Et si on arrêtait de mettre le (mauvais) top Netflix sur le dos de la pandémie

Kalindi

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23 Juin 2017
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Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Et si on arrêtait de mettre le (mauvais) top Netflix sur le dos de la pandémie
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Membre supprimé 350151

Guest
Je pense que la pandémie joue quand même un rôle.

Je regarde plus souvent de programmes "cucul" depuis quelques temps, et ça me semblerait absurde de nier que le contexte joue un rôle dedans. On vit une époque où il y a eu un gros bouleversement, on a déjà vécu deux confinements, il y a le couvre-feu, les gestes barrières, les masques, bref, rien que ça pour moi : c'est pas du tout la joie. Je n'ai pas commencé à les regarder avec l'apparition de la pandémie par contre, il est clair que j'en regarde plus souvent qu'avant.
 

FraiseDeGrouchy

Retard excusé si ce sont des Mara des bois
28 Juillet 2020
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Je trouve ça très sain d'encourager les gens à assumer leurs goûts et leurs préférences en se moquant de l'opinion des autres.

En revanche, j'ai beaucoup de mal avec le discours qui consiste à considérer que, dans l'art ou dans la culture, tout est purement subjectif et que toute hiérarchie est à bannir. Autant je comprends la démarche de déculpabiliser les gens en leur rappelant qu'ils peuvent avoir leurs propres goûts quoi qu'en pensent les autres, autant je pense que cette démarche peut s'affranchir de la logique du "tout se vaut". Quelques exemples caricaturaux permettent, si ce n'est de démontrer, au moins de ressentir que la thèse de la subjectivité absolue est très discutable: le cinéma de Luc Besson est-il de plus ou moins grande qualité que celui de Robert Bresson? Les talents de compositeurs de JUL sont-ils supérieurs à ceux de Mozart? Marc Lévy est-il un plus grand écrivain qu'Andreï Makine? J'ai la faiblesse de penser qu'on peut, au moins sur ces exemples (extrêmes je le reconnais), s'accorder sur une hiérarchie claire et objective.

En résumé, on peut encourager les gens à assumer leurs goûts et les respecter, mais je pense qu'on peut s'abstenir de tout mettre au même niveau et de considérer que la qualité d'une œuvre est fonction uniquement de la sensibilité de celui ou celle qui en juge la qualité.

Un autre point aussi que je trouve intéressant: le libéralisme économique bénéficie directement de la doctrine du "tout se vaut" et du mouvement de pensée selon lequel tout n'est que subjectivité dans l'art. Si on admet qu'il existe une hiérarchie et que toutes les œuvres ne valent pas le coup d'être "consommées", il devient beaucoup plus difficile de publier des livres médiocres ou de projeter des films ineptes puisque le public visé aura une certaine exigence. A l'inverse, si tout est subjectif, si une œuvre en vaut bien autre et si toute hiérarchie est impossible, alors on peut produire tout et n'importe quoi puisqu'on trouvera un public prêt à consommer sans culpabiliser, conforté par l'idée que leurs goûts sont tout aussi légitimes que ceux des autres.

Il est plus facile de réunir des millions de téléspectateurs pour voir le dernier Avengers si on a bien pris la peine d'éviter de leur montrer la filmographie de Nuri Bilge Ceylan et, surtout, si on les a convaincus que, après tout, préférer l'un ou l'autre relève juste de la subjectivité ou de la sensibilité de chacun.
 
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30 Décembre 2013
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@FraiseDeGrouchy
Franchement, j'ai un peu tendance à penser comme toi pour la "hierarchie" mais au fond, cela dépend de ce que tu cherche dans l'art, et c'est hyper subjectif ... D'autant plus que tu as choisi des oeuvres très peu comparables !
Par exemple, on pourrait dire que la musique et la recherche de mozart est beaucoup plus riche, mais peut être qu'une personne X ou Y va chercher dans la musique des paroles qui lui parlent, une possibilité de danser, peut être que c'est ça qui lui fait ressentir des choses fortes et que du coup sur ces points, JUL est "meilleur"
Peut être que dans la littérature, ce qu'on cherche c'est un livre capable de "tenir en haleine" avec du suspense, et même si je n'aime pas l'écriture de Lévy, au fond il arrive très bien à faire ça (ce qui n'est pas le cas d'autres grand auteurs, puisque ce n'était pas leur but premier)
Peut etre que dans le cinéma, on a envie d'un film avec des effets visuels incroyables, et d'être dans un grand suspense (ce que Besson a bien réussi dans certains de ses films)

