J'ai un lit tout bête de 140 x 200, avec un matelas plutôt ferme.
Mon sommeil et moi c'est un peu je t'aime moi non plus. Le moment de l'endormissement est une grosse source d'angoisse et d'énervement, alors je repousse le moment de me coucher. Pourtant une fois endormie, je sais que je suis bien, le moment du réveil est même douloureux, mais bon...
Pour m'endormir, j'ai besoin de passer quelques minutes sur le torse de mon copain, puis au bout d'un moment je le pousse comme une sauvage pour prendre ma position préférée : allongée sur le ventre, avec les bras repliés sur la poitrine façon pharaon. Je peux aussi dormir sur le côté, avec une jambe repliée très haut (le genou sur la poitrine), et le bord de la couette coincée entre les cuisses. Dans tous les cas je ne peux pas dormir sur le dos, j'ai l'impression d'être une morte. Ah et il me faut absolument mes deux gros oreillers empilés bien comme il faut. Avant j'avais aussi un traversin et parfois un troisième oreiller, mais je me suis obligée à les supprimer pour ne pas ruiner définitivement mes cervicales.
Moi aussi j'aime avoir un joli pyjama bien confortable. Je dors toujours habillée, avec des chaussettes l'hiver, parce que j'ai les extrêmités gelées, mais pas trop chaudement non plus parce que j'ai tendance à suer (les cauchemars...). Je ne supporte pas de dormir nue. Ca me fait peur pour différentes raisons, et je trouve ça un peu sale.
Je disais donc, je fais beaucoup de cauchemars, ça me réveille quasiment chaque nuit (ou plutôt mes chouinements réveillent mon copain qui me réveille). J'ai assez souvent des "paralysies du sommeil" dont je me passerais bien.
La lumière ne me dérange pas, par contre le moindre bruit me rend folle (vraiment). Je mets parfois des petits bouchons d'oreille pour éviter la crise de nerfs à cause d'un aspirateur ou d'un parquet qui craque.
Je parle parfois la nuit. Quand j'étais sous anxiolytiques, c'était dingue, je parlais toutes les nuits, je faisais des phrases cohérentes (grammaticalement en tout cas), et je répondais si on me posait une question. Depuis que je ne prends plus de médicaments c'est redevenu rare.
Mon sommeil et moi c'est un peu je t'aime moi non plus. Le moment de l'endormissement est une grosse source d'angoisse et d'énervement, alors je repousse le moment de me coucher. Pourtant une fois endormie, je sais que je suis bien, le moment du réveil est même douloureux, mais bon...
Pour m'endormir, j'ai besoin de passer quelques minutes sur le torse de mon copain, puis au bout d'un moment je le pousse comme une sauvage pour prendre ma position préférée : allongée sur le ventre, avec les bras repliés sur la poitrine façon pharaon. Je peux aussi dormir sur le côté, avec une jambe repliée très haut (le genou sur la poitrine), et le bord de la couette coincée entre les cuisses. Dans tous les cas je ne peux pas dormir sur le dos, j'ai l'impression d'être une morte. Ah et il me faut absolument mes deux gros oreillers empilés bien comme il faut. Avant j'avais aussi un traversin et parfois un troisième oreiller, mais je me suis obligée à les supprimer pour ne pas ruiner définitivement mes cervicales.
Moi aussi j'aime avoir un joli pyjama bien confortable. Je dors toujours habillée, avec des chaussettes l'hiver, parce que j'ai les extrêmités gelées, mais pas trop chaudement non plus parce que j'ai tendance à suer (les cauchemars...). Je ne supporte pas de dormir nue. Ca me fait peur pour différentes raisons, et je trouve ça un peu sale.
Je disais donc, je fais beaucoup de cauchemars, ça me réveille quasiment chaque nuit (ou plutôt mes chouinements réveillent mon copain qui me réveille). J'ai assez souvent des "paralysies du sommeil" dont je me passerais bien.
La lumière ne me dérange pas, par contre le moindre bruit me rend folle (vraiment). Je mets parfois des petits bouchons d'oreille pour éviter la crise de nerfs à cause d'un aspirateur ou d'un parquet qui craque.
Je parle parfois la nuit. Quand j'étais sous anxiolytiques, c'était dingue, je parlais toutes les nuits, je faisais des phrases cohérentes (grammaticalement en tout cas), et je répondais si on me posait une question. Depuis que je ne prends plus de médicaments c'est redevenu rare.