Très bon article qui résume bien la situation. J'ai 2 groupes d'amies et chaque année, j'essaye d'alterner. Cette année, dans mon 1er groupe d'amis, on ne savait pas où le faire et entre temps j'ai accepté une invitation du 2eme groupe ce qui a provoqué la colère de certaines et au final, ils fêtent le nouvel an tous séparés et se sont disputés entre eux aussi (pour mieux se réconcilier en 2015).
Le plus stressant à mon sens, c'est d'inviter des personnes à la soirée qui ne sont à la base pas invités.... Compliqué car si l'organisateur/trice accepte cet "intrus", comment peut-elle dire non aux autres demandes "d'intrus" ? Et en refusant, je suis toujours partagée et je culpabilise de laisser cet personne de son côté. Même exemple, cette année, on est 15 et le noyau, c'est nous 6, amies depuis le collège. J'ai voulu inviter mon amoureux car on n'avait pas envie d'être séparés cette année (on est 3 sur les 6 à inviter notre mec) et j'ai compris hier que celles qui sont célibataires auraient aimé qu'on le fête qu'entre-amies. Tenter de satisfaire les attentes de tous les invités est, pour moi, le plus stressant (car quasi impossible).
Comme SPP le dit très bien, il ne faut pas attendre du nouvel an que ça soit la meilleure soirée de l'année mais une soirée parmis tant d'autres (et les soirées les moins organisées sont souvent les meilleures car justement, on s'attend à rien). Et la je sens que j'ai évolué car il y a qqls années, c'était inimaginable de ne pas feter le nouvel an sans une dizaine d'amis et de l'alcool et depuis 1 an, je me dis que si je reste posée avec ma mère, ma petite soeur et ma grand-mère et que je suis au lit a 1h, c'est très bien aussi. C'est vrai que cette pression de devoir se coucher tard et être raisin à bloc est pesante aussi.
Bref, fêtons le nouvel an comme chacun l'entend, une soirée parmi d'autres (ou un dîner et soirée ciné parmi d'autres). Allez, à l'année prochaine