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« Le code d’honneur, c’est entre les hommes » : être féministe en Corse
« Le code d’honneur, c’est entre les hommes » : être féministe en Corse
Bonjour, je suis la journaliste qui a écrit le portrait. A mon avis, c'est aujourd'hui très simple pour une jeune fille d'être exposée à ce genre de sollicitations et commentaires sur les réseaux sociaux sans qu'elle ait besoin de faire autre chose que de poster des photos d'elle, ce que font beaucoup d'adolescent.e.s aujourd'hui. Le problème pour moi, c'est la réaction d'autres, le phénomène de cyberharcèlement etc. L'éducation aux adolescent.e.s devrait être axée sur les personnes qui commentent et envoient des messages sans connaître la personne et penser aux conséquences de ce que l'on écrit sur les réseaux sociaux.Je fais faire une remarque qui ne remet pas en cause le fait que cet article a le mérite de relayer un combat. Je me le permet car nous sommes entre féministes
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Je suis assez dubatative sur l'initiative d'une fillette de 13 ans de se mettre physiquement en scène sur les réseaux. Où étaient les adultes censés la protéger? Est-ce qu'elle le faisait en cachette, comme pour les photos? Si oui, elle n'en reste pas moins victime mais il faudrait vraiment faire des ateliers à destination des ados pour expliquer la société et les aider à faire des choix éclairés (édit: c'est-à-dire le choix qui leur convient, en sachant les conséquences possibles).
Si non, son entourage est aussi coupable que le mec de 19 ans.