L'héroïne fait sauter une serrure de sécurité avec une épingle à cheveux et en deux secondes. Honte à la personne qui a conçu cette serrure!
A Paris, une fenêtre donne toujours sur la Tour Eiffel.
L'héroïne se réveille parfaitement maquillée et sans un cheveu qui dépasse.
On ne cherche jamais une place de parking plus de 2 secondes, ou alors on cherche vingt minutes et on rate son train.
Les flèches enflammées dans les films censés se passer au Moyen-Âge. Un, il est difficile de viser avec de pareilles flèches et deux, quand on se prend une flèche dans le bide, on est mort, y'a pas à rajouter des flammes pour être encore plus mort.
Le héros n'a jamais de "pannes sexuelles". Si ça arrive quand même, il en fait un tel plat que ça fait partie de l'intrigue.
La séquence parfaitement inutile où l'héroïne change de tenue et où la caméra fait des gros plans.
Au téléphone, on va droit au bout (pas de "bonjour, oui, qui est à l'appareil, blablabla, merci d'avoir appelé, bonne journée, au fait, dites bonjour à Annette de ma part, oui, je transmettrai, au revoir).
Le hacker de 10 ans qui pirate les dossiers du pentagone.
Dans les films de super-héros, les gentils dévastent la ville et personne ne se demande qui va payer pour les réparations.
le make-over (la fille se maquille, défait ses cheveux, change de tenue, retire ses lunettes et perd éventuellement la moitié de son poids). Pouf, tout le monde est fou d'elle! (et ce schéma n'a pratiquement jamais lieu au masculin, les mecs ont besoin d'être aimés comme ils sont, si possible par la plus jolie fille du campus).
Le héros fait une grosse leçon de morale à l'héroïne. Elle n'en fait qu'à sa tête, se plante lamentablement et dit qu'elle aurait dû l'écouter. Ben oui, une femme a besoin d'un homme pour la guider.
Etc.