Je ne me suis pas du tôt reconnu non plus dans l'article sur l'entourage compréhensif à part mes parents
.
Mes migraines ont commencé à l'adolescence et ont été détecté par hasard quand un jour je ne supportais plus la lumière je pleurais de douleurs et je vomissais. Merci la génétique
. Et à ce moment là s'en est suivi un gros calvaire scolaire et sociale. On m'a isolé. "Pas la peine de l'inviter elle a toujours mal à la tete" combien de fois j'ai pas entendu cette phrase qui me brisait? Ou encore les professeurs "tu auras jamais ton bac t'es jamais la" (merci la phobie scolaire et le burn out en terminale du coup
et bande de cons j'ai eu mon bac ma licence et j'ai mon métier!)
Je pensais que ca irait mieux avec les années mais à croire que les gens sont pas compréhensibles. Combien de fois me suis je forcé à faire des sorties alors que j'étais au bord du malaise tout ca pour qu'on me prenne pas pour un boulet pour savoir que en plus après on me cassait dans le dos? "Elle eqt toujours à se plaindre" . Alors non. Juste quand tu me demandes comme ca va je vais pas te dire que je pete le feu
. Au final des amies compréhensibles sur ca.. Ca se compte sur une main.
J'avais tellement honte d'être migraineuse que je l'ai caché Au Boulot jusqu'à la première crise au travail. Je pleurais de honte jusqu'a ce qu'on me dise cette phrase libératrice "mais tu n'as pas à etre désolée ce n'est pas de ta faute'
ca m'a libéré! Et j'ai commencé à assumer! Même si j'ai encore de la culpabilité par moment comme ce week end. Énorme crise de 72h impossible de tenir debout et de manger en vacances avec les mes parents et je me trouvais comme un boulet. Ils ont du me réconforter pour que je comprenne que non c'était pas ma faute
.
Mes migraines sont devenues moins fortes mais régulières. Je peux quand meme travailler et avoir une activité normale grâce au traitement de fond!
mais il m'arrive encore de faire 2 a 4 grosses crises par an où je suis clouée au lit. C'est depuis que je suus entrée dans la vie active que c'est plus stable car j'ai un rythme de vie assez régulier 
En tout cas tu as de la chance d'avoir eu un entourage compréhensif. Moi tout le monde m'a lâché quasiment.
Et je rejoins la tram des gens quu en ont marre d'entendre s gens furent "j'ai la migraine je vais prendre du doliprane"
.Mes migraines ont commencé à l'adolescence et ont été détecté par hasard quand un jour je ne supportais plus la lumière je pleurais de douleurs et je vomissais. Merci la génétique
. Et à ce moment là s'en est suivi un gros calvaire scolaire et sociale. On m'a isolé. "Pas la peine de l'inviter elle a toujours mal à la tete" combien de fois j'ai pas entendu cette phrase qui me brisait? Ou encore les professeurs "tu auras jamais ton bac t'es jamais la" (merci la phobie scolaire et le burn out en terminale du coup
et bande de cons j'ai eu mon bac ma licence et j'ai mon métier!) Je pensais que ca irait mieux avec les années mais à croire que les gens sont pas compréhensibles. Combien de fois me suis je forcé à faire des sorties alors que j'étais au bord du malaise tout ca pour qu'on me prenne pas pour un boulet pour savoir que en plus après on me cassait dans le dos? "Elle eqt toujours à se plaindre" . Alors non. Juste quand tu me demandes comme ca va je vais pas te dire que je pete le feu
. Au final des amies compréhensibles sur ca.. Ca se compte sur une main. J'avais tellement honte d'être migraineuse que je l'ai caché Au Boulot jusqu'à la première crise au travail. Je pleurais de honte jusqu'a ce qu'on me dise cette phrase libératrice "mais tu n'as pas à etre désolée ce n'est pas de ta faute'

ca m'a libéré! Et j'ai commencé à assumer! Même si j'ai encore de la culpabilité par moment comme ce week end. Énorme crise de 72h impossible de tenir debout et de manger en vacances avec les mes parents et je me trouvais comme un boulet. Ils ont du me réconforter pour que je comprenne que non c'était pas ma faute
.Mes migraines sont devenues moins fortes mais régulières. Je peux quand meme travailler et avoir une activité normale grâce au traitement de fond!
En tout cas tu as de la chance d'avoir eu un entourage compréhensif. Moi tout le monde m'a lâché quasiment.
Et je rejoins la tram des gens quu en ont marre d'entendre s gens furent "j'ai la migraine je vais prendre du doliprane"




donc retour des bouts de latex et tampis si Monsieur est pas content.), je porte des lunettes à soleil en cas de beau temps, je garde bien au chaud dans ma poche mes protections auditives si au cas où je venais à me retrouver par hasard dans un concert de metal... Tout ça me permet d'éviter au maximum les crises de migraines. Les seules migraines que j'ai pas encore réussi à éviter c'est les migraines lors des règles et celles qui sont barométriques (malheureusement, on ne contrôle pas la pression atmosphérique
)

. Heureusement globalement les gens sont cool avec ça même si ça ne m'arrive qu'épisodiquement maintenant)
C'est rigolo parce que ça peut arriver quand t'es dans le tram, en train de dîner en famille, quand tu discutes avec tes potes, bref, n'importe quand et pas toujours à un endroit où tu peux t'allonger en urgence dans le noir et le calme total (et les Doliprane...ah ah, laissez-moi rire) ! En général, ça exaspère mon entourage qui est là :"roooh, elle a encore ses migraines
" La douleur est souvent en corrélation négative avec mon bon sens parce que je me mets à imaginer des AVC, des tumeurs et des ruptures vasculaires (un tantinet flippée me direz-vous
). Je crois que le pire, c'est quand tes proches ne comprennent absolument pas que tu as besoin de calme, continuent à parler fort autour de toi et que t'en chialerais tellement t'as mal au crâne mais que tu peux pas parce que tu sais que tu douilles encore plus si tu le fais donc tu restes en PLS dans ton lit en les maudissant.
c'est rare mais évidemment ca me prend au camping comme par hasard
. Putain hier je supportais meme plus mes parents qui parlaient j'avais juste envie de crier "la feeeeerme" 