J'ai aimé la patte de Besson, et Freeman égal à lui-même mais qu'on aime justement comme ça.
Scarlet, je l'adule, j'ai du mal à rester objective! Elle m'a plu dans ce film, car Besson sait orienter tout son travail pour mettre en lumière une actrice.
Mais après, il aurait fallu que ça soit plus long, une heure trente nous fait rater une progression de Lucy qui comme l'indique l'article passe trop vite de l'étudiante à la machine de guerre.
Ce doit être un parti pris, sa vie devient comme une étoile filante qui nous éblouit, tout s'accélère.
Après on peut bien dire que la théorie avancée sur le pourcentage d'utilisation du cerveau humain n'est pas réaliste, mais bon, le réalisme on s'en fout un peu, c'est le côté fantastique du film! Un truc pas ordinaire dans une vie ordinaire faite de drogues et de vilains asiatiques.
Je suis sortie perplexe, il manquait des choses pour que j'y croie vraiment! Ce fut malgré tout un bon moment!