Au début quand j'en ai entendu parler ça m'a agacée, j'ai cru qu'on aurait droit à une énième série voyeuriste et pathétique pour faire pleurer dans les chaumières sans vraiment de respect pour les victimes. Puis j'ai vu des commentaires positifs donc je me suis décidée à regarder.
Je l'ai trouvé extrêmement bien fait. Très sobre, très clair. Pas de voix off, juste les témoignages qui s'alternent avec des images (très bien choisies, très "pédagogiques" pourrait-on dire, qui ont pour but de faire comprendre et non juste de montrer). Pour ma part, ce sont les deux sur le Bataclan que j'ai trouvé insupportable, il y a tellement de témoignages et on a l'impression que ça ne finira jamais, le récit avance si vite et si lentement... c'est vraiment terrible.
C'est difficile d'en dire plus car ça prend aux tripes, mais je retiendrai l'image de ce pompier, premier arrivé sur les lieux au petit cambodge, de son expression en voyant la scène, je n'avais jamais vu cette expression, je crois que je ne pourrais pas l'oublier; et les photos des cellules de crise des politiques, tellement décalées (et au récit on a presque l'impression qu'ils n'ont eu aucun rôle à jouer) par rapport au reste.
Je l'ai trouvé extrêmement bien fait. Très sobre, très clair. Pas de voix off, juste les témoignages qui s'alternent avec des images (très bien choisies, très "pédagogiques" pourrait-on dire, qui ont pour but de faire comprendre et non juste de montrer). Pour ma part, ce sont les deux sur le Bataclan que j'ai trouvé insupportable, il y a tellement de témoignages et on a l'impression que ça ne finira jamais, le récit avance si vite et si lentement... c'est vraiment terrible.
C'est difficile d'en dire plus car ça prend aux tripes, mais je retiendrai l'image de ce pompier, premier arrivé sur les lieux au petit cambodge, de son expression en voyant la scène, je n'avais jamais vu cette expression, je crois que je ne pourrais pas l'oublier; et les photos des cellules de crise des politiques, tellement décalées (et au récit on a presque l'impression qu'ils n'ont eu aucun rôle à jouer) par rapport au reste.