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L’air des bureaux ralentirait nos cerveaux, raison de plus pour brûler les open spaces
L’air des bureaux ralentirait nos cerveaux, raison de plus pour brûler les open spaces
Autre solution pour ne pas pédaler dans la semoule devant son ordinateur ? Tout simplement faire circuler plus d’air de l’extérieur pour tenter de diminuer les quantités en CO2.
Visiblement nos logements sont plus pollués que les artères en heure de pointel’air intérieur est nettement plus pollué que celui qu’on respire en extérieur — et ce, même si vous traversez une grande artère fumante de pots d’échappement en pleine heure de pointe.
Dans la pluparts des bureaux, on ne fume pas et on ne mange pas à l'intérieur. Et si odeur de bouffe il y a, ce doit être aéré derrière car ce sont des locaux professionnels.PM2.5 levels indoors result from a combination of indoor and outdoor sources. Indoor sources of PM2.5 include resuspension of settled dust, indoor smoking, cooking, and secondary generation from cleaning products;
Bonjour,L'étude mise en lien ne fait pas de comparatif air du bureau vs air de chez soi et des impacts des deux sur la concentration. Elle traite de l'impact de la qualité de l'air sur les fonctions cognitives en utilisant un panel de travailleurs de bureau comme sujet d'étude.
Ca ne dit rien sur le travail à domicile, le travail en usine ou le travail dans les champs.
Les conclusions que vous faites sur le télétravail sortent de nulle part et c'est de la désinformation. En plus l'air du domicile est lui aussi très pollué et il est tout à fait possible qu'il ait les mêmes inconvénients que ceux soulevés dans l'étude que vous relayez.