Ce sera sans moi. J'aime Lucky Luke d'amour, quand j'étais petite je voulais être lui quand je serais plus grande (et aussi Jessica Rabbit et épouser Laurent Romejko, mais c'est tout à fait compatible). Lucky Luke, c'est déjà une parodie, d'un genre déjà parodique. Je me demande jusqu'où on peut continuer à pariodier un genre parodique - à moins de s'appeler Tarantino et de faire des films autant pour les fanboys que pour les esthètes et pour le grand public. Mais là, ça ne semble s'adresser qu'au grand public, et côté réalisation, je ne voudrais pas faire de jugement hâtif mais ça n'a pas l'air de casser trois briques à couper le beurre. Les parodies en superficies, ça me laisse froide. Je ne voudrais pas souiller mon image du mythe du poor lonesome cowboy qui a réussi à arrêter la clope en un album (je pense passer au brin de paille en 2010)