@Tante Clara Je répondais un peu à tout le monde d'où l'absence de citation ^^
Mais je suis d'accord avec tout ça, ce n'est pas blanc ou noir.
Ce que j'appelle priorité regroupe ce que tu appelles possibilité. Mettre la priorité sur son bien-être et son bon état mental, c'est un choix, qui me parait normal et légitime, mais j'appelle ça quand même un choix de priorité.
Je pense que ce qui culpabilise les uns ne culpabilise pas les autres. Moi qui culpabilise pour tout et pour rien, je ne culpabilise pas par exemple de prendre ma voiture pour aller au boulot. Et je considère malgré tout que c'est pour moi une question de priorité, alors que clairement je vivrais psychologiquement et physiquement beaucoup moins bien en n'allant pas au boulot en voiture (+1H de trajet, + de stress, etc.). Donc je considère que pour ça, ma priorité c'est mon bien être et mon confort, je l'accepte.
C'est dans ce sens là que je parlais de priorité Pour d'autres ce que j'appelle priorité ça va en effet tenir plus de la survie, et c'est mon cas aussi (ma survie > l'environnement).
Quand j'ai commencé le ZD, j'ai voulu tout faire à la fois. Je l'ai mal vécu, j'ai culpabilisé de ne pas y arriver. Au final j'ai freiné tout ça, et j'ai décidé d'y aller pas à pas, en faisant ce qui me semblait moi le plus simple, en reportant à plus tard (ou à jamais) d'autres choses qui me paraissent difficile. Et au final c'est comme ça que je vis le mieux mes convictions
Mais je suis d'accord que certains discours peuvent être culpabilisant.
Avec mon copain par exemple on fait de (très) gros horaires, et on cuisine malgré tout le soir en rentrant, produits frais et compagnie. Je ne vais pas pour autant aller dire aux autres que c'est facile et qu'ils pourraient se bouger pour faire pareil. Non parce que ce qui nous semble facile ne l'est pas pour un autre, et qu'il y a plein de choses qu'on fait qui sont très critiquables du point de vue de l'environnement.
Mais je suis d'accord avec tout ça, ce n'est pas blanc ou noir.
Ce que j'appelle priorité regroupe ce que tu appelles possibilité. Mettre la priorité sur son bien-être et son bon état mental, c'est un choix, qui me parait normal et légitime, mais j'appelle ça quand même un choix de priorité.
Je pense que ce qui culpabilise les uns ne culpabilise pas les autres. Moi qui culpabilise pour tout et pour rien, je ne culpabilise pas par exemple de prendre ma voiture pour aller au boulot. Et je considère malgré tout que c'est pour moi une question de priorité, alors que clairement je vivrais psychologiquement et physiquement beaucoup moins bien en n'allant pas au boulot en voiture (+1H de trajet, + de stress, etc.). Donc je considère que pour ça, ma priorité c'est mon bien être et mon confort, je l'accepte.
C'est dans ce sens là que je parlais de priorité Pour d'autres ce que j'appelle priorité ça va en effet tenir plus de la survie, et c'est mon cas aussi (ma survie > l'environnement).
Quand j'ai commencé le ZD, j'ai voulu tout faire à la fois. Je l'ai mal vécu, j'ai culpabilisé de ne pas y arriver. Au final j'ai freiné tout ça, et j'ai décidé d'y aller pas à pas, en faisant ce qui me semblait moi le plus simple, en reportant à plus tard (ou à jamais) d'autres choses qui me paraissent difficile. Et au final c'est comme ça que je vis le mieux mes convictions
Mais je suis d'accord que certains discours peuvent être culpabilisant.
Avec mon copain par exemple on fait de (très) gros horaires, et on cuisine malgré tout le soir en rentrant, produits frais et compagnie. Je ne vais pas pour autant aller dire aux autres que c'est facile et qu'ils pourraient se bouger pour faire pareil. Non parce que ce qui nous semble facile ne l'est pas pour un autre, et qu'il y a plein de choses qu'on fait qui sont très critiquables du point de vue de l'environnement.