@FluffyLeïa Ma réponse pessimiste : parce que le judiciaire et le droit sont encore très en arrière et qu'il y a une sacralisation des liens du sang, parfois au détriment de toute logique (je suis en train de lire des articles sur les réponse judiciaires face aux violences intrafamiliales en Belgique, pour une soirée dans la joie et la bonne humeur, mais je sais aussi qu'on présente les cas de dysfonctionnement, il y a plein de fois où c'est pris en charge correctement).
Maintenant, s'il n'y a jamais eu de relation avant, il n'y a pas de raison que le juge accepte.
Mais si la relation avec le parent/grand-parent est coupée depuis un moment, une demande doit être simple à réfuter, comme une éventuelle demande de pension.
(Le sachiez-tu ? En Belgique, il y a une obligation légale de soutenir financièrement ses ascendants s'iels ne peuvent plus subvenir à leurs besoins elleux-mêmes mais on peut réfuter la demande devant le juge, c'est accepté quand le parent a été (pas forcément sans mention inutile) démissionnaire/violent/négligent/... )
Je crois que c'est écrit sur le site du barreau, que l'idée est de contribuer au développement de l'enfant, pas de permettre à un parent de régler de vieux comptes avec son enfant ou de lui causer du tort via le petit-enfant.
Normalement, ça se voit vite.
Aucune nouvelle depuis vingt ans mais soudain on se découvre une fibre familiale ? N'importe quel juge devrait voir l'arnaque.
L'idée de la loi est de préserver un lien déjà existant pour ne pas faire perdre à l'enfant un lien qui le soutient.
Par exemple : les parents divorcent, le père n'a pas de droit de garde, on peut accorder un droit aux grands-parents pour que l'enfant ne perde pas tout contact avec sa famille paternelle (s'il n'y a pas de violence chez les grands-parents), comme cela m'est arrivé