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Ludivine, 31 ans : « Je rêve de déjeuners chiants avec ma belle-famille »
Ludivine, 31 ans : « Je rêve de déjeuners chiants avec ma belle-famille »
Commentaires sur Ludivine, 31 ans : « Je rêve de déjeuners chiants avec ma belle-famille »
- Initiateur de la discussion Aïda Djoupa
- Date de début
Tout mon soutien à Ludivine! 
Sinon, autre sujet, mais pour l'aspect dépenses / soutien au quotidien, l'option colocation (si ça convient) peut être sympathique! Je connais des gens en coloc à 4/5 (dans la vie active, mélangés entre célibataires et gens en couple, la trentaine bien passée), qui partagent leur quotidien, ont un potager/BBQ/jardin, mangent ensemble, organisent des soirées dans leur (grand) salon, et se sont mis ensemble par petites annonces pour la coloc (ils ne se connaissaient pas avant). Ca permet d'avoir toujours quelqu'un là, de faire des activités très sympa, de ne jamais être vraiment seule, et d'élargir très largement son cercle d'amis
(et tout en faisant des économies sur pas mal de dépenses).
Pour les enfants, les amis que je connais qui se sont mis en couple """tard""" (trentaine, je mets des guillemets parce que ça veut pas dire grand-chose) et qui voulaient des enfants les ont eu plutôt rapidement … je pense qu'à un moment, quand les deux souhaitent une relation sérieuse et une famille, on n'attend pas dix ans avant d'essayer d'avoir des enfants. Je veux juste dire que même si elle rencontre quelqu'un à 34 ans, elle peut avoir un enfant à 35 (je comprends la pression cela dit).
Sinon, autre sujet, mais pour l'aspect dépenses / soutien au quotidien, l'option colocation (si ça convient) peut être sympathique! Je connais des gens en coloc à 4/5 (dans la vie active, mélangés entre célibataires et gens en couple, la trentaine bien passée), qui partagent leur quotidien, ont un potager/BBQ/jardin, mangent ensemble, organisent des soirées dans leur (grand) salon, et se sont mis ensemble par petites annonces pour la coloc (ils ne se connaissaient pas avant). Ca permet d'avoir toujours quelqu'un là, de faire des activités très sympa, de ne jamais être vraiment seule, et d'élargir très largement son cercle d'amis
(et tout en faisant des économies sur pas mal de dépenses).Pour les enfants, les amis que je connais qui se sont mis en couple """tard""" (trentaine, je mets des guillemets parce que ça veut pas dire grand-chose) et qui voulaient des enfants les ont eu plutôt rapidement … je pense qu'à un moment, quand les deux souhaitent une relation sérieuse et une famille, on n'attend pas dix ans avant d'essayer d'avoir des enfants. Je veux juste dire que même si elle rencontre quelqu'un à 34 ans, elle peut avoir un enfant à 35 (je comprends la pression cela dit).
Merci pour ce témoignage ! J’ai 28 ans mais je ressens exactement la même chose !
Ce sentiment d’être un ovni et coincé entre deux injonctions !
Ce sentiment d’être un ovni et coincé entre deux injonctions !
Je pense aussi qu'il y a souvent dans les témoignages "célibataires happy j'ai besoin de personne" une confusion entre indépendance et solitude.
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Enfin quelqu'un qui parle de la galère de trouver sa place dans la vie de ses proches quand on est célibataire ! Pour ma part, je ne souhaite pas être en couple mais j'ai besoin de créer des liens forts avec les gens, et c'est une bataille quotidienne pour maintenir une vie sociale pleine d'amour en dehors du cadre du couple. La plupart de mes amis ont leur vie de famille et c'est compliqué de s'y faire une petite place sans avoir l'impression d'envahir les gens !
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Dernière édition :
Merci pour ton témoignage Ludivine.
Je suis au début de la 30aine moi aussi et les injonctions des deux côtés me pèsent aussi.
Et cette année, ma dernière amie célibataire s'est fiancée.
C'est difficile de parler de ça parce qu'il y a cette injonction à être bien seule. J'ai une amie en couple qui s'agace rapidement quand je lui en parle. Je me demande si ma situation ne lui fait pas peur en quelque sorte.
A côté je l'entends se plaindre constamment de sa belle-mère et j'ai de l'empathie, après tout on ne peut pas aimer tout le monde, mais qu'est ce que j'aimerais avoir une famille qui pense à moi et m'invite les dimanche à manger avec eux.
Ma famille habite très loin et je ne les vois que quelques fois par an.
En fait les petits tracas des gens en couples sont le genre de tracas que je serais prête à accepter si en contrepartie j'ai un mari aimant et une belle-famille plutôt agréable.
Les gens se sentent rassurants quand ils me disent qu'ils envient mon célibat pour la supposée liberté que ça apporte. Sauf qu'on peut partir quand on veut d'une relation, le choix est toujours possible. L'inverse non.
Un gros hug virtuel à toutes celles qui vivent dans cette situation peu enviable.
Je suis au début de la 30aine moi aussi et les injonctions des deux côtés me pèsent aussi.
Et cette année, ma dernière amie célibataire s'est fiancée.
C'est difficile de parler de ça parce qu'il y a cette injonction à être bien seule. J'ai une amie en couple qui s'agace rapidement quand je lui en parle. Je me demande si ma situation ne lui fait pas peur en quelque sorte.
A côté je l'entends se plaindre constamment de sa belle-mère et j'ai de l'empathie, après tout on ne peut pas aimer tout le monde, mais qu'est ce que j'aimerais avoir une famille qui pense à moi et m'invite les dimanche à manger avec eux.
Ma famille habite très loin et je ne les vois que quelques fois par an.
En fait les petits tracas des gens en couples sont le genre de tracas que je serais prête à accepter si en contrepartie j'ai un mari aimant et une belle-famille plutôt agréable.
Les gens se sentent rassurants quand ils me disent qu'ils envient mon célibat pour la supposée liberté que ça apporte. Sauf qu'on peut partir quand on veut d'une relation, le choix est toujours possible. L'inverse non.
Un gros hug virtuel à toutes celles qui vivent dans cette situation peu enviable.
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