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C'est mieux de vivre en ville ou à la campagne ?
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- Initiateur de la discussion QueenCamille
- Date de début
J'ai eu la chance de vivre les deux. Jusqu'à mes 17 ans j'ai vécu à la campagne, à 50m de la ferme de mon oncle où j'y passais le plus clair de mon temps que j'étais en vacances ou en WE. La première grande ville (style capitale de région) est à 1h45 de route (j'ai des amis qui vivent en campagne mais cela reste en périphérie de grandes villes, donc ils peuvent y aller très rapidement).
Clairement, j'adore cette vie. C'est reposant, pas de bruits de circulation, et la proximité avec la nature est géniale (surtout pour moi qui adore l'ornithologie).
Mais, si t'as pas le permis tu peux rien faire. Les services publics sont de plus en plus précaires (petits bureaux de poste qui ferment, les services hospitaliers aussi...). Pas de navette vers chez moi pour aller à la ville voisine. T'es dépendant de ta voiture. Niveau sorties avec les copains c'est aussi limité. Idem si je veux rencontrer des gens de mon âge, la plupart sont partis ailleurs parce qu'il n'y a plus de travail dans le coin où j'habite.
Je suis partie faire mes études en ville. J'ai vraiment eu un sentiment d'indépendance lorsque j'ai quitté mon village. Tout d'abord vis à vis de mes parents mais surtout parce que j'osais beaucoup plus sortir tellement c'était facile à faire. Entre tous ces restaurants, les bowlings, les cinémas (avec les derniers films à l'affiche) etc.... Tu prends le tram ou le bus et hop tu y es. C'est tellement plus simple !! Tu te fonds aussi dans la masse, les gens s'en foutent complètement de ce que tu fais, de comment tu t'habilles. Je lis pas mal aussi et il n'y a pas de grandes librairies chez moi, je suis obligée de tout commander sur internet, ce que je déteste faire. Alors qu'en ville j'arrive à trouver mon bonheur directement chez le libraire.
Il n'empêche que j'adore rentrer chez mes parents. J'aime le jardin et cette vue dégagée qu'il y a sur le paysage (alors qu'en ville, derrière un immeuble se cache un autre immeuble). J'aime respirer cet air plus pur et j'aime aller voir les vaches de mon oncle.
Grâce à mon enfance j'ai reçu des valeurs de la terre qui me paraissent saines, et je suis sensible à l'environnement. Et je considère aussi que je suis partie au bon moment en ville. J'ai pu rencontrer de nouvelles personnes qui ont participé à mon ouverture d'esprit.
Pour moi il faudrait arrêter systématiquement d'opposer villes et campagnes car ce sont deux expériences qui se complètent au final.
Clairement, j'adore cette vie. C'est reposant, pas de bruits de circulation, et la proximité avec la nature est géniale (surtout pour moi qui adore l'ornithologie).
Mais, si t'as pas le permis tu peux rien faire. Les services publics sont de plus en plus précaires (petits bureaux de poste qui ferment, les services hospitaliers aussi...). Pas de navette vers chez moi pour aller à la ville voisine. T'es dépendant de ta voiture. Niveau sorties avec les copains c'est aussi limité. Idem si je veux rencontrer des gens de mon âge, la plupart sont partis ailleurs parce qu'il n'y a plus de travail dans le coin où j'habite.
Je suis partie faire mes études en ville. J'ai vraiment eu un sentiment d'indépendance lorsque j'ai quitté mon village. Tout d'abord vis à vis de mes parents mais surtout parce que j'osais beaucoup plus sortir tellement c'était facile à faire. Entre tous ces restaurants, les bowlings, les cinémas (avec les derniers films à l'affiche) etc.... Tu prends le tram ou le bus et hop tu y es. C'est tellement plus simple !! Tu te fonds aussi dans la masse, les gens s'en foutent complètement de ce que tu fais, de comment tu t'habilles. Je lis pas mal aussi et il n'y a pas de grandes librairies chez moi, je suis obligée de tout commander sur internet, ce que je déteste faire. Alors qu'en ville j'arrive à trouver mon bonheur directement chez le libraire.
