Commentaires sur Help ! Ma sœur est persuadée qu’elle sera la marraine de mon bébé, mais euh... non en fait.

[Kettricken]

Tiens et sur le fait qu'on fait un peu ce qu'on veut : je disais plutôt que c'était un peu contre-rpoductif pour l'enfant de multiplier les liens. Ben en y réfléchissant, je ne suis plus si sure
Mon fils à sa marraine et ses deux tatas, dont une qui l'a gardé très tôt et qu'il voit très souvent. Le fait d'avoir le lien avec ses tatas, notamment une qui a formé très tôt un lien fort avec lui, ne diminue pas le lien avec sa marraine. Mais c'est aussi parce qu'il y a possibilité de se voir toutes ensemble (sa marraine et mes soeurs sont amies). Du coup ça facilite les choses

A contrario, autant les parrains/marraines laics avaient du sens pour moi, autant il n'en ont aucun pour mon conjoint qui n'en a pas eu et pour qui c'est intrinsèquement lié à un côté religieux.
Il m'avait dit qu'il ne choisirait donc pas de parrain, et que je pouvais en choisir un si je voulais. Mais sachant qu'on habite déjà dans mon pays, à 1000km de la famille de mon conjoint, je ne voulais pas que les deux ancrages hors famille de notre fils se fassent de "mon côté". Donc j'ai attendu de voir si mon compagnon changeait d'avis, il l'a jamais fait, donc mon fils à une marraine mais pas de parrain.
Peut-être qu'il en choisira un un jour

 

[Le Poireau]

Spoiler: Parains/maraines - perso

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Toujours est-il que je peux comprendre l'importance de la relation parains/marraines pour certains. Je vois bien par exemple qu'une de mes amies est marraine d'une de ses nièces (donc elle est en réalité déjà tante de cette petite) mais qu'elles ont vraiment noué un lien plus particulier qu'avec les autres neveux/nièces/tantes/oncles respectifves. La petite vient passer du temps chez elle, elle se confie un peu plus facilement, etc.

Pour revenir au cas de la Madz, la solution serait peut-être d'initier la conversation avec sa soeur un peu comme un questionnement plutôt que comme un fait établi (même si la décision a l'air déjà plus ou moins prise) ? Elle pourrait demander à sa soeur si elle a des attentes dans son lien avec l'enfant à venir, à quel point est-ce qu'elle pense pouvoir s'impliquer, étant donné qu'elle est maintenant loin et assez occupée avec ses propres enfants. Et enchainer, selon comme la conversation évolue, sur les inquiétudes de la Madz sur ce point et l'idée qu'elle préfèrerait certainement désigner quelqu'un de plus proche géographiquement.

 

[alice-louve]

J'ai l'impression que dans le cas de la Madz, il n'y a pas que la distance qui joue, il y a aussi le fait qu'elle n'est pas fan de l'éducation que sa soeur donne à ses enfants... Et ça pour moi ça jouerait encore plus. On a envie qu'un parrain/une marraine s'implique dans la vie de l'enfant, passe du temps avec etc ... Mais si on n'est en désaccord avec ses principes éducatifs, ça paraît mal parti :/

 

[Ketty02]

Je n'ai pas de parrain ou de marraine et enfant je ne comprenais pas pourquoi, j'avais l'impression de ne pas y avoir droit. En plus mes parents n'ont jamais été très proches de leurs frères donc je n'ai pas de lien particulier avec mes oncles et tantes.
Je trouverais intéressant de choisir quelqu'un en dehors de la famille comme marraine ou parrain, comme il y aura déjà le lien oncle/tante/névé/nièce.
Je pense que le mieux serait que la Madz en parle de vive voix avec sa soeur, pour connaître son ressenti et expliquer son ressenti à elle. Elle peut mettre par écrit ce qu'elle souhaiterait lui dire, pour l'aider au moment d'aborder le sujet.

 

[Jonkille]

Spoiler: Parains/maraines - perso

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Toujours est-il que je peux comprendre l'importance de la relation parains/marraines pour certains. Je vois bien par exemple qu'une de mes amies est marraine d'une de ses nièces (donc elle est en réalité déjà tante de cette petite) mais qu'elles ont vraiment noué un lien plus particulier qu'avec les autres neveux/nièces/tantes/oncles respectifves. La petite vient passer du temps chez elle, elle se confie un peu plus facilement, etc.

Pour revenir au cas de la Madz, la solution serait peut-être d'initier la conversation avec sa soeur un peu comme un questionnement plutôt que comme un fait établi (même si la décision a l'air déjà plus ou moins prise) ? Elle pourrait demander à sa soeur si elle a des attentes dans son lien avec l'enfant à venir, à quel point est-ce qu'elle pense pouvoir s'impliquer, étant donné qu'elle est maintenant loin et assez occupée avec ses propres enfants. Et enchainer, selon comme la conversation évolue, sur les inquiétudes de la Madz sur ce point et l'idée qu'elle préfèrerait certainement désigner quelqu'un de plus proche géographiquement.

C’est extrêmement mignon comme tradition familiale !