C'était la seule décision logique en fait...
La condamner à la base parce qu'elle a employé le mot "harcèlement"...
Il aurait fallu faire un procès aux féministes parlant de "harcèlement de rue" et autres dans ce cas...
Quoi qu'en pensent les juges, le mot harcèlement a pris un sens plus large que la stricte définition légale, c'est un fait. Et rien dans ses tweets ne sous-entendait qu'elle accusait Brion d'attaques répétées contrairement à ce qu'il prétendait pour se poser en victime...
D'un point de vue purement légal, on pourrait maintenant qualifier les paroles de Brion "d'outrage sexiste", j'imagine ? Sauf que cette notion n'existait même pas quand elle a posté ses tweets, ce qui rend cette reproche de ne pas avoir pris en compte les définitions légales encore plus absurde... Et même encore actuellement, le mot "harcèlement" (de rue par exemple) est encore utilisé dans cette acception là. Et ça, aucun tribunal n'y peut rien en fait...