Tout d'abord et comme les autres lectrices effectivement je suis atterrée de voir que les professionnels de santé ont pu se tromper à ce point sur le diagnostique. Et encore plus, pour le temps proposé pour ton opération au vue de la taille du kyste. Néanmoins, je suis heureuse de savoir que tout est rentré dans l'ordre pour toi.
Par contre j'ai une question : tu dis dans l'article que c'est au moment de changer de contraception que tu t'es rendu compte que quelque chose n'allait pas. Est ce que tu parles de la pilule ?
Personnellement j'ai eu courant septembre un kyste sur l'ovaire gauche qui m'a complètement coupé mes menstruations. Comme tu l'imagines j'étais en mode panique et j'ai foncé chez mon médecin traitant pour avoir le checkup complet (prise de sang et écho).
Mais tout comme toi, elle n'a pas compris pourquoi j'étais "en panique", et me disait "pourtant c'est une bonne nouvelle?". Non madame, tout le monde ne veut pas forcement d'enfant et pas forcement "maintenant" (j'ai 27 ans). Bref, prise de sang négative, j'avais mal côté droit (j'ai pensé à l'appendicite), et enfin l'écho... Et la le jeune homme qui m'a auscultée m'a dit : "RAS côté droit par contre côté gauche, tu as un kyste de la taille de ton ovaire dessus". Je suis donc allée voir ma gynécologue (avec une prise de rendez vous bien 2 semaines après l'écho). Et la surprise : plus de kyste... Je lui ai demandé si cela venait de la pilule (que j'avais arrêté entre temps), et elle m'a dit que non. J'ai donc repris ma contraception lors du cycle suivant.
Ensuite, arrivent les fêtes de fin d'années... Infection urinaire carabinée, nausées, grosse douleur côté droit, et d'autres désagréments intestinaux... Je refais une échographie, et la bim ! J'ai non pas un kyste mais un sur chaque ovaire... Du coup je compte cette fois ci arrêter définitivement la pilule et voir si cela vient de la où non...
En tout cas merci pour ton témoignage, et j'espère que cela pourra aider d'autres personnes