Il n'empêche que j'adore rentrer chez mes parents. J'aime le jardin et cette vue dégagée qu'il y a sur le paysage (alors qu'en ville, derrière un immeuble se cache un autre immeuble). J'aime respirer cet air plus pur et j'aime aller voir les vaches de mon oncle.
Grâce à mon enfance j'ai reçu des valeurs de la terre qui me paraissent saines, et je suis sensible à l'environnement. Et je considère aussi que je suis partie au bon moment en ville. J'ai pu rencontrer de nouvelles personnes qui ont participé à mon ouverture d'esprit.
Pour moi il faudrait arrêter systématiquement d'opposer villes et campagnes car ce sont deux expériences qui se complètent au final.
Dernière édition :
J'ai quasiment la même expérience que @Mitzy . J'ai vécu mes 20 premières années à la campagne, et même si j'ai bien apprécié la proximité avec la nature, la faible densité de population ainsi que la tranquillité, je souffrais d'être loin de tout (la ville la plus proche était à 10 km et était toute petite), de dépendre en permanence de la voiture de quelqu'un d'autre, du tissu associatif/culturel inexistant. Ajoutons à ça le sentiment d'exclusion quand tu dis où t'habites et que ça n'évoque strictement rien à l'interlocuteur, tu dois à chaque fois préciser que c'est entre telle et telle ville et on te catégorise directement parmi les péquenots.
J'ai toujours du plaisir à retourner voir mes parents dans la campagne de mon enfance, mais je ne regrette pas d'avoir choisi d'habiter en ville.
J'ai toujours du plaisir à retourner voir mes parents dans la campagne de mon enfance, mais je ne regrette pas d'avoir choisi d'habiter en ville.
Ça dépend de la ville, ça dépend du village.
Tu peux vivre à la campagne et avoir un voisinnage de MERDE avec une Tuche qui raconte sa vie tous les matins à une autre Tuche deux maisons plus loin en beuglant par fenêtres interposées (je les soupçonne de ne pas avoir compris le concept du félétone ni des pieds).
Tu peux habiter à 200 mètres d'une boîte de nuit pleine de jeunes jusqu'à 4h du mat et avoir un appart suffisamment bien isolé pour t'en battre les reins quoi quoi arrive.
Tu peux avoir envie de crever d'ennui parce qu'on est en fin de mois et tu roules au Diesel et ta voiture fait TSCHK TSCHK comme une Traban ostalgique, et ainsi être cloîtré dans ta maison de campagne que tu loues à peine 500 balles par mois mais qui te permet pas d'être très épanouie niveau divertissements.
Tu peux faire ton jardin potager. Dans un cas il sera sûrement bourré de saloperies liées à la pollution urbaine, voire arrosé par le voisin du dessus qui a la flemme d'aller jusqu'à ses toilettes.
Dans l'autre cas tu peux le trouver détruit par les proliférants sangliers dont le quotat d'abattage par les chasseurs n'a encore pas été respecté cette année.
Tu peux constater que ta voiture a été garée dans une longue ligne droite de bagnoles «propice au cassage de rétroviseurs» par un sinistre matin à l'aube. Mais en même temps t'avais pas besoin de ta caisse.
Tu peux retrouver ta voiture en bon état tous les matins et, tant mieux, t'en as tellement besoin pour travailler, d'ailleurs tu dépenses plus en essence qu'en loyer.
Franchement je sais pas. J'ai testé les deux, je connais pas toutes les situations mais les deux villes/villages que j'ai testés se valaient.
J'ai une petite idée pour ma future propriété, dans une ville intermédiaire ça me parait être un bon compromis.
