Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : 4 raisons pour lesquelles certaines ne fêtent pas Noël
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4 raisons pour lesquelles certaines ne fêtent pas Noël
- Initiateur de la discussion Oceane
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C'est bizarre, quand je lis ces témoignages, je ne peux pas m'empêcher de culpabiliser de fêter noël. Pourtant, c'est pas comme si ils étaient jugeants, ils ne font que décrire des points de vue personnels, mais bon, ça me fait quand même me sentir coupable, et je sais pas pourquoi.
EDIT: Wow, un article publié dimanche à minuit. Vous faites des heures supp' à la rédac ?
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Dernière édition :
Eh bien merci pour ces quatre MadmoiZelle qui ont témoignés. Article fort intéressant et important !
Boh il faut pas, il y a des gentes qui adorent fêter Noël, pour qui ça a du sens et c'est super! La seule chose à retenir c'est qu'il ne faut pas se forcer à quoi que ce soit parce que convention sociale etc. Si tu aimes Noël alors il faut en profiter à fond, et de la manière qui te fera du bien!
J'avais eu envie d'envoyer mon témoignage et puis finalement je n'ai pas pris le temps...
(C'est un peu long, désolée)
Dans mon enfance, on fêtait Noël avec toute la famille (grand parents, oncles/tantes, cousins/cousines...)
C'était une jolie fête pour l'enfant que j'étais, très portée par l'idée de la famille et l'amour que je portais à tout ces gens. En grandissant je me suis rendue compte des tensions et des petites mesquineries d'adultes que j'essayais de ne pas voir.
Puis à 18 ans, mon cousin le plus proche, du même âge que moi s'est tué en voiture le 15 décembre. On a continué de fêter Noël en famille, pour réussir à dépasser le traumatisme mais le cœur n'y était plus...
Je crois que j'ai simplement cessé de les aimer, de croire qu'on aime forcément sa famille... Et du coup de fêter Noël avec eux.
Plus tard, je fêtais Noël avec mon copain et sa famille, c'était comme dans les films, au coin du feu, dans une ambiance douce et tendre, musique de Noël, rubans et cadeaux. Ce n'était pas ma famille mais c'était de bons moments, bien qu'avec un petit goût amer pour moi.
Cette année, j'ai rencontré celui qui est devenu mon mari (oui, c'était rapide) et qui a changé ma vie, je pensais fêter Noël avec lui, et peut être sa famille à lui, mais non, nous ne fêterons pas Noël pour notre 1ere année ensemble, car nous partons vivre 2 ans en Chine suite à sa mutation pro
(d'où le mariage si rapide...)
Et nous serons dans l'avion les 23 et 24 décembre puis il devra aller travailler directement... Donc nous passerons notre Noël dans les valises, les cartons, le décalage horaire etc...
J'aime la magie de Noël, les décorations, l'air froid et pétillant, les lumières, le chocolat chaud et les câlins sous une couverture toute douce, j'adore faire des cadeaux (les fabriquer, les dénicher, trouver ce qui plaira vraiment à la personne, montrer qu'on a eu une attention particulière pour elle) mais les gros repas de famille, les non-dits, l'hypocrisie, tout ça ne me manque pas.
Je fêterai sans doute Noël de nouveau l'an prochain pour voir ses sœurs et nos amis et puis quand nous aurons notre famille à nous
(C'est un peu long, désolée)
Dans mon enfance, on fêtait Noël avec toute la famille (grand parents, oncles/tantes, cousins/cousines...)
C'était une jolie fête pour l'enfant que j'étais, très portée par l'idée de la famille et l'amour que je portais à tout ces gens. En grandissant je me suis rendue compte des tensions et des petites mesquineries d'adultes que j'essayais de ne pas voir.
Puis à 18 ans, mon cousin le plus proche, du même âge que moi s'est tué en voiture le 15 décembre. On a continué de fêter Noël en famille, pour réussir à dépasser le traumatisme mais le cœur n'y était plus...
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Plus tard, je fêtais Noël avec mon copain et sa famille, c'était comme dans les films, au coin du feu, dans une ambiance douce et tendre, musique de Noël, rubans et cadeaux. Ce n'était pas ma famille mais c'était de bons moments, bien qu'avec un petit goût amer pour moi.
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Cette année, j'ai rencontré celui qui est devenu mon mari (oui, c'était rapide) et qui a changé ma vie, je pensais fêter Noël avec lui, et peut être sa famille à lui, mais non, nous ne fêterons pas Noël pour notre 1ere année ensemble, car nous partons vivre 2 ans en Chine suite à sa mutation pro
(d'où le mariage si rapide...)
Et nous serons dans l'avion les 23 et 24 décembre puis il devra aller travailler directement... Donc nous passerons notre Noël dans les valises, les cartons, le décalage horaire etc...
J'aime la magie de Noël, les décorations, l'air froid et pétillant, les lumières, le chocolat chaud et les câlins sous une couverture toute douce, j'adore faire des cadeaux (les fabriquer, les dénicher, trouver ce qui plaira vraiment à la personne, montrer qu'on a eu une attention particulière pour elle) mais les gros repas de famille, les non-dits, l'hypocrisie, tout ça ne me manque pas.
Je fêterai sans doute Noël de nouveau l'an prochain pour voir ses sœurs et nos amis et puis quand nous aurons notre famille à nous
Peut être que j'ai mal lu ou mal compris le témoignage, mais je ne comprends pas clairement les convictions de la madz atheiste. Car en sachant que Noël n'est plus totalement une fête chrétienne, moi j'appelle littéralement cela une fête commerciale même si j'aime beaucoup les bons de côtés de Noël et que oui, j'aime achetés des cadeaux à ce moment précis même si je reconnais que l'on peut faire des cadeaux n'importe quand sans occasion spéciale, ce qui donne au cadeau une plus grande valeur (on peut faire la même réflexion sur les anniversaires).
Beh voilà, en sachant que pour de nombreuses personnes c'est une fête commerciale ou familiale, pourquoi se sentir offusqué par la religion surtout que toute la famille est athée ?
Beh voilà, en sachant que pour de nombreuses personnes c'est une fête commerciale ou familiale, pourquoi se sentir offusqué par la religion surtout que toute la famille est athée ?
D'autant que l'origine de la fête célébrée aux alentours du 25 décembre remonte à bien avant l'ère chrétienne et représentait pour la plupart des cultes païens de l'hémisphère Nord, une renaissance, parce que les journées commencent à se rallonger après le solstice d'hiver. Bon, à l'époque, cela revêtait encore une apparence mystique, mais même si, aujourd'hui, tout le monde connait le cycle des saisons engendré par la révolution de la terre autour du soleil (oui, enfin, sauf pour les platistes - autre débat si ça mérite d'en être un
), et malgré les transformations qu'on a apporté à la célébration, cela en fait réellement ce qu'elle est : une fête culturelle, voire traditionnelle, pas au sens chrétien, mais bien parce qu'elle est célébrée depuis bien longtemps et dans plein de cultures sous différents noms et traditions... Je pense qu'il est assez simple d'exclure toute dimension religieuse à Noël si on le souhaite, pour ne conserver que la dimension de rassemblement, de famille ou simplement de pause (quand on peut) pour penser à soi ou aux autres. Selon la fin de son témoignage, je pense que c'est ce que cette madz a fini par faire, mais c'était quand même intéressant de lire son cheminement concernant Noël en tant qu'athée.Discussions similaires
