Carte postale du Japon... à l'ado que j'étais

[e.g.]

Le japon est en effet un pays ou il est hyper difficile a trouver du boulot... si on ne cherche pas correctement.
Comme l'a dit une madz, il y a des offres reservees pour les japonais, et les gens qui ont au moins le niveau JLPT" (niveau de competence acquise en langue japonaise, qui signifie presque parfaite !!), et aussi avoir des diplomes et visas appropries, donc la recherche est vite limitee par ces contraintes (pas tout le monde n'a des diplomes universitaires et un niveau bilingue !!
Les ambassades, que je me sovienne, je n'ai jamais vu d'offres d'emplois sur leur site. Sur le site de la chambre de commerce de Tokyo, oui en effet il y a des offres, mais la aussi les offres sont reservees aux "meilleurs".
Plus general, je m'etais inscrite a "hello work" (Pole Emploi japonais) et la dame qui m'avait accueillie m'avait gentiment dit que je ne trouverais pas de travail ou seulement en tant que prof ... que les offres etaient reservees en priorite aux japonais.
je ne sais pas ou habite l'auteure, mais il y a des journaux locaux/regionaux destines aux etrangers et ou on y trouve tout un tas d'offres d'emploi et plins d'autres choses aussi (il faut simplement avoir envie de "chercher" ces journaux, ce sont pas eux qui viennent a nous..)
j'ai trouve mes anciens boulots en quelques jours, mais c'etaient des entreprises "internationales" et non typiques japonaises, donc es reponses sont assez rappides.
La plupart du temps, les emplois auxquels o a droit sont des "arubaito" : emplois temporaires, on peut les cumuler (j'en cumulais 3, qui me fasaient un temps plein!), et oui, on est assez limites si on ne parle pas tres bien, mais on trouve quand meme !
Sinon, oui en effet, on part d'n pays ou on avait un boulot, de la famille et des amis, mais on perd uniquement le boulot, la famille et les amis, bien que loins, restent toujours la, et c'est une chance enromissime que d'etre au Japon, on rencontre encore plus de personnes.
La nourriture ... reste simplement qu'a apprendre a lire les noms des villes, et on peut savoir d'ou viennent les aliments.
Et puis sinon, on peut se faire un blog... il y a bon nombre de gens au Japon, qui ont un blog, et qui se rencontrent

 

[Duks]

Cette article me parle aussi , je suis moi meme expat au Japon ( Fukuoka ) depuis 4 mois et je vais y rester un an et demi en plus , je suis actuellement dans une fac en echange, j'ai trouvé un travail TRES facilement , mais je parle plutot pas trop mal japonais ( vu que c'est mon domaine d'etude ) et c'est vrai que c'est un plus , vu que dans mon coin personne parle anglais .
Je suis entrain de me renseigner pour faire changer mon visa etudiant contre un vacance travail pour l'année prochaine...

En ce qui concerne l'idée d'ecrire une lettre a son soi ado , c'est une super idée , et si je pouvais donner des falcon punch dans ma face aussi ca serait pas mal ^^"

 

[Tapioca]

Très intéressant cet article !

L'idée d'être une expat' un jour me tenterait bien, mais seulement si mon fiancé est expat' dans le même pays que moi... Puis expat' au Japon bien sûr, les autres pays m'intéressent moins. J'ai déjà eu l'occasion de faire un stage de 3 mois à Yokohama et j'avais vraiment aimé.

Je comprends que ça a du être dur de quitter la famille, les habitudes... Mais parfois il faut savoir faire des concessions par rapport à l'autre. Tout dépend de la façon d'être du couple, et parfois ça peut clasher. Mais l'important est de ne rien regretter je pense !!


Le blog d'Amélie qui fait A VOS BAGUETTES! explique comment elle trouvait des petits boulots à son arrivée au Japon... A lire si vous êtes intéressées !

Quand à l'idée d'écrire à son "moi" d'avant pourquoi pas, mais je pense que ça peut être intéressant seulement si il y a des surprises à l'arrivée. Dans mon cas j'ai l'impression que mon parcours est tout tracée, si je disais à la moi de 16 ans "hé je suis ingénieur chimiste, fiancée et je voyage beaucoup" elle dirait "bin ouais c'était prévu..." u_u

 

[Pamplemousse-]

C'est marrant parce que justement, moi, à 16 ans j'étais expatriée au Japon (enfin pour un an, en échange, mais bon)

 

[cuci]

Je suis aussi expatriée en Asie (pas au Japon) mais j'ai trouvé facillement un travail en tant que prof de FLE (Français Langue Etrangère) à l'Alliance Française, alors que je n'ai ni formation ni expérience dans ce domaine.
Bon après il n'y a pas beaucoup de français (ni d'étrangers d'ailleurs) dans mon coin. Donc ça aide...
J'ai bien aussi l'idée d'écrire à son "moi", mais plutôt à celui du futur, pour celui du passé il n'y a plus rien à faire!
Euh mais j'avoue que mon "moi" d'il y a 10 ans serait bien surpris de connaître son avenir!!!!

 

[Ancien membre]

Hello,
Je suis l'auteure de l'article - merci pour tous vos commentaires, très intéressants !
Partir au Japon est une opportunité extraordinaire ; mais ça n'est pas évident, au moment où on se croit "établi", de tout recommencer. Par contre, se poser à nouveau la question de ce qu'on veut faire réellement, c'est vraiment enrichissant.

Côté boulot, j'ai profité de l'occasion pour me lancer en freelance - mais pour ceux qui cherchent un contrat, vivre loin d'une grande ville, sans parler japonais, et prolonger sa carrière dans son domaine, c'est quand même assez coton !

L4et1 : oulah, que de similitudes !!

 

[e.g.]

Je suis aussi expatriée en Asie (pas au Japon) mais j'ai trouvé facillement un travail en tant que prof de FLE (Français Langue Etrangère) à l'Alliance Française, alors que je n'ai ni formation ni expérience dans ce domaine.
Bon après il n'y a pas beaucoup de français (ni d'étrangers d'ailleurs) dans mon coin. Donc ça aide...

tu as eu de la chance d'avoir un boulot dans a l'alliance francaise... generalement, ils font passer des tests et tout un cursus pour etre prof dans leurs etablissements ^^

 

[lilouli]

Même parcours à peu de choses près mais aux States. Même questions existentielles, même hésitations et tâtonnements/étonnements. Vive l'xp de couple ... enfin c'est pas tous les jours un jeu Je devrais moi aussi pousser mon côté schizo et m'écrire une lettre tiens ! Bon courage à toutes les miss partout dans le monde ! Yes we can !

 

[Laaz]

Pour la difficulté à trouver du boulot au Japon, il faut relativiser. Dans ce que j'ai lu de commentaires, ce sont des personnes qui ne parlent pas japonais, qui n'ont pas d'expérience du Japon et pas de diplômes... Je ne pense pas que ce soit très représentatif de la difficulté à trouver du travail : imaginez un étranger qui ne parle pas français, qui arrive pour la première fois en France sans trop rien y connaitre et sans diplôme. Difficile de penser qu'il va trouver un bon boulot rapidement, d'autant qu'il ne sait déjà pas comment et où chercher.

Bref, ce que j'essaie de dire c'est que je ne suis pas trop d'accord avec "c'est très difficile pour un étranger de trouver du boulot au Japon." Je connais peu d'étrangers ici mais parmi ceux là la plupart a trouvé sans grandes difficultés du boulot, certains sans diplômes et sans vraiment parler la langue (mais là c'est comme partout, sans expérience, qualification, relations ou un niveau de langue faut pas s'attendre à autre chose que serveuse ou caissier, et essayer d'investir dans des cours de langue), d'autres diplômés dans des secteurs qui recrutent et embauchés dans des boîtes étrangères, tout simplement. Ceux qui parlent japonais pour une raison ou une autre bossent dans des boîtes japonaises. Mon expérience est peut être biaisée car sans job et sans soutien financier les étrangers quittent rapidement le Japon, mais je pense qu'il faut avant tout vérifier que votre futur employeur a quelques bonnes raisons de vous embaucher dans son secteur et les faire valoir, ce n'est pas propre au Japon...
Si votre seul argument c'est d'être étranger et de parler anglais + votre langue maternelle, forcément les jobs que vous pouvez viser se limitent à prof de langue ou traducteur freelance...

 

[Albatros]

J'adore l'idée mais surtout j'adore comme c'est raconté: bref, c'était trop court!

 

[CherryHana]

Pour la difficulté à trouver du boulot au Japon, il faut relativiser. Dans ce que j'ai lu de commentaires, ce sont des personnes qui ne parlent pas japonais, qui n'ont pas d'expérience du Japon et pas de diplômes... Je ne pense pas que ce soit très représentatif de la difficulté à trouver du travail : imaginez un étranger qui ne parle pas français, qui arrive pour la première fois en France sans trop rien y connaitre et sans diplôme. Difficile de penser qu'il va trouver un bon boulot rapidement, d'autant qu'il ne sait déjà pas comment et où chercher.

Bref, ce que j'essaie de dire c'est que je ne suis pas trop d'accord avec "c'est très difficile pour un étranger de trouver du boulot au Japon." Je connais peu d'étrangers ici mais parmi ceux là la plupart a trouvé sans grandes difficultés du boulot, certains sans diplômes et sans vraiment parler la langue (mais là c'est comme partout, sans expérience, qualification, relations ou un niveau de langue faut pas s'attendre à autre chose que serveuse ou caissier, et essayer d'investir dans des cours de langue), d'autres diplômés dans des secteurs qui recrutent et embauchés dans des boîtes étrangères, tout simplement. Ceux qui parlent japonais pour une raison ou une autre bossent dans des boîtes japonaises. Mon expérience est peut être biaisée car sans job et sans soutien financier les étrangers quittent rapidement le Japon, mais je pense qu'il faut avant tout vérifier que votre futur employeur a quelques bonnes raisons de vous embaucher dans son secteur et les faire valoir, ce n'est pas propre au Japon...
Si votre seul argument c'est d'être étranger et de parler anglais + votre langue maternelle, forcément les jobs que vous pouvez viser se limitent à prof de langue ou traducteur freelance...

Je me suis peut-être fait mal comprendre mais j'ai suivi les expériences de pas mal d'expats au Japon qui parlaient parfaitement la langue (JLPT niveau 1), lire et écrire et qui avaient bac +3 en quittant la France. Et malgré ça, impossible pour eux de trouver un boulot pendant plusieurs mois. L'une d'entre elles avaient même essayé serveuse dans un resto français mais rien à faire.
Ils sont peut-être mal tombés ou leurs qualifications n'intéressaient peut-être pas là où ils étaient (tous n'étaient pas sur Tokyo/Yokohama), mais voilà les informations que j'ai pu glanées à droite et à gauche...

 

[Gwenish]

Je serais expat dès que j'ai fini le lycée pour un an au Japon, j'ai tellement hâte

A part ça j'ai trouvé l'article très intéressant, c'est vrai que les lettres à son moi d'avant c'est super comme concept (bien qu'un peu triste aussi).
J'espère que la madz se fait à sa nouvelle vie