Je suis assez d'accord avec le fait que les jours soient flottant, comme ça devrait l'être pour toute maladie chronique. Pour ma part j'ai choisi de ne pas avoir mes règles plus de deux fois par an, et je choisis des semaines "à vide", où je pourrai gérer les inconvénients, mais je vis souvent une situation similaire à celle d'une personne ayant des règles douloureuses et régulière. J'ai des maux de ventre extrêmement fort (pas d'idée de causes donc pas de solution/justification médicale) régulièrement, souvent qui dure bien une journée, ça m'est arrivé au travail récemment j'aurais aimé juste pouvoir me lever et dire "désolée aujourd'hui ça va pas être possible" et ramper jusque chez moi. Mais non il faut prouver avoir eu une "vraie" maladie attestée par un généraliste, et encore. Si en tant qu'employeur tu te mets à soupçonner tes employés de se dire incapable physiquement de venir bosser afin juste d'éviter le travail, faut se questionner sur le cadre du bureau je pense. Bref c'est décousu mais pour dire que les jours de règles ou autres maux on devrait pouvoir avoir un dialogue avec son employeur comme toute personne grippée en aurait. Et ça éviterait de s'inquiéter sur les conséquences néfastes d'une loi comme celle évoquée. Pour faire un parallèle douteux, si les hommes pouvait pareillement avoir tendance à prendre des congés parentaux (que ce soit dans la loi ou la pratique permise par un nouveau système de "congés") à lâcher l'équipe à 16h, ou même avoir des enfants seuls, les employeurs seraient renvoyer à leur bêtise de s'interroger sur le recrutement des gens avec un utérus fonctionnel.