Tu peux vivre à la campagne et avoir un voisinnage de MERDE avec une Tuche qui raconte sa vie tous les matins à une autre Tuche deux maisons plus loin en beuglant par fenêtres interposées (je les soupçonne de ne pas avoir compris le concept du félétone ni des pieds).
Tu peux habiter à 200 mètres d'une boîte de nuit pleine de jeunes jusqu'à 4h du mat et avoir un appart suffisamment bien isolé pour t'en battre les reins quoi quoi arrive.
Tu peux avoir envie de crever d'ennui parce qu'on est en fin de mois et tu roules au Diesel et ta voiture fait TSCHK TSCHK comme une Traban ostalgique, et ainsi être cloîtré dans ta maison de campagne que tu loues à peine 500 balles par mois mais qui te permet pas d'être très épanouie niveau divertissements.
Tu peux faire ton jardin potager. Dans un cas il sera sûrement bourré de saloperies liées à la pollution urbaine, voire arrosé par le voisin du dessus qui a la flemme d'aller jusqu'à ses toilettes.
Dans l'autre cas tu peux le trouver détruit par les proliférants sangliers dont le quotat d'abattage par les chasseurs n'a encore pas été respecté cette année.
Tu peux constater que ta voiture a été garée dans une longue ligne droite de bagnoles «propice au cassage de rétroviseurs» par un sinistre matin à l'aube. Mais en même temps t'avais pas besoin de ta caisse.
Tu peux retrouver ta voiture en bon état tous les matins et, tant mieux, t'en as tellement besoin pour travailler, d'ailleurs tu dépenses plus en essence qu'en loyer.
Franchement je sais pas. J'ai testé les deux, je connais pas toutes les situations mais les deux villes/villages que j'ai testés se valaient.
J'ai une petite idée pour ma future propriété, dans une ville intermédiaire ça me parait être un bon compromis.
J'ai grandi en ville, et je ne comprends pas de quoi tu parles. Mais en vrai. C'est quoi les "valeurs de la terre" ?
Je préfère largement la ville, déjà rien que pour les transports, je n'ai pas le permis et pas les capacités pour le passer. J'habite dans une petite ville quand même bien desservie par la plus grande mais niveau culture, loisirs et commerces c'est un peu à la ramasse. Pas de grandes enseignes, des restos qui n'ont pas d'options végét'/Bio/etc, le seul cinéma passe des films sorti il y a plusieurs années et les loisirs sont quasi réservés aux moins de 10 ans et plus de 50 ans.
Le silence et le grand calme de la campagne me fait me sentir isolée et je n'aime pas du tout ça. Bon évidement je déteste aussi les bestioles, l'herbe haute et le fait que tout le monde se connaisse.
Et aussi, la ville c'est bien mieux pour les études et le boulot.
Le silence et le grand calme de la campagne me fait me sentir isolée et je n'aime pas du tout ça. Bon évidement je déteste aussi les bestioles, l'herbe haute et le fait que tout le monde se connaisse.
Et aussi, la ville c'est bien mieux pour les études et le boulot.
@grenouilleau L'écologie, j'imagine.
Ceci dit, histoire de casser le mythe, les campagnards ne sont pas les plus écolo, loin de là. Il suffit de voir les chiffres électoraux des verts dans les zones rurales -en Belgique en tout cas- pour s'en rendre compte.
Ceci dit, histoire de casser le mythe, les campagnards ne sont pas les plus écolo, loin de là. Il suffit de voir les chiffres électoraux des verts dans les zones rurales -en Belgique en tout cas- pour s'en rendre compte.
@skippy01 Peut être parce qu'ils ont moins d'avantages qui leur permettent de faire de l'écologie. 
