Quand j'allais chez ma grand-mère, j'avais le droit à une chanson en patois pour faire la sieste. 
La chanson du P'tit Quinquin
La chanson du P'tit Quinquin
Bouba, bouba mon petit oursoooooooon. Héhé.
Ou alors ma mère me chantait souvent :
Je connais les brumes claires,
La neige rose des matins d'hiveeeeer...
Ou alors :
Etoies des neiges, mon coeur amoureux, s'est prit au piège de tes grands yeeeeeux...
Ahlalalala.
Ou alors ma mère me chantait souvent :
Je connais les brumes claires,
La neige rose des matins d'hiveeeeer...
Ou alors :
Etoies des neiges, mon coeur amoureux, s'est prit au piège de tes grands yeeeeeux...
Ahlalalala.
J'étais fan d'Henry Dès, d'Hugues Aufray et d'Yves Duteil.
Sinon, la seule que mon papa me chantait c'était Petrouchka. ("C'est le marchand Petroucka qui revient, lalala d'or est rempli son sac et iiiiiiil est contant...")
Ma maman, y'en avait beaucoup:
Malheur a celui qui blesse un enfant
Là-haut sur la montagne
Santiano
Y'en a une j'me souviens plus du titre mais je l'ai toujours adorée: "Il avait une fleur entre les dents, entre les dents..."
Puis des tas d'autres, plus toutes celles de l'école.
J'me souviens d'une fancy-fair où on avait chanté "C'est nous, les gars de la mariiiiiiiiiiineuh" en maternelle.
Sinon, la seule que mon papa me chantait c'était Petrouchka. ("C'est le marchand Petroucka qui revient, lalala d'or est rempli son sac et iiiiiiil est contant...")
Ma maman, y'en avait beaucoup:
Malheur a celui qui blesse un enfant
Là-haut sur la montagne
Santiano
Y'en a une j'me souviens plus du titre mais je l'ai toujours adorée: "Il avait une fleur entre les dents, entre les dents..."
Puis des tas d'autres, plus toutes celles de l'école.
J'me souviens d'une fancy-fair où on avait chanté "C'est nous, les gars de la mariiiiiiiiiiineuh" en maternelle.
A
AnonymousUser
Guest
"Il avait une fleur entre les dents, entre les dents
Il avait dans le coeur l'amour du large et des grands vents
Et quand il s'en allait par trop gros temps il nous disait
Nous on n'a pas de cimetierre, on a la mer
Quand il ne revint pas un beau matin, un beau matin
Les femmes ne pleuraient pas, elles croisaient seulement les bras
Les hommes ne disaient rien mais ils pensaient un jour, qui sait,
Nous on n'a pas de cimetierre, on a la mer..."
Il avait dans le coeur l'amour du large et des grands vents
Et quand il s'en allait par trop gros temps il nous disait
Nous on n'a pas de cimetierre, on a la mer
Quand il ne revint pas un beau matin, un beau matin
Les femmes ne pleuraient pas, elles croisaient seulement les bras
Les hommes ne disaient rien mais ils pensaient un jour, qui sait,
Nous on n'a pas de cimetierre, on a la mer..."
Discussions similaires
