Wow @Lunafey, dire que c'est malsain c'est vachement violent, pense un peu à ce que peuvent ressentir les gens concernés qui vont te lire... Je viens pas sur le forum pour lire des insultes, les commentaires facebook sont déjà suffisant pour ça...
Actuellement, je suis autochoris (je suis de celleux qui pensent qu'être ace, comme être homo/hétéro/bi/pan/toutes_les_variations_qui_existent peut varier dans la vie, sans que ça remette en cause l'orientation passée ou présente de la personne concernée), mais je pense avoir été akioromantique quasi toute mon adolescence, et je n'ai pas l'impression que ça me rende malsaine... Et je suis sûre de n'avoir imposé mes sentiments à personne, puisque mes crush ne se sont même jamais douté qu'ils me plaisaient et que je n'ai jamais eu le moindre geste déplacé envers yels.
Quand tu es akio, il ne s'agit absolument pas de violer ou d'imposer son désir à quelqu'un de non consentant (on parle d'asexualité là, c'est pas les ace qui risquent le plus de violer quelqu'un vu comme le sexe nous intéresse peu)
Comme je le comprends, c'est un peu l'attrait de ce qui est inaccessible. Quand tu crushes sur quelqu'un qui n'a pas les mêmes sentiments pour toi, tu peux imaginer tout ce que tu veux : le premier rendez-vous, l'évolution de la relation, les bisous ou pas bisous, les câlins ou plus ou pas, etc. Mais si l'attirance devient réciproque, la relation perd son intérêt.
Quand je suis sortie avec mon premier copain (j'étais akio à l'époque), la période où je crushais juste sur lui et où je le draguouillais était juste géniale : je passais mon temps à me faire des films, j'étais hyper contente et excitée (dans le sens non sexuel du terme, hein). Puis on a eu notre premier rendez-vous, il m'a demandé de sortir avec lui, j'ai dit oui, et dans la demi-heure suivante j'étais déjà lassée. Et plus le temps passait, plus cette relation devenait dénuée d'intérêt à mes yeux
Un peu comme ces fringues superbes que tu aimes d'amour dans la boutique du magasin, mais que tu ne porteras jamais si tu les achètes, parce que dans ta penderie elles ne te plaisent plus (c'est pour ça que n'achète presque pas de vêtements, en fait )
NB : ce n'est que mon ressenti par rapport à ce que ça peut vouloir dire d'être akio, les personnes concernées sont mieux au courant que moi, mais je peux pas accepter qu'on dise qu'être akio c'est malsain, parce que c'est complètement faux
PS : merci @Miss Lu pour cet article ❤ C'est en parcourant des articles et forums de Madz sur l'asexualité que j'ai découvert que je n'étais pas anormale/chelou/seule, et de connaître le mot qui me définit ça m'a libéré d'un poids énorme. Même maintenant, lire un article comme celui-ci, ça m'aide encore plus à me sentir normale, et c'est franchement cool
Actuellement, je suis autochoris (je suis de celleux qui pensent qu'être ace, comme être homo/hétéro/bi/pan/toutes_les_variations_qui_existent peut varier dans la vie, sans que ça remette en cause l'orientation passée ou présente de la personne concernée), mais je pense avoir été akioromantique quasi toute mon adolescence, et je n'ai pas l'impression que ça me rende malsaine... Et je suis sûre de n'avoir imposé mes sentiments à personne, puisque mes crush ne se sont même jamais douté qu'ils me plaisaient et que je n'ai jamais eu le moindre geste déplacé envers yels.
Quand tu es akio, il ne s'agit absolument pas de violer ou d'imposer son désir à quelqu'un de non consentant (on parle d'asexualité là, c'est pas les ace qui risquent le plus de violer quelqu'un vu comme le sexe nous intéresse peu)
Comme je le comprends, c'est un peu l'attrait de ce qui est inaccessible. Quand tu crushes sur quelqu'un qui n'a pas les mêmes sentiments pour toi, tu peux imaginer tout ce que tu veux : le premier rendez-vous, l'évolution de la relation, les bisous ou pas bisous, les câlins ou plus ou pas, etc. Mais si l'attirance devient réciproque, la relation perd son intérêt.
Quand je suis sortie avec mon premier copain (j'étais akio à l'époque), la période où je crushais juste sur lui et où je le draguouillais était juste géniale : je passais mon temps à me faire des films, j'étais hyper contente et excitée (dans le sens non sexuel du terme, hein). Puis on a eu notre premier rendez-vous, il m'a demandé de sortir avec lui, j'ai dit oui, et dans la demi-heure suivante j'étais déjà lassée. Et plus le temps passait, plus cette relation devenait dénuée d'intérêt à mes yeux
Un peu comme ces fringues superbes que tu aimes d'amour dans la boutique du magasin, mais que tu ne porteras jamais si tu les achètes, parce que dans ta penderie elles ne te plaisent plus (c'est pour ça que n'achète presque pas de vêtements, en fait )
NB : ce n'est que mon ressenti par rapport à ce que ça peut vouloir dire d'être akio, les personnes concernées sont mieux au courant que moi, mais je peux pas accepter qu'on dise qu'être akio c'est malsain, parce que c'est complètement faux
PS : merci @Miss Lu pour cet article ❤ C'est en parcourant des articles et forums de Madz sur l'asexualité que j'ai découvert que je n'étais pas anormale/chelou/seule, et de connaître le mot qui me définit ça m'a libéré d'un poids énorme. Même maintenant, lire un article comme celui-ci, ça m'aide encore plus à me sentir normale, et c'est franchement cool