Pour moi, on peut dire "objectivement" que tel artiste (auteur, écrivain, réalisateur) est meilleur qu'un autre sur tel point (la photographie, le rythme ect), mais c'est compliqué de dire qu'il est objectivement meilleur ... Il peut parler à plus de personnes et toucher beaucoup de gens, ce qui en fera quelqu'un de reconnu, mais c'est compliqué de comparer deux œuvres
A partir du moment où un artiste, même JUL ou Lévy, arrive à toucher des personnes, c'est qu'il y a eu une raison derrière, et qui est ce qu'on est pour décider que cette raison là est moins importante qu'un autre critère ? Est ce qu'il n'y a pas une sorte de "snobisme" intellectuel qui décide que avoir un style littéraire est plus important que de savoir raconter une histoire qui se lira facilement et qui accrochera beaucoup de personnes ?

Edit :
Et pour ton dernier paragraphe je ne te suis pas bien ...
Déjà, pourquoi culpabiliser les gens d'aimer quelque chose ? De la même façon que l'on sait que le nutella ce n'est pas bon pour la santé, et que ce n'est pas un degré ultime de rafinement, cela n’empêche pas que c'est massivement consommé.
De la même façon, savoir qu'un livre ne va pas gagner le prix nobel de la littérature n'empèche pas de l'apprécier. Perso j'aime beaucoup lire, mais en vacances j'aime lire des livres "facile à lire", que je vais pouvoir lire dans des pauses, à la plage ... Et finir vite. C'est sur ces critères que je vais juger, et souvent je me tourne vers des polars. Et là je regarde en général les "notes" des livres mais uniquement par ce que j'ai envie de tomber sur quelque chose qui a une plus grande chance de me plaire, pas par envie de lire quelque chose qui ne soit objectivement pas mediocre.
De la même façon qu'en soirée on peut avoir envie d'une musique "basique" mais dansante, que parfois on a envie d'un film un peu "bête et méchant" pour se vider la tête ... Pourquoi culpabiliser pour ça ? Tant que ça ne véhicule pas des idées "dangereuses" (type téléréalité et la toxicité des relations, du féminisme ect)
Maintenant, je ne pense pas que le fait de savoir qu'il y a une hierarchie change a l'envie de consommer, je pense que la plupart des gens qui lisent Lévy ou Musso savent que ça n'est pas autant considéré que Zola ou Hugo, mais ce n'est pas ce qu'ils veulent.
Il y a de toute façon toujours eu des divergences entre les critiques intellectuelles et les avis du public, par ce que les critères regardés et les appréciations ne sont pas toujours les même ...
Le marché, quant à lui, et bien il se régulera selon les gouts du public, ça ne veut pas dire que tout peut potentiellement marcher. Si Lévy marche aussi bien c'est qu'il y a une raison au fond. Est ce que c'est si grave qu'il y ait des propositions artistiques qui ne soient pas considérées comme "au top" intellectuellement par les critiques et qui pourtant marchent ?
Et pourquoi est ce qu'on ne devrait avoir que des propositions "haut niveau" ? Si j'ai envie de mon roman de gare de temps en temps, en quoi est ce que c'est mal ? Est ce que l'on ne doit consommer que ce qui est "approuvé" par les critiques intellectuelles ? Est ce que c'est grave d'avoir une culture musicale de type JUL ?
 
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8 Février 2014
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Je suis assez d'accord avec @Nienke aussi. Je pense que la pandémie n'est pas totalement responsable de tout non plus mais ça ne m'étonne pas qu'en période de crise les gens se tournent vers des choses plus légères. Un grand nombre de personnes vivent des choses très difficiles en ce moment, donc je comprends aussi que c'est pas forcément évident de se regarder (par exemple) un film de Ken Loach quand on est soi-même sans emploi dans une situation difficile par exemple.

