J'avais une vingtaine d'années quand j'ai posé la question (idiote, je sais, mais j'étais jeune) à une collègue du "petit deuxième", sans doute plus histoire de parler de quelque chose que par intérêt d'ailleurs. Et là, elle m'explique que les médecins lui ont dit que si elle voulait, elle pouvait, mais que c'était à ses risques et périls, et que vu le parcours compliqué qu'elle avait déjà vécu, elle s'arrêtait là.
Je n'ai plus jamais posé cette question.
Sinon, dans le genre, il y a eu un grand père, décédé depuis, qui a dit à sa belle fille enceinte du 2° : "mais pourquoi tu fais un deuxième ? un c'est bien assez". Quand on sait que le papy était le numéro 6 ... on imagine comment il a aimé son enfance.