J'ai grandi à la campagne, dans un coin assez paumé, même pas une petite ville, c'était un village (et dans un coin paumé de mon village, en plus). Le matin, je prenais le bus à 7h30 pour aller en cours et je revenais à 17h30 ; il y avait un bus le matin, un bus le soir, t'avais pas intérêt à le louper sinon, t'étais dans la mouise. Evidemment, je ne pouvais pas rentrer chez moi si je finissais les cours plus tôt (sauf si mes parents pouvaient venir me chercher, ce qui était rare). Néanmoins, j'ai bien vécu mes années à la campagne. Très casanière, je ne me suis jamais plainte de ne pas sortir le soir, préférant largement les soirées tranquilles chez moi. Puis j'ai grandi dans un grand jardin, la possibilité de courir partout, grimper aux arbres... Loin du bruit de la circulation, en plus de ça.
Maintenant, je vis dans une grande ville, pour mes études. C'est complètement différent. Mais j'aime tout autant !
Je reste assez casanière mais j'adore aller au cinéma, qui m'est bien plus accessible qu'avant. Pareil pour la médiathèque et les soirées resto improvisées. Le bruit n'est pas quelque chose qui me dérange mais parfois, les grands espaces verts loin du béton me manquent un peu... Par contre, comme je déteste conduire, j'apprécie de pouvoir circuler beaucoup plus facilement en ville sans avoir à user d'une voiture.
En somme, je crois que mon passage de campagne à ville a accompagné mon évolution personnelle. J'étais à la campagne quand j'étais plus jeune, sous les responsabilité de mes parents, assez peu indépendante. Puis je suis passée en ville avec mes études supérieures donc le moment où j'ai appris à vivre seule, me gérer, être indépendante etc.
Maintenant, je vis dans une grande ville, pour mes études. C'est complètement différent. Mais j'aime tout autant !
Je reste assez casanière mais j'adore aller au cinéma, qui m'est bien plus accessible qu'avant. Pareil pour la médiathèque et les soirées resto improvisées. Le bruit n'est pas quelque chose qui me dérange mais parfois, les grands espaces verts loin du béton me manquent un peu... Par contre, comme je déteste conduire, j'apprécie de pouvoir circuler beaucoup plus facilement en ville sans avoir à user d'une voiture.
En somme, je crois que mon passage de campagne à ville a accompagné mon évolution personnelle. J'étais à la campagne quand j'étais plus jeune, sous les responsabilité de mes parents, assez peu indépendante. Puis je suis passée en ville avec mes études supérieures donc le moment où j'ai appris à vivre seule, me gérer, être indépendante etc.
Je suis un vrai p'tit rat des villes, mais j'ai grandi à la campagne.
C'était pas la campagne "profonde", je vivais dans un bled de quelque 2500 habitants, à côté de pleins autres bleds du même acabit, fait d'un enchaînement de lotissements pavillonnaires, et très peu de services publics. Mais il y avait une ville (de près de 200 000 habitants, je sais pas si on considère ça comme une "grande ville"?) à une quinzaine de minutes en voiture/transports en commun donc c'était pas le bout du monde non plu. Pendant l'enfance c'était chouette, j'étais souvent dehors, on allait très tôt librement les uns chez les autres avec les copains/copines, on circulait dans le village à notre guise, c''était un énorme terrain de jeu quand j'y repense et je suis convaincue que mon indépendance et mon autonomie très jeune sont très liées à cette liberté dont j'ai pu profité à ce moment là !
En revanche à l'adolescence j'ai pris en horreur cette vie rurale... Sur le papier, la campagne est plutôt faite pour moi : je suis assez casanière, très introvertie et très peu sociable donc ça pourrait être le paradis mais en fait, non. C'est même marrant quand j'y pense parce que je me rends compte que j'aime les grandes villes, voire même les très, très grandes villes (j'ai adoré New York que j'ai découvert l'année dernière, je crois bien que je pourrais totalement y vivre !).
