Aider une amie suicidaire
- Initiateur de la discussion Valentina-
- Date de début
Une de mes amies est dans ce cas, nous avons appelé SOS suicide, ce sont des gens très ouverts, même si nous ne sommes pas forcément concernés, qui donnent de bons conseils.
Je ne me souviens plus des conseils donnés en soit, mais c'était une parole très apaisante, ce sont des personnes qui savent quoi faire dans ce genre de cas.
Je ne me souviens plus des conseils donnés en soit, mais c'était une parole très apaisante, ce sont des personnes qui savent quoi faire dans ce genre de cas.
Il y a Fil Sante Jeunes aussi qu'elle peut appeler/que tu peux appeler avec elle, ce sont des psys et des médecins au téléphone. Ils gèrent souvent ce genre de situations. Sa mère est inquiète, mais pas plus que ça, alors que tu évoques des moyens et des dates ?
Je plussoie ce qu'ont dit les madz avant.
Je plussoie ce qu'ont dit les madz avant.
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Dernière édition :
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Dernière édition :
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Dernière édition :
@Penny Winkeul
@|Beam|
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
@|Beam|
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
@Valentina- Je trouve que tu en fais trop. Je projette surement mais j'ai déjà été très très mal, et si j'avais eu une amie qui en avait fait autant je l'aurais très mal vécu. Pour moi aller mal ça sous entend -aussi- un profond épuisement psychologique et donc ne pas avoir l'énergie de gérer autant d'interaction sociale forcées, surtout de la part de quelqu'un qui ne peut "rien" pour toi. C'est faire du forcing et accentuer son mal aise (moi je l'aurais vécu comme ça). Il faut tout faire pour que la personne aille mieux mais aussi lui laisser un minimum d'espace et lui faire sentir qu'elle a le contrôle. Le suicide reste une échappatoire d'une personne qui se sent acculée, désespérée. Et si communiquer à ce sujet ressemble à un appel à l'aide, il ne t'es pas nécessairement destiné. De toute façon tu ne peux pas forcer quelqu'un à aller mieux, ça doit venir d'elle. Partant de ce constat.
Pas de jugement, juste mon point de vécu en fonction de mon vécu.
Pas de jugement, juste mon point de vécu en fonction de mon vécu.
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Dernière édition :
Dernière édition :
@123pourquoi @popomme
Vos avis et vos expériences sont ce qu'elles sont, et je comprends votre réaction, vos apports.
Mais... je trouve vos messages (le premier popomme, pas le second qui reprend bien ton vécu en le différenciant
) culpabilisants, notamment parce qu'ils sont donnés en après-coup (ce n'est pas la même chose de lui dire "ce que tu as fait va lui faire encore plus mal/ne pas l'aider" après ses actions, que répondre au sujet par "moi je te conseille de faire ça parce que...")
Je ne vois pas trop quels autres choix avait @Valentina- sachant qu'elle est malgré tout présente, et qu'une de leurs amies communes n'appelle pas d'autres instances, tout en restant présente et douce.
On ne savait pas, si son amie était dans votre cas, ou si justement, ne pas alerter sa famille/les pompiers à une date donnée comme celle de son potentiel suicide aurait pu constituer un problème. Elle a simplement tenté d'aider une amie en situation urgente de mal-être. Pour travailler avec des jeunes suicidaires, ça arrive aussi tous les jours qu'on nous dise "Untel a alerté les pompiers, ça m'a permis d'accéder à des soins" - ou que factuellement, et bien qu'un.e ami.e d'un.e jeune appelle les pompiers lui sauve la vie littéralement (certains sont reconnaissants, d'autres très en colère sur le moment, après, ou pour longtemps).
C'est difficile de savoir dans quel cas de figure est son amie, comment elle aurait pu réagir : donc elle a fait ce choix là, tenter de la protéger d'un potentiel acte auto-agressif.
Vos avis et vos expériences sont ce qu'elles sont, et je comprends votre réaction, vos apports.
Mais... je trouve vos messages (le premier popomme, pas le second qui reprend bien ton vécu en le différenciant
) culpabilisants, notamment parce qu'ils sont donnés en après-coup (ce n'est pas la même chose de lui dire "ce que tu as fait va lui faire encore plus mal/ne pas l'aider" après ses actions, que répondre au sujet par "moi je te conseille de faire ça parce que...")Je ne vois pas trop quels autres choix avait @Valentina- sachant qu'elle est malgré tout présente, et qu'une de leurs amies communes n'appelle pas d'autres instances, tout en restant présente et douce.
On ne savait pas, si son amie était dans votre cas, ou si justement, ne pas alerter sa famille/les pompiers à une date donnée comme celle de son potentiel suicide aurait pu constituer un problème. Elle a simplement tenté d'aider une amie en situation urgente de mal-être. Pour travailler avec des jeunes suicidaires, ça arrive aussi tous les jours qu'on nous dise "Untel a alerté les pompiers, ça m'a permis d'accéder à des soins" - ou que factuellement, et bien qu'un.e ami.e d'un.e jeune appelle les pompiers lui sauve la vie littéralement (certains sont reconnaissants, d'autres très en colère sur le moment, après, ou pour longtemps).
C'est difficile de savoir dans quel cas de figure est son amie, comment elle aurait pu réagir : donc elle a fait ce choix là, tenter de la protéger d'un potentiel acte auto-agressif.
Discussions similaires
