Après être passée par la phase 1 (lettre de motiv + CV), la phase 2 (écrire un essay), il y a eu la phase 3 (l'entretien).
Un conseil: si on vous sert un verre d'eau... et que vous tremblez... laissez tomber le verre d'eau. Vous boirez après ^^
J'avais le cerveau tout engourdi, au point de ne pas me rendre compte que (l'entretien était en anglais) une des profs m'a parlé en français. J'ai capté ça en sortant de l'entretien...
Le plus facile est d'avoir préparé chez soi ou avec quelqu'un les points importants de la présentation. Si on suit le fil de ce qu'on a préparé, le cerveau stresse moins. Pour les questions suivantes, même si on n'a pas de vraie réponse, il faut essayer d'être logique et pratique, et d'imaginer une réponse cohérente. Si ça ne marche pas, j'estime que c'est une force de dire: "Je ne maîtrise pas ce sujet particulièrement vu mon cursus mais je peux vous dire que ça m'inspire... blablabla". Il ne faut pas se montrer trop assurée quand tu n'y connais rien: le jury s'en rend compte très vite. Alors au lieu d'assurer quelque chose, dire "je ne suis pas très au fait de ça, mais logiquement ça devrait donner ça" montre un esprit d'analyse et une logique personnelle. Un bon point alors que ne pas savoir aurait pu être un handicap. Pour un master, ils cherchent des gens qui réfléchissent, pas des gens qui ressortent du pré-maché.
Bon et la preuve que ça peut marcher: ils m'ont prise