Je ne dirai pas que le crise n'a eu aucun impact sur les Antilles.
Je ne parlerai que de la Martinique, vu que j'ay ai pratiquement toujours vécu.
Bien entendu, ils ont ressenti la crise, mais pas autznt qu'ils ont à souffrir de la vie chère ou autres.
Ca a juste ajouté au reste.
Sinon, anecdote marrante, ma mère me disait (travaillant dans le tourisme), que depuis le début de la crise, ils n'avaient plus que des clients fortunés, qui dépensaient donc plus, et que les clients aux revenus modestes ne voyageaient plus du tout, ce qui ne changeait rien de son côté (ma mère), vu que les clients modestes n'achetaient déjà pas grand chose.
Bon je ne sais pas si c'est très limpide comme anecdote, mais voila.
A mon sens, il n'y a pas énormément de niveaux sociaux différents en Martinique.
Je me souviens qu'au lycée, seul un élève de ma classe n'a pas rempli de dossier de bourse pour après le bac. C'était d'ailleurs le seul métropolitain de la classe.
Donc oui, la crise s'est faite sentir, mais pas autant qu'ici.
Ca a plutôt été disons comme... la pluie sur une personne déjà trempée (dixit ma mère).
Je ne parlerai que de la Martinique, vu que j'ay ai pratiquement toujours vécu.
Bien entendu, ils ont ressenti la crise, mais pas autznt qu'ils ont à souffrir de la vie chère ou autres.
Ca a juste ajouté au reste.
Sinon, anecdote marrante, ma mère me disait (travaillant dans le tourisme), que depuis le début de la crise, ils n'avaient plus que des clients fortunés, qui dépensaient donc plus, et que les clients aux revenus modestes ne voyageaient plus du tout, ce qui ne changeait rien de son côté (ma mère), vu que les clients modestes n'achetaient déjà pas grand chose.
Bon je ne sais pas si c'est très limpide comme anecdote, mais voila.
A mon sens, il n'y a pas énormément de niveaux sociaux différents en Martinique.
Je me souviens qu'au lycée, seul un élève de ma classe n'a pas rempli de dossier de bourse pour après le bac. C'était d'ailleurs le seul métropolitain de la classe.
Donc oui, la crise s'est faite sentir, mais pas autant qu'ici.
Ca a plutôt été disons comme... la pluie sur une personne déjà trempée (dixit ma mère).