Je vis à Paris depuis bientôt 10 ans et je ne m'imagine pas ailleurs ! Je fais partie de cette (rare je crois) frange de parisiens d'adoption qui adore vivre ici ^^ J'aime le fait de pouvoir tout avoir à portée de main, pas besoin de voiture, juste de mes pieds et des transports en commun. L'offre culturelle en ville est sans commune mesure avec les campagnes, et à Paris clairement pour ça c'est le paradis ! J'aime avoir l'embarras du choix à ce niveau là, je suis clairement plus culture que nature. La campagne, j'aime bien pour des vacances mais au bout de 10 jours je commence à trouver le temps long... Je crois que j'aime beaucoup la frénésie de la ville, les bruits de la ville, la circulation me dérange rarement. (Par contre j'ai un seuil de tolérance très bas aux cris, notamment des enfants
). Mais en même temps je vis dans un quartier très calme donc ça doit forcément jouer. Ce que j'aime par dessus tout, et c'est propre à Paris pour le coup (mais à d'autres villes aussi!), c'est de lever la tête et admirer les immeubles, l'architecture, les petits détails qui échappent si on n'y prête pas attention. J'aime aussi me fondre dans la masse, l'anonymat, le fait de ne pas croiser sans cesse les mêmes têtes. Bref, comme dirait la chanson, le bitume c'est mon paysage 
Edit : fautes...
C'était pas la campagne "profonde", je vivais dans un bled de quelque 2500 habitants, à côté de pleins autres bleds du même acabit, fait d'un enchaînement de lotissements pavillonnaires, et très peu de services publics. Mais il y avait une ville (de près de 200 000 habitants, je sais pas si on considère ça comme une "grande ville"?) à une quinzaine de minutes en voiture/transports en commun donc c'était pas le bout du monde non plu. Pendant l'enfance c'était chouette, j'étais souvent dehors, on allait très tôt librement les uns chez les autres avec les copains/copines, on circulait dans le village à notre guise, c''était un énorme terrain de jeu quand j'y repense et je suis convaincue que mon indépendance et mon autonomie très jeune sont très liées à cette liberté dont j'ai pu profité à ce moment là !
En revanche à l'adolescence j'ai pris en horreur cette vie rurale... Sur le papier, la campagne est plutôt faite pour moi : je suis assez casanière, très introvertie et très peu sociable donc ça pourrait être le paradis mais en fait, non. C'est même marrant quand j'y pense parce que je me rends compte que j'aime les grandes villes, voire même les très, très grandes villes (j'ai adoré New York que j'ai découvert l'année dernière, je crois bien que je pourrais totalement y vivre !).
Je vis à Paris depuis bientôt 10 ans et je ne m'imagine pas ailleurs ! Je fais partie de cette (rare je crois) frange de parisiens d'adoption qui adore vivre ici ^^ J'aime le fait de pouvoir tout avoir à portée de main, pas besoin de voiture, juste de mes pieds et des transports en commun. L'offre culturelle en ville est sans commune mesure avec les campagnes, et à Paris clairement pour ça c'est le paradis ! J'aime avoir l'embarras du choix à ce niveau là, je suis clairement plus culture que nature. La campagne, j'aime bien pour des vacances mais au bout de 10 jours je commence à trouver le temps long... Je crois que j'aime beaucoup la frénésie de la ville, les bruits de la ville, la circulation me dérange rarement. (Par contre j'ai un seuil de tolérance très bas aux cris, notamment des enfants
). Mais en même temps je vis dans un quartier très calme donc ça doit forcément jouer. Ce que j'aime par dessus tout, et c'est propre à Paris pour le coup (mais à d'autres villes aussi!), c'est de lever la tête et admirer les immeubles, l'architecture, les petits détails qui échappent si on n'y prête pas attention. J'aime aussi me fondre dans la masse, l'anonymat, le fait de ne pas croiser sans cesse les mêmes têtes. Bref, comme dirait la chanson, le bitume c'est mon paysage Edit : fautes...
Dernière édition :
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