Petit compte-rendu du club lecture du 2 juillet avec @Bloody Jack !
- "Marcellin Caillou" de Sempé (éreutophobie : peur de rougir en public) : Marcellin est un petit garçon à peu près comme les autres, sauf qu'il rougit n'importe quand, sans aucune raison. Accablé par cette particularité, il a du mal à se lier avec les autres. Jusqu'au jour où il rencontre un petit garçon qui éternue tout le temps, sans être malade. S'ensuit une belle amitié, qui donne une image assez réaliste des rapports humains (et notamment quand il y a un focus sur les adultes)
- "Un mal qui ne se dit pas" d'Anne Bouferguène (SIDA) : Anne est une femme qui a tout réussi : directrice générale d'une grande entreprise, mère de deux enfants, mariée à un homme qui la soutient, roulant en voiture de luxe et très bien habillée. Mais un beau jour, son organisme fait grève et l'empêche de continuer de vivre en superactive. Elle va devoir faire une bonne introspection des familles et mettre au jour une maladie qu'elle a cherché à ignorer par tous les moyens. Ce témoignage offre un bon historique du traitement du virus du SIDA et de la considération des malades, en France. Le rapport aux autres est bien analysé, et j'aime particulièrement les paragraphes concernant les soignant.e.s
- "De la maladie" de Virginia Woolf (la maladie, voilà voilà) : article d'une vingtaine de pages commandé par son éditeur, où l'autrice parle de notre ressenti face à la maladie. Cette dernière nous pousse à nous isoler, à nous reposer et à réfléchir. Ce texte reste toujours d'actualité, et se lit très vite.
- "Marcellin Caillou" de Sempé (éreutophobie : peur de rougir en public) : Marcellin est un petit garçon à peu près comme les autres, sauf qu'il rougit n'importe quand, sans aucune raison. Accablé par cette particularité, il a du mal à se lier avec les autres. Jusqu'au jour où il rencontre un petit garçon qui éternue tout le temps, sans être malade. S'ensuit une belle amitié, qui donne une image assez réaliste des rapports humains (et notamment quand il y a un focus sur les adultes)
- "Un mal qui ne se dit pas" d'Anne Bouferguène (SIDA) : Anne est une femme qui a tout réussi : directrice générale d'une grande entreprise, mère de deux enfants, mariée à un homme qui la soutient, roulant en voiture de luxe et très bien habillée. Mais un beau jour, son organisme fait grève et l'empêche de continuer de vivre en superactive. Elle va devoir faire une bonne introspection des familles et mettre au jour une maladie qu'elle a cherché à ignorer par tous les moyens. Ce témoignage offre un bon historique du traitement du virus du SIDA et de la considération des malades, en France. Le rapport aux autres est bien analysé, et j'aime particulièrement les paragraphes concernant les soignant.e.s
- "De la maladie" de Virginia Woolf (la maladie, voilà voilà) : article d'une vingtaine de pages commandé par son éditeur, où l'autrice parle de notre ressenti face à la maladie. Cette dernière nous pousse à nous isoler, à nous reposer et à réfléchir. Ce texte reste toujours d'actualité, et se lit très vite.