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Faut-il s’inquiéter pour les enfants qui ont des amis imaginaires ?
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- Initiateur de la discussion Maelle Benisty
- Date de début
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J'ai toujours des amis imaginaires même à 30 piges. Ils me permettent de réfléchir et d'extérioriser. Je viens de voir qu'il existait un article sur Madz datant de 2013.... https://www.madmoizelle.com/amis-imaginaires-temoignage-212642
Je leur parle tout le temps, sauf quand je dors évidement.
Ils n'ont pas de noms, ni d'apparences, mais ils sont là et m'aident à faire face à des trauma.
Donc, non, c'est pas grave d'avoir des amis imaginaires, suffit juste de faire la part entre le réel et l'iréel.
Je leur parle tout le temps, sauf quand je dors évidement.
Ils n'ont pas de noms, ni d'apparences, mais ils sont là et m'aident à faire face à des trauma.
Donc, non, c'est pas grave d'avoir des amis imaginaires, suffit juste de faire la part entre le réel et l'iréel.
M
Membre supprimé 350151
Guest
"Danny, le garçon du roman Shining de Stephen King adapté au cinéma par Stanley Kubrick, dialogue quant à lui avec un mystérieux Tony, beaucoup moins fun que Bing Bong."
Sauf qu'il ne dialogue pas avec un ami imaginaire.
Sauf qu'il ne dialogue pas avec un ami imaginaire.
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@RainyMood Pareil 
Ça me permet aussi de "m'entraîner" à être celle que j'aimerais être dans certaines situations stressantes (parler devant tout le monde, rencontrer des nouvelles têtes...). Le fameux "Fake it till you make it", quoi 
Ça me permet aussi de "m'entraîner" à être celle que j'aimerais être dans certaines situations stressantes (parler devant tout le monde, rencontrer des nouvelles têtes...). Le fameux "Fake it till you make it", quoi 
@RainyMood moi aussi 
. effectivement très utile pour faire face aux traumas.
cette technique est encouragée par ma psy
. S'il n'y a pas de soutien extérieur, il faut bien le créer d'une manière ou d'une autre
. effectivement très utile pour faire face aux traumas. cette technique est encouragée par ma psy
. S'il n'y a pas de soutien extérieur, il faut bien le créer d'une manière ou d'une autre
J'ai parlé "toute seule" à des "amis imaginaires" (c'est le mot évidemment mais je les appelais pas comme ça) pendant des années et aujourd'hui je continue. Ca a commencé car j'étais rejetée et je me sentais seule. Ca continue car j'ai pris l'habitude de réfléchir à voix haute et ça m'aide bcp. Comme dit plus haut à affronter des situations, à peser le pour et le contre d'un choix, à fake till you make it.
Pour répondre à la question sans avoir lu l'article, basée sur mon expérience perso, j'étais sans amis alors je m'en suis créé. Peut être que mes parents auraient pu faire différemment pour que je sois moins isolée, moins différente, moins à part. Je ne sais pas. C'est complexe
Pour répondre à la question sans avoir lu l'article, basée sur mon expérience perso, j'étais sans amis alors je m'en suis créé. Peut être que mes parents auraient pu faire différemment pour que je sois moins isolée, moins différente, moins à part. Je ne sais pas. C'est complexe
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Dernière édition :
@Khyra J'ai eu un "début de vie" idéal, bien entourée, pas de trauma particulier, et pourtant... 
Pour ma part je n'avais pas d'ami imaginaire à proprement parler, mais j'ai toujours eu la tendance à m'imaginer faire partie d'un livre et à interagir avec les personnages. Quand j'étais petite ça a longtemps été Harry Potter, par la suite ça a été le Seigneur des Anneaux, puis le Trône de Fer. Après il y en a eu plein d'autres, ça peut arriver aussi que ce soit des jeux vidéo ou des manga, ça varie tout le temps.
Aujourd'hui encore, du haut de mes 28ans, j'imagine des conversations dans ma tête avec Tyrion Lannister (je crois que c'est le plus tenace), je lui parle de politique et de l'environnement (oui je sais c'est bizarre). Pourtant j'ai des amis, une vie bien remplie, mais ça me fait du bien.
J'aime l'idée de personnes d'un autre monde, qui auraient un point de vue totalement différent sur le nôtre. Je pense que ça m'aide à gérer l'anxiété que je ressens parfois face à un monde de plus en plus bizarre, que j'ai du mal à comprendre. Imaginer la tête que ferait ces personnages quand ils apprennent qu'un monde aussi fou que le nôtre existe me permet d'en rire et de rendre tout ça moins anxiogène.
Voilà je sais pas si je suis la seule à faire ça, j'imagine que vu de l'extérieur ça doit être vraiment chelou ! Mais je pense pas que ce soit un mal.
Aujourd'hui encore, du haut de mes 28ans, j'imagine des conversations dans ma tête avec Tyrion Lannister (je crois que c'est le plus tenace), je lui parle de politique et de l'environnement (oui je sais c'est bizarre). Pourtant j'ai des amis, une vie bien remplie, mais ça me fait du bien.
J'aime l'idée de personnes d'un autre monde, qui auraient un point de vue totalement différent sur le nôtre. Je pense que ça m'aide à gérer l'anxiété que je ressens parfois face à un monde de plus en plus bizarre, que j'ai du mal à comprendre. Imaginer la tête que ferait ces personnages quand ils apprennent qu'un monde aussi fou que le nôtre existe me permet d'en rire et de rendre tout ça moins anxiogène.
Voilà je sais pas si je suis la seule à faire ça, j'imagine que vu de l'extérieur ça doit être vraiment chelou ! Mais je pense pas que ce soit un mal.
Pour ton spoiler : mais quoi ?! C'est un vrai truc ou c'est une théorie ? Ça pique ma curiosité
Et personnellement, j'avais deux à trois amis imaginaires en même temps quand j'étais enfant jusqu'à une partie avancée de l'adolescence, puis ça s'est fini car on a décidé d'un commun accord que c'était bizarre que je parle solo à voix haute comme s'ils étaient là. Depuis je parle toujours à voix haute comme si je parlais à quelqu'un (je tourne même la tête vers quelqu'un qui n'est pas là ), j'imagine que c'est la version adulte de l'ami imaginaire. Je n'ai plus l'impression d'inventer une autre personne, je parle juste et je me répond comme si j'étais plusieurs personnes. Et si quelqu'un de réel me répond ou m'interrompt, c'est le moment où je réalise ce que je fais. (Mais souvent j'adapte mon niveau de voix, genre si je suis dans la rue avec du monde autour je ne vais pas parler à voix haute comme s'il y avait vraiment quelqu'un devant moi)
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