D'ailleurs ça me fait penser à une vidéo que j'avais vue qui comparait les différentes adaptations du roman "les filles du docteur March". Et il en ressortait que la version sortie durant la Grande Dépression tenait compte du fait qu'une très grande partie des spectateurs étaient dans une situation de pauvreté extrême et que cette sortie au cinéma était leur seul "échappatoire" de leur quotidien. Du coup, dans cette version, les sœurs March étaient présentées comme pauvres et devant travailler mais avec quand même quelques scènes pour émerveiller les spectateurs comme une belle salle de bal ou un beau dîner de Noël pour leur permettre de rêver à un avenir meilleur. Les œuvres s'adaptent nécessairement à la période, l'objectif c'est quand même de faire rêver les gens, parce que faire rêver les gens c'est surtout ça qui fait vendre (il suffit de voir les audiences que la rediffusion d'Harry Potter a fait au premier confinement, les gens avaient clairement envie d'entendre parler d'autre chose que du Covid).

Au-delà de ça, je pense que les gens se tournent aussi vers ce qu'on leur propose. Si "les chroniques de Bridgerton" sont dans le top 10, c'est aussi parce que la série a bénéficié d'une promotion en mode rouleau-compresseur. Un peu comme Emily in Paris. Quand la série est sortie l'automne dernier, honnêtement j'ai eu l' impression d'en entendre parler partout que ce soit dans Madmoizelle, en page d'accueil Netflix, dans mes propositions YouTube, ou mes notifications autres. Ça engendre de la curiosité qui fait que l'on se laisse tenter par un épisode (en plus c'est tellement simple, la série s'affiche direct en page d'accueil du coup c'est super simple de juste cliquer dessus pour regarder quelques minutes et se faire une idée- et il me semble que rien que ça c'est comptabilisé dans les vues). Alors certes, des nouvelles séries il en existe des dizaines qui sortent par semaine, mais encore faut-il en entendre parler pour aller cliquer dessus, ou encore faire la démarche de faire des recherches. Personnellement j'adore les films historiques, avec de beaux costumes, si possible de bonnes intrigues pourquoi pas saupoudrées d'un peu de mystère à la Gosford Park, ou alors d'une romance touchante comme dans Orgueils et préjugés, ou même du fantastique comme dans Outlander. J'aimerais beaucoup que l'on me propose des films de qualité sur ces thématiques mais je n'en ai pas non plus entendu parler de beaucoup ces derniers temps, alors je me rabats sur Bridgerton parce que c'est ce qui s'en rapproche de plus. De la même manière que je me desespère au cinéma parce que la mode est aux films de super-héros alors que moi mon truc c'est plus willow, le seigneur des anneaux ou Harry Potter alors je sais que quand la suite des animaux fantastiques va sortir j'irai sûrement le voir même si le deuxième volet ne m'a pas plu juste parce que c'est le seul truc que j'ai à me mettre sous la dent. Du coup je vais m'ajouter aux compte de nombres de vues alors même que dans le fond je suis moyennement convaincue.

Du coup quand je vois le top 10 Netflix, je n'y vois pas tant que ça la liste des œuvres que les gens ont préférées mais juste la liste de ce qui a été le plus regardé parce que le plus mis en avant par l'appli.

Cela dit je suis tout à fait d'accord que l'on devrait tous pouvoir assumer d'aimer les œuvres que l'on aime sans se sentir jugés y compris lorsque l'on sait que l'œuvre n'est pas "terrible". Après je trouve que c'est toujours plus simple à dire qu'à faire selon le milieu d'où l'on vient (et je pense même que c'est plus simple quand justement on vient d'un milieu peut-être plus culturellement aisé parce que c'est toujours plus simple d'assumer que l'on regarde de la télé-réalité pour se débrancher le cerveau quand derrière notre entourage sait que l'on a déjà vu toute la filmographie de Kurosawa et que l'on n'a plus à prouver côté culture générale). Du coup je trouve que plutôt que de dire qu'il faut assumer que l'on regarde des choses pas terribles, il faudrait aussi ne pas juger les gens qui regardent autre chose que nous parce que nous n'avons pas tous le même bagage émotionnel, culturel, d'expériences et que ça joue beaucoup sur notre rapport aux œuvres que l'on regarde.

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13 Juin 2017
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@FraiseDeGrouchy Je ne connais à chaque fois qu'un membre de tes comparaisons, du coup ça va être dur de répondre à ta question :shifty:.

Mais autant je peux comprendre qu'on applique une hiérarchie à la littérature (je pense que ce n'est pas pour rien que certaines œuvres sont restées comme des classiques alors que d'autres sont totalement tombées dans l'oubli), autant est-ce que tu appliques le même raisonnement à l'art pictural ? Parce qu'on peut certes juger la technique, mais au-delà de ça comment fais-tu une hiérarchie entre les peintres pompiers du XIXe, les impressionnistes et Picasso ? Ou même entre deux artistes du même courant ? Je trouve que dès qu'on sort du figuratif (et encore) il n'y a plus vraiment de hiérarchisation possible.

Je suis par ailleurs d'accord avec @esky, on peut parfois avoir envie de lire Germinal et à d'autres moments avoir juste envie de lire quelque chose de léger juste pour se vider la tête, par exemple après une journée difficile je ne suis pas d'humeur à lire des trucs déprimants et je suis bien contente qu'il existe des livres plus faciles à lire (que ce soit par rapport au thème ou au style).
 
M

Membre supprimé 357905

Guest
Personnellement, j'étais élevée en snob intellectuelle. Je me retrouve complètement dans cet article qui me rappelle combien il m'a été difficile de sortir du regard des autres, et surtout celui de mon père. Il méprisait mes Cœurs Grenadine mais était super fier que j'essaie de lire les classiques conseillés par Je Bouquine (j'ai été abonnée à des magazines Bayard toute ma vie). C'est comme ça que j'ai lu Madame Bovary en cinquième et que je n'ai pas compris les ellipses temporelles... En seconde, quand il a été au programme, tout s'est éclairé et j'ai bien mieux compris l'histoire.
Il ne m'interdisait pas de regarder des séries quand j'étais au collège (perso, c'était Hartley Cœur à vif, Dawson et surtout, la trilogie du samedi) mais il se moquait du temps que je perdais à regarder ces bêtises.
Pourtant, ça ne m'a pas empêché par la suite de commencer un podcast (un peu niqué par la pandémie) que j'estime poussé sur Buffy avec une amie. Et d'adorer Smoking/ No Smoking au même niveau que Scary Movie et Scream, ou Un Indien dans la ville (préado des 90s represent).
Je lis toujours des "classiques" avec plaisir mais par exemple tout le monde parle d'un roman de chez Galmeister, je ne me souviens plus du titre, mais une gamine maltraitée par son père. Je ne peux plus lire des bouquins comme ça! C'est pas qu'ils sont mauvais, je rate certainement des lectures qui m'auraient bouleversée. Mais toute cette violence, je ne peux plus. C'est mon histoire émotionnelle, mon bagage, comme disait quelqu'un plus haut.
Et j'adore intercaler des classiques ou des bouquins plus longs, plus compliqués, plus durs avec des romances, des comédies. L'autre jour, j'ai fini La Passe-Miroir qui est quand même bien corsé en terme de réflexion sur le monde, la société, tout ça. Ben je me suis lu un petit Lisa Kleypas gentillement érotique derrière et j'ai adoré aussi. C'est Régence, y'a du cul, des histoires d'amour improbables et cousues de fil blanc, OMG elle lui a donné son mouchoir et tout le monde l'a vu mais à la fin, tout va bien dans le meilleur des mondes. (Pour info, je suis en train de relire Les Trois Mousquetaires et si on décortique un peu l'intrigue, c'est pas forcément mieux, ça a juste vraiment été écrit au XIXè... sur le XVIIè!)
J'adore aussi lire des bouquins de L'école des loisirs. Certes, c'est un peu comme Gallimard Jeunesse: le haut du panier qualité en terme de bouquins pour enfants et ados. Mais c'est quand même "juste" de la jeunesse et j'aurai 35 ans cette année. D'ailleurs, je suis toujours abonnée à des magazines Bayard "pour le boulot" (je suis prof de FLE).
C'est comme jouer aux Sims alors que je suis tout à fait capable de jouer à des jeux vidéos plus qualitatifs en terme de contenu et d'objectifs.
Mais quelque soit la situation, pandémie ou non, ces livres légers (ou films, ou séries, ou jeux) ont au moins le mérite de ne pas m'empêcher de dormir, même de faire de beaux rêves en fait, et de me laisser avec un petit soupir satisfait de chat qui vient de se gorger de crème. Et pour ça, ils auront toujours ma reconnaissance éternelle.
 
3 Octobre 2015
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@Nancy Drew dis voir est-ce que tu as une saga de Lisa Kleypas à me recommander ? quand j'ai lu que c'était de la regency dans ton commentaire je me suis dit "ho tiens je vais me laisser tenter" mais elle a écrit plein de truc et je ne sais pas par quoi commencer XD merci d'avance pour la suggestion :fleur:

c'est pas tout à fait le sujet, mais perso je trouve que des oeuvres qui ne sont pas jugés intellectuelles peuvent amener à lire des classiques de littérature qui font chics en société ---> genre à 13/14 ans, j'ai lu Les Hauts de Hurlevent et Jane Eyre parce que des romans comme Twilight ou Journal d'une princesse évoquaient ces livres là dans leur histoire et ca me fait toujours rire de me dire que mes profs de français et d'anglais étaient impressionnés de lire une référence aux soeurs Brontë dans ma dissert (elles sont étudiées au lycée au Royaume Uni, mais pas du tout en France il me semble) ; Bella et Mia bavassant sur wuthering heights et jane eyre dans leurs journaux intimes m'ont permis de décrocher quelques belles notes XD
 
Dernière édition :
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Membre supprimé 357905

Guest
Mais tout à fait! C'est aussi à cause d'un roman jeunesse un peu mièvre que j'ai lu les sœurs Brontë. Sauf Jane Eyre, ça c'était grâce à Je Bouquine. D'ailleurs, quand j'y repense, je revois encore le visage de cette épouse flippante dans le feu, dans la BD du magazine!
Sinon @La Fauvette j'ai juste lu La ronde des saisons (The Wallflowers en anglais) et j'ai kiffé. J'ai moi-même été tentée par la Booktubeuse Margaud Liseuse si tu veux savoir. C'est quand même très sexy. (Ah Sebastian...)
J'ai bien envie de tenter d'autres séries d'elle mais je vais plutôt passer par la bibliothèque parce que j'ai peur d'être déçue.
Et si tu aimes les romances autour des livres (^^), je te conseille la série d'Annie Darling, La librairie des cœurs brisés. C'est vachement mieux que Jenny Colgan (qui me sort par les yeux!)
Bonne lecture! ;)
 
3 Octobre 2015
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@Nancy Drew ha m'en parle de ces images de Bertha Mason dans les flammes :non:perso c'est quand je regarde une adaptation télévisée ou ciné, j'anticipe toujours le moment où ils la mettent en scène x) je me recroqueville dans mon fauteuil en mode 'omygad pas de jump scare svp', mais bon mis à part, je trouve que c'est un personnage très intéressant de la littérature, ça me fait penser que j'ai La prisonnière des Sargasses dans ma pile à lire x)

Du coup, je vais tenter celle que tu as lu et je note pour Allie Darling parce que j'aime bien effectivement les romances autour des livres XD - même si j'ai été assez déçu par les quelques livres que j'ai lu sur le sujet jusqu'ici, d'ailleurs j'ai jamais lu Jenny Colgan (je sais pas pourquoi ses romans me toujours suscitent de la méfiance quand je les vois sur la table de libraire :eh:)

Merci pour les suggestions !
 
12 Février 2020
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Par exemple : la télé-réalité.
Les intellectuels la dénigrent (à l’exception de Luchini, ce génie), les politiques l’ignorent, les parents roulent des yeux ulcérés quand ils voient leurs enfants devant.

Soit l'époque a changé, soit je dois pas venir du même milieu, parce qu'à l'époque de Loft Story, la plupart des gamins à l'école ils regardaient...parce que leurs parents regardaient en fait :yawn:

Après de mon côté, Netflix, avec son catalogue énorme mais plutôt "bof" qualitativement, reste mon grenier à contenus pour s'évader - si je veux mater un film d'auteur (et non pas un film fait pour Netflix et estampillé auteur parce que filmé en noir et blanc) ou un film un peu vieux (autant dire, selon le catalogue Netflix, un film fait avant les années 80) il est clair que Netflix n'est pas mon premier choix.
Par contre, pour remater tout Star Trek Next Generation / Voyager, Gilmore Girls, des séries neuneus type Emily in Paris, ou pour retourner en enfance avec des films des années 90 genre Twister et Le Pic de Dante, là y a pas à dire, Netflix est là pour moi.
 

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