EW ça me rappelle un très mauvais souvenir ça. Une fois j'étais à l'anniversaire d'une amie, on avait dansé la samba et il y avait ce garçon qui voulait toujours danser avec moi et qui me faisait des compliments maladroits. Nous avons dormi ensuite tous ensemble dans un tipi (nous étions environ six). Il s'est mis derrière moi et à commencé à me caresser les cheveux, alors que nous nous connaissions depuis trois heures. Des cheveux il est passé aux oreilles, au cou et il voulait aller toujours plus bas. Il me léchait aussi les oreilles, ce qu'il devait prendre pour un baiser sensuel je présume. Je n'osais rien faire, j'étais tellement gênée avec les autres autour, j'avais l'impression qu'ils voyaient tout. Je n'avais jamais eu de copain, il me pétrifiait. Je n'ai pas dormi de la nuit.
Je ne sais pas pourquoi j'ai accepté de le revoir ensuite, peut-être parce que c'était le premier homme qui manifestait de l'intérêt pour moi et que j'étais désespérée, je me suis dit que ça n'était pas si terrible. Nous sommes allés au cinéma, ce fut encore pire. A la fin de la séance j'ai voulu aller aux toilettes, il m'a suivie et essayait de me coincer dans tous les coins pour m'embrasser, ce qui me gênait toujours horriblement. Je lui ai dit que je ne voulais pas, mais il réessayait à chaque fois avec insistance. Il m'a proposé de manger quelque chose, j'ai dit que je voulais rentrer. Il m'a accompagnée pour attendre mon père qui venait me chercher, et c'est là qu'il m'a plaquée par surprise contre un mur et qu'il a enfin réussi ce qu'il avait tenté toute la soirée: m'embrasser. C'était mon premier baiser. Il n'y est pas allé de langue morte, on aurait dit qu'il voulait m'ingérer le visage. Il forçait le passage et avait une haleine infecte. Je suis partie, dégoûtée.
Il m'a recontactée ensuite pour me demander de se revoir. Je lui ai dit non, que je ne pensais pas pouvoir construire quelque chose avec lui, qu'il avait été beaucoup trop vite. Il m'a dit qu'il avait pleuré comme jamais, une sorte de cinéma affectif. Du calme, nous ne nous étions vus que deux fois.
Cela fait maintenant un moment que ça s'est passé et je peux en rire, rire du "gluant" comme je l'appelle. J'ai un copain que j'aime de tout mon cœur, mais j'ai encore du mal à l'embrasser avec la langue et il sent ma gêne, il sait que c'est à cause du gluant.
Pardon pour cette tartine et courage, cette histoire m'a fait réfléchir à la mienne et je trouve en l'écrivant avec le recul que c'était plus grave que ce que j'avais bien voulu croire jusqu'à maintenant. Merci pour ce dur témoignage, je te fais un câlin pas gluant!
Je ne sais pas pourquoi j'ai accepté de le revoir ensuite, peut-être parce que c'était le premier homme qui manifestait de l'intérêt pour moi et que j'étais désespérée, je me suis dit que ça n'était pas si terrible. Nous sommes allés au cinéma, ce fut encore pire. A la fin de la séance j'ai voulu aller aux toilettes, il m'a suivie et essayait de me coincer dans tous les coins pour m'embrasser, ce qui me gênait toujours horriblement. Je lui ai dit que je ne voulais pas, mais il réessayait à chaque fois avec insistance. Il m'a proposé de manger quelque chose, j'ai dit que je voulais rentrer. Il m'a accompagnée pour attendre mon père qui venait me chercher, et c'est là qu'il m'a plaquée par surprise contre un mur et qu'il a enfin réussi ce qu'il avait tenté toute la soirée: m'embrasser. C'était mon premier baiser. Il n'y est pas allé de langue morte, on aurait dit qu'il voulait m'ingérer le visage. Il forçait le passage et avait une haleine infecte. Je suis partie, dégoûtée.
Il m'a recontactée ensuite pour me demander de se revoir. Je lui ai dit non, que je ne pensais pas pouvoir construire quelque chose avec lui, qu'il avait été beaucoup trop vite. Il m'a dit qu'il avait pleuré comme jamais, une sorte de cinéma affectif. Du calme, nous ne nous étions vus que deux fois.
Cela fait maintenant un moment que ça s'est passé et je peux en rire, rire du "gluant" comme je l'appelle. J'ai un copain que j'aime de tout mon cœur, mais j'ai encore du mal à l'embrasser avec la langue et il sent ma gêne, il sait que c'est à cause du gluant.
Pardon pour cette tartine et courage, cette histoire m'a fait réfléchir à la mienne et je trouve en l'écrivant avec le recul que c'était plus grave que ce que j'avais bien voulu croire jusqu'à maintenant. Merci pour ce dur témoignage, je te fais un câlin pas gluant!