Ce sujet est dédié aux réactions concernant cet article : « Parler d’éducation sexuelle sur Instagram et en faire son métier, c’est vivre avec la peur au ventre »
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Ce sujet est dédié aux réactions concernant cet article : « Parler d’éducation sexuelle sur Instagram et en faire son métier, c’est vivre avec la peur au ventre »
Concernant les multinationales : sisi, elles peuvent véhiculer en leur sein des idéologies ( souvent sexistes d'ailleurs ). Il suffit que le big boss soit misogyne et sort d'une certaine école, il embauche ses potes de promo issus de la même culture, qui font ensuite de même pour le choix de leurs cadres ect, ect..@Nastasja La personnalité des gens qui détiennent les capitaux déteignant sur le business, ce n'est valable que pour les petites structures où le propriétaire travaille effectivement à rendre le service monnayé (ou est au moins en contact avec ceux qui rendent le service).
Sur des multinationales, c'est impersonnel et distancié. On fait appel à des théoriciens parce que la quantité de données pour prendre des décisions efficaces est considérable. Il peut être question de technique de manipulation : je pense aux spécialistes de la PNL, aux théories de sociologie dont sont friands les chefs de ces boîtes... Facebook avait testé en double aveugle l'humeur de ses utilisateurs en fonction des informations que leur servait leur fil d'actualités. Mais loin d'être malsains ou méchants, je persiste à les trouver simplement froids et dépassionnés. Je constate personnellement que les grosses structures transcendent complètement ceux qui prétendent les détenir (une partie du capital détenu par les employés, les mouvements de grèves et cetera).
Je n'ai pas compris : la frustration et la colère qui font partie du modèle économique. Le buzz oui, positif ou négatif d'ailleurs. Mais la frustration et la colère ?