Frères et soeurs : des liens qui comptent ?

29 Mai 2012
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J'ai une grande soeur de 2 ans de plus que moi, et je dois dire personnellement qu'on a pas tellement une relation fusionnelle.

Quand j'étais petite, tout allait bien on jouait ensemble dans notre chambre toute une journée parfois, on se chamaillait mais rien de grave, on ne s'est jamais battues. Elle tenait son role de grande soeur très à coeur, elle me protégeait souvent (parfois pour pas grand chose), et veillait sur moi (exemple: à noel, quand je préférais sa poupée à la mienne, elle me l'échangeait, je trouvais ça normal, acquit, mais maintenant je me rends compte que c'était très généreux de sa part, et s'est arrivé plusieurs fois)

Seulement quand elle est entrée au collège ça a changé, elle a commencé à me rabaisser, à me traiter d'asticot, de moustique, parce qu'elle grandissait (poussée de croissance). Quand elle invitait des amies à la maison elle était très froide, elle ne voulait pas que je leur parle trop; ma mère ne savait pas réellement comment réagir, elle disait que c'était normal qu'elle veuille rester avec ses amies, mais que j'avais bien le droit d'être là aussi.

Quand je suis entrée au lycée, ça a encore empirée, j'ai eus un petit ami qu'elle n'aimait pas, quand j'ai commencé à avoir des relations sexuelles elle a commencé à avoir des crises, parfois tout allait bien, elle restait un peu froide mais on s'entendait pas trop mal, et d'autre elle commençait sans grande raison à me dire des choses désagréable, et quand je me défendais elle m'insultait de tous les noms (slut shaming). Je me sentais réellement coupable, pour rien, ma mère la disputait et lui disait de me laisser tranquille, mais en même temps quand je me plaignais elle me disait que je devais comprendre, parce que selon elle, ma soeur était jalouse de moi, j'étais plus sociable, j'avais plus d'amies et en plus j'avais un copain.

Puis à l'université ça ne s'est absolument pas arrangé, elle s'est trouvé une fille vraiment géniale comme amie, elle compte beaucoup pour elle. Seulement comme moi je ne connaissais encore personne dans la ville, eh bien je restais à leur parler. Ma soeur a eut (selon moi) peur que je lui vole son amie, car je m'entendais aussi très bien avec elle. Quand elle a changé de ville à cause de ses études, elle piquait encore des crises pour rien, voyant que j'avais passé quelques heures avec son amie. Ma mère a très mal géré ça en revanche, bien sûr elle disait à ma soeur que ce n'etait absolument pas justifié, et qu'elle devait arreter, mais je me faisais également disputer parce que je passais "trop" de temps la fille. C'était assez chaotique, je ne faisais absolument rien de mal.

Maintenant, c'est moi qui reste froide avec ma soeur, je ne la remballe pas constamment, mais quand je rentre chez ma mère et qu'elle me propose un cinéma, je refuse le plus souvent. Ma mère me dit toujours de faire des efforts, mais je ne vois pas pourquoi je devrais faire beaucoup pour quelqu'un qui a passé presque plus de la moitié de sa vie maintenant à me rabaisser et à m'insulter sans raison. Elle me reprochait des choses que j'ai faite quand j'avais 2ans, autant des choses que je n'avais pas conscience de faire (et que j'avais en grande partie oublié). Je sais que ça peut paraitre égoiste mais j'en ai beaucoup souffert, donc ce n'est juste pas possible.
 
22 Novembre 2012
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"Le chercheur note une différence entre les aînés et les plus jeunes : selon ses observations, les premiers auraient généralement une tendance à être plus obéissants, plus raisonnables, et les plus jeunes seraient plus rebelles vis-à-vis de leurs familles, plus tournés vers les nouvelles expériences, et auraient une volonté de conquérir leur place. Les enfants « du mileu », eux, seraient plus diplomates – ce qui viendrait de leur double casquette : ils sont à la fois le grand et le petit."

Ce n'est pas du tout ça dans ma famille !!!

J'ai 2 grands frères, de 6 et 8 ans de plus que moi.

L'ainé est le préféré de ma mère (même si elle ne l'avouera jamais, mais on est tous sur de ça, il y a des choses qui ne trompent pas!)
Il est trés sociable depuis toujours, trés bavard, avenant, il ose plein de chose, il a toute l'admiration de mes parents.

Le cadet, est trés indépendant, avare de mots mais trés intelligent, sportif et a une volonté de fer. Par contre depuis qu'il est adulte, il a des comportements extrêmement différents avec nous (frère, soeur, parents) d'avec les autres.
Avec nous il est plutot froid (pas diplomate contrairement à ce que dit la citation!) et c'est le côté indépendant au maximum qui prend le dessus, alors qu'avec tout autre personne, il est trés jovial...

Moi je suis la benjamine... je suis réservée, obeissante et raisonnable.
Quand j'étais petite, j'étais trés proche du cadet, il s'occupait beaucoup de moi, on jouait ensemble, il m'écrivait quand on n'était pas ensemble.
On s'est "détaché" petit a petit vers la fin de son adolescence.

Avec l'ainé, je ne me suis jamais trop sentie proche. Je n'ai pas de souvenir de lui pendant ma