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Soit je pige pas la phrase, soit une petite erreur s'y est glissée. Nathan Peiffer-Smadja est un homme et travaille dans le service des maladies infectieuses de l'hôpital Bichat à Paris. Mais effectivement, il a reçu de nombreuses menaces de mort suite à ses publications démontrant la non efficacité de l'hydroxychloroquine.Ce fut le cas d’Estella Ektorp et Nathan Peiffer-Smadja, deux chercheuses au Brésil qui ont rapporté avoir reçu des menaces de mort après la publication d’études...
J'ai cette impression qu'on appelle les femmes médecin par leur nom de famille, en y ajoutant parfois "docteur" alors que les hommes, tout de suite, c'est professeur...Je me souviens avoir vu à la TV la géniale Lila Bouadma (Le Monde a fait un super portrait) professeure de médecine en duplex, et un professeur de médecine en plateau. Lui a eu son petit Pr à l'écran pour le présenter, et elle que dalle. Et c'est juste tout le temps comme ça, sauf peut-être K. Lacombe qui commence à être connue.
Yes. Mal interprétation de la phrase en anglaisSoit je pige pas la phrase, soit une petite erreur s'y est glissée. Nathan Peiffer-Smadja est un homme et travaille dans le service des maladies infectieuses de l'hôpital Bichat à Paris. Mais effectivement, il a reçu de nombreuses menaces de mort suite à ses publications démontrant la non efficacité de l'hydroxychloroquine.
J'ai cette impression qu'on appelle les femmes médecin par leur nom de famille, en y ajoutant parfois "docteur" alors que les hommes, tout de suite, c'est professeur...
Mais je dirais que c'est valable pour bien trop de professions... Les femmes sont encore trop souvent reléguées au second plan, moquées, traitées d'hystériques (alors qu'un homme qui tiendrait le même discours et vu comme un battant... ). C'est parfois désespérant.
pour revenir à l’article, il se pourrait donc que ce ne soit pas un manque de respect si les femmes n’ont pas droit à leur »Pr », car ce n’est peut-etre pas leur grade académique. Ou alors elles sont bel et bien professeures, et dans ce cas c’est dégueulasse de ne pas respecter leur travail