mais en même temps, ça me fait un peu peur : déjà, comment l'utiliser et ensuite, comment le faire accepter à la personne avec laquelle j'ai un rapport ? (Sachant que ceux-ci ont surtout été des coups d'un soir improvisés au cours de soirées arrosées) Parfois, même le préservatif, c'est compliqué...
Bref, merci d'avance pour vos réponses et que vos capotes soient résistantes !
Cela dépend de ton rapport avec les fluides corporelle, mais a défaut de lubrifiant, la salive fait bien le boulot. Et seulement la tienne si tu veux être totalement safe niveau prophylaxie. Tu peux même érotiser un peu la chose. Par exemple, en terminant une fellation en faisant dégouliner pas mal de salive avant de passer à la pénétration.
Apres si je tombe sur un coup d'un soir qui déjà rechigne avec la capote, je préféré carrément ne pas coucher avec plutôt que d'essayer de la convaincre.
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