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Le syndrome des « couilles bleues » est-il un mythe qui sert surtout la culture du viol ?
Le syndrome des « couilles bleues » est-il un mythe qui sert surtout la culture du viol ?

par chance ni mon ex ni mon copain actuel ne m'en ont parlé (sauf moments blagues de beaufs bien placées), il faut dire l'un comme l'autre je les ai prévenus d'entrée de jeu : s'ils n'ont pas eu leur dose et moi si, ils ont un instrument merveilleux, à savoir leurs mains (et l'inverse est vraie, le forcing d'où qu'il vienne n'est pas une option).
) on compensait avec des câlins, et je me débrouillais une fois seule chez moi (enfin chez mon père... ou parfois je devais attendre d'affronter la SNCF pour rentrer chez ma mère donc facile 3 à 5h à avoir la dalle)
Je lui dis de pas se mettre la pression, il me dit pareil et je me la mets toute seule. Au moins quand on a une position radicale sur le sujet, c'est plus simple de poser des limites
Ca m'emmerderait bien (et me couperait toute envie) de devoir embrasser/caresser/je sais pas quoi même pendant 3 min. On doit être le couple le moins romantique du monde (de mon fait, mon compagnon aime prendre son temps mais alors vraiment, moi, ça m'endors) parce qu'on peut vraiment passer de "je remplis la casserole d'eau pour les pâtes" à "suis-moi dans la chambre, sors les menottes et saute-moi !" en 5 secondes chrono.
)