C'est une affaire délicate, mais comme mentionné dans un précédent commentaire, il y a une personne qui a été directement blessé : le conjoint. Je ne suis pas la madz et on ne peut pas se mettre à sa place. Par contre, si mon père insultait l'homme avec qui j'ai fais des enfants et puis revient sans s'excuser auprès de lui, même si c'est mon père, je ne me laisserais pas facilement attendrir. Dans la lettre il est bien précisé que le conjoint " a les insultes en travers de la gorge". Visiblement, il y a un truc à régler de ce côté là, non ?! Encore une fois, la décision appartient à la madz, mais qu'elle n'oublie pas ce "détail".