Je fais partie de celles pour qui les menstruations étaient importantes
C'était important dans ma pratique spirituelle, et aussi pour ma féminité/animalité (c'est ma vision, je ne l'impose pas), et j'ai besoin de "rythmes" dans ma vie pour être à l'aise : fêtes, saisons, menstrues, ça fait partie des choses qui m'aident à appréhender le temps, chose qui m'est compliquée !
Et maintenant que je dois supprimer mes règles et reprendre des hormones alors que je voulais être le moins médicalisée possible, bah elles me manquent. La douleur me donnait quelques jours où je me recentrais et isolais, où je prenais soin de moi, c'était un moment très riche dans ma pratique... L'idée de cycle biologique c'était important pour moi et la sacralisation des événements physiques dans ma pratique font que j'ai l'impression d'avoir un vide maintenant. Et le fait que ce n'est pas un choix mais une nécessité médicale ne rend pas les choses faciles.
Je crois que les règles sont vécues comme indésirables quand elles ne font pas sens, mais pour celles qui leur donnent un sens elles sont importantes. C'est là l'incompréhension entre les différents points de vue je pense
Donc quand elles ne sont pas importantes pour soi, autant les supprimer oui Si on prend déjà la pilule alors banco, si on ne la prend pas alors il faut réfléchir à la balance bénéfice/risque des différentes options avec son ou sa spécialiste
C'était important dans ma pratique spirituelle, et aussi pour ma féminité/animalité (c'est ma vision, je ne l'impose pas), et j'ai besoin de "rythmes" dans ma vie pour être à l'aise : fêtes, saisons, menstrues, ça fait partie des choses qui m'aident à appréhender le temps, chose qui m'est compliquée !
Et maintenant que je dois supprimer mes règles et reprendre des hormones alors que je voulais être le moins médicalisée possible, bah elles me manquent. La douleur me donnait quelques jours où je me recentrais et isolais, où je prenais soin de moi, c'était un moment très riche dans ma pratique... L'idée de cycle biologique c'était important pour moi et la sacralisation des événements physiques dans ma pratique font que j'ai l'impression d'avoir un vide maintenant. Et le fait que ce n'est pas un choix mais une nécessité médicale ne rend pas les choses faciles.
Je crois que les règles sont vécues comme indésirables quand elles ne font pas sens, mais pour celles qui leur donnent un sens elles sont importantes. C'est là l'incompréhension entre les différents points de vue je pense
Donc quand elles ne sont pas importantes pour soi, autant les supprimer oui Si on prend déjà la pilule alors banco, si on ne la prend pas alors il faut réfléchir à la balance bénéfice/risque des différentes options avec son ou sa spécialiste
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