Ce sujet est dédié aux réactions concernant cette actu : Avec « À quoi rêvent les jeunes filles ? », Ovidie interroge les influences sociales sur la sexualité féminine
Or l’un des fondamentaux du féminisme — à mon avis très humble — est d’arrêter de dire aux femmes ce qui est bon pour elles ou non, ce qui « les oppresse » ou non, et les laisser tout simplement choisir. Il y a des femmes qui aiment le porno, y compris les pratiques BDSM, la soumission… et ça n’en fait pas des mauvaises féministes, ni des victimes qu’il faudrait libérer.
) et plaît autant, au-delà de son physique de boy next door, alors que ses vidéos montrent quasi-systématiquement des actes non pas contextualisés BDSM mais juste particulièrement violent à l'égard des femmes (irrumation super violentes, baffes dans la gueule et j'en passe ...) jusqu'à être assez gênants à regarder en fait. 
) vient se coller au reste un peu comme un cheveu sur la soupe, et on ne prend pas le temps d'analyser le phénomène. Alors que d'autres propos étaient très tranchés, là on passe à la suite sans épiloguer...
).
Dommage.j'ai trouvé le documentaire plutôt "déculpabilisant" (si certaines choses étaient peut être un peu "forcées" pour mieux servir le propos d'Ovidie (genre l'esthéticienne qui dit qu'elle ne voit que des filles lisses et imberbes, et qu'elle sait même plus ce que c'est qu'une touffe...), je me suis sentie... heu.. ben... "soulagée" qu'elle aborde les injonctions à la sexualité de manière franche (j'ai bien aimé Ortie, ça m'a éclairée sur la motivation de ces femmes qui choisissent de poser en sous vêts
)
@FloraG : en quoi tu trouves ça culpabilisant ? (je comprends que tu aies un ressenti différent, et je me demande simplement ce qui, dans le documentaire, t'as fait ressentir ça)
et ce n'est pas un documentaire manquant de tact qui va me faire changer d'avis, mais c'est ce que j'ai ressenti sur le coup.
Sans entrer dans la culpabilisation.Bien sûr, c'est pour çà qu'on parle de slut-shaming, qu'on pointe du doigt tout le haro sur la mini-jupe etc...J'ai trouvé au contraire que le docu reflétait ce que je retrouvais dans les comportements hommes femmes actuellement. En gros, j'ai l'impression que ce dont elle parle (les injonctions a la femme/pute/prude parfaite) sont vraiment d'actualité.
Pas forcément par votre génération mais plutôt depuis mai 68. En gros, il y a une poignées d' "imbéciles" qui n'ont soit rien compris à la notion de "jouir sans entrave" (bonjour les- Ovidie donne l'impression qu'elle s'est battue pour une sexualité féministe et que son combat est malmené par notre génération.
.Ben j'ai l'impression que la problématique liée au corps et la société est un truc de blancs éduqués. On sait que ce n'est pas le cas mais ils savent en parler. Je ne peux pas donner tort sur ce point à ce documentaire.J'ai eu aussi l'impression que toutes les femmes interrogées étaient assez similaires, toutes blanches, assez éduquées, faisant partie d'un milieu plutôt intellectuel....
En effet, le sexe est mis sur un pied d’est-ale (euh orthographe????), avec ses codes et érigeant au rang de paria celleux qui ne s'y collaient pas (çà passe du mec de 30 piges qui n'a jamais eu de rapport à la nana qui cumule les aventures sans lendemain, sachant que les deux sont bien ds leur peau). Après ,très honnêtement, je ne vois pas en quoi les selfies sont gratifiants.En voyant ce reportage, j'ai eu l'impression d'un retour en arrière. Comme si le sexe n'avait pris qu'une autre forme. Celle de la maîtresse parfaite, du poil qui dépasse plus, de la sodomie qui est aussi banale qu'une pipe, du selfie obligatoire...