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Lina dépense 450 € de courses par mois : « Le goût des tomates du jardin n’a pas de prix »
Lina dépense 450 € de courses par mois : « Le goût des tomates du jardin n’a pas de prix »
Commentaires sur Lina dépense 450 € de courses par mois : « Le goût des tomates du jardin n’a pas de prix »
- Initiateur de la discussion Charlotte Arce
- Date de début
Merci pour le témoignage
Par rapport au fait que de manger des animaux en pâturages serait plus un atout qu'une contrainte, j'ai du mal à suivre le raisonnement par contre ?
Dans tous les cas, manger ni viande rouge ni viande blanche et diminuer les produits laitiers, c'est bien plus efficace pour l'environnement que de manger local et de saison. Le mieux c'est de faire les deux mais à choisir...
Par rapport au fait que de manger des animaux en pâturages serait plus un atout qu'une contrainte, j'ai du mal à suivre le raisonnement par contre ?
Dans tous les cas, manger ni viande rouge ni viande blanche et diminuer les produits laitiers, c'est bien plus efficace pour l'environnement que de manger local et de saison. Le mieux c'est de faire les deux mais à choisir...
Témoignage intéressant, merci.
Sans vouloir du tout leur jeter la pierre, je suis un peu surprise par leur consommation de protéines animales , que je trouve pour ma part très élevée.
J’ai souvent entendu cet argument pour défendre l’élevage en pâturage (qui permet par exemple l’entretien d’espaces « ouverts » comme des prairies en montagne), mais j’avoue que je ne connais pas la pertinence de cette logique.
Sans vouloir du tout leur jeter la pierre, je suis un peu surprise par leur consommation de protéines animales , que je trouve pour ma part très élevée.
J’ai souvent entendu cet argument pour défendre l’élevage en pâturage (qui permet par exemple l’entretien d’espaces « ouverts » comme des prairies en montagne), mais j’avoue que je ne connais pas la pertinence de cette logique.
Un vrai "gain pour l'environnement", ce serait de réduire drastiquement sa consommation de viande... Qui est très élevée, de ce que je comprends.
Pour le reste, je suis d'accord avec elle sur l'importance (ou en tout cas le plaisir) d'être autosuffisant, et j'aimerais beaucoup aussi avoir mon propre potager !
Pour le reste, je suis d'accord avec elle sur l'importance (ou en tout cas le plaisir) d'être autosuffisant, et j'aimerais beaucoup aussi avoir mon propre potager !
Désolée mais l'enclos pour ses poules est beaucoup trop petit... Sauvées de l'abattoir mais maltraitées chez le particulier c'est cocasse...
@Marre des La recommandation c'est pas 1m² pour 4 poules ?
Sinon la consommation de viande est hyper importante
surtout de viande rouge ! (rien que le prix de la viande rouge déjà...). Je trouve déjà que j'en mange trop et je mange la moitié de ça en quantité au pire de ma conso...
Sinon la consommation de viande est hyper importante
surtout de viande rouge ! (rien que le prix de la viande rouge déjà...). Je trouve déjà que j'en mange trop et je mange la moitié de ça en quantité au pire de ma conso...@AngèleLN euh non... C'est minuscule 1m2 pour 4 poules...
Concernant la dimension du poulailler, on compte entre 0.5 et 1.5 m² PAR POULE, selon l'espèce. L'enclos nécessite bien plus d'espace, entre 10 et 20 m² PAR POULE. Si l'on ne dispose pas de cette surface minimum chez soi, il n'est pas conseillé d'adopter un gallinacé.
Par conséquent il y a clairement maltraitance...
Concernant la dimension du poulailler, on compte entre 0.5 et 1.5 m² PAR POULE, selon l'espèce. L'enclos nécessite bien plus d'espace, entre 10 et 20 m² PAR POULE. Si l'on ne dispose pas de cette surface minimum chez soi, il n'est pas conseillé d'adopter un gallinacé.
Par conséquent il y a clairement maltraitance...
C'est assez paradoxal de vouloir "une consommation alimentaire la plus respectueuse possible de l’environnement et du vivant" et manger de la viande tous les jours. Je suis pas végétarienne (même si ma consommation est beaucoup moins importante que Lina) mais je ne dis pas que je veux avoir une alimentation qui respecte le vivant, ça serait hypocrite de ma part.
Si tu veux une alimentation qui respecte vraiment le vivant, tu manges pas de viande (parce que c'est bien beau le welfarisme (? c'est bien ça le terme ?) mais l'animal est quand même abattu bien avant sa mort naturelle pour qu'on puisse profiter de notre steak bien tendre et saignant et tu construis un poulailler plus grand pour tes 3 poules. Parce que sérieux, les 3 poules, elles se marchent dessus dans 1m2 les pauvres ...
Si tu veux une alimentation qui respecte vraiment le vivant, tu manges pas de viande (parce que c'est bien beau le welfarisme (? c'est bien ça le terme ?) mais l'animal est quand même abattu bien avant sa mort naturelle pour qu'on puisse profiter de notre steak bien tendre et saignant et tu construis un poulailler plus grand pour tes 3 poules. Parce que sérieux, les 3 poules, elles se marchent dessus dans 1m2 les pauvres ...
C'est triste, mais parfois "respectueux du vivant" entre en contradiction avec "respectueux de l'environnement". La viande d'animal élevé en liberté a un impact carbone plus grand que celle des animaux élevés en cage. La raison est qu'il faut une plus grande surface pour produire un kg de viande.
Le meilleur moyen de résoudre ce dilemme est encore de ne pas manger de viande...
EDIT: En relisant l'article, je ne suis pas du tout d'accord quand Lina dit que les prairies sont un grand stock de carbone et de biodiversité. Je me souviens d'un reportage de Hugo Clément qui disait que les prairies, c'est niveau 0 pour la biodiversité
Le meilleur moyen de résoudre ce dilemme est encore de ne pas manger de viande...
EDIT: En relisant l'article, je ne suis pas du tout d'accord quand Lina dit que les prairies sont un grand stock de carbone et de biodiversité. Je me souviens d'un reportage de Hugo Clément qui disait que les prairies, c'est niveau 0 pour la biodiversité
Je suis absolument d'accord avec toi, je suis choquée de la taille de l'enclos qui ne permet pas aux poules d'exprimer leurs besoins physiologiques et comportementaux liés à l'espèce (besoins essentiels au bien-être animal). En réalité, une seule poule a besoin de "gratter", retourner la terre avec ses griffes sur une surface minimale de 10 à 20 m² comme tu le dis. Pour améliorer leur bien-être, la solution dans ce cas serait au moins de les laisser gambader dans leur jardin de 20m² s'il est clos et de les rentrer au poulailler pour la nuit...
Quand à la consommation de viande de ce couple, je suis également choquée par la quantité, en gros ils consomment de la viande ou du poisson à chaque repas. Quand on connaît l'impact de l'élevage sur le climat, c'est excessif. Et cela ne sert à rien d'essayer de se déculpabiliser en prônant les "bienfaits" des prairies...
@Charlotte Arce ce serait bien un petit encart pour expliquer que les conditions de vie de ces poules relèvent de maltraitance animale? Vivre dans une si petite cour et manger des épluchures, sans pouvoir gratter la terre, c'est vraiment pas une vie. Ce serait dommage que les lecteurices suivent les conseils de la témoignantes et adoptent des poules dans ce genre de conditions...
@A Kane alors rien de scientifique mais mes parents ont des poneys dans une grande parcelle depuis de longues années. Ces prés n’étaient pas entretenus car en pente pour une partie et difficile d’accès, en fait c’était sûrement des vignes en monoculture pendant des décennies avant d’être des ronciers pour une bonne partie. Ces parcelles n’étaient pas vraiment exploitables, mon père à petit à petit réduit les ronciers et les poneys également, ils ont surtout permis que les ronciers de reprennent pas. Aujourd’hui même si par endroits l’herbe n’est pas très belle (on est loin des prairies de Normandie 
), il y a tout de même une grande diversité de plantes et fleurs ainsi qu’une variété d’orchidée endémique qu’on avait jamais vu dans ces prés avant.
Donc ça me fait dire que ça peut fonctionner, dans certaines zones et avec du temps et de l’entretien. Après les poneys de mes parents n’ont jamais consommé d’antibiotiques et ne représentent pas un élevage intensif, leur surface actuelle est très vaste et ils sont nourris au foin l’hiver (mais on est en montagne, il n’y a plus d’herbe quand les températures sont négatives).
), il y a tout de même une grande diversité de plantes et fleurs ainsi qu’une variété d’orchidée endémique qu’on avait jamais vu dans ces prés avant.Donc ça me fait dire que ça peut fonctionner, dans certaines zones et avec du temps et de l’entretien. Après les poneys de mes parents n’ont jamais consommé d’antibiotiques et ne représentent pas un élevage intensif, leur surface actuelle est très vaste et ils sont nourris au foin l’hiver (mais on est en montagne, il n’y a plus d’herbe quand les températures sont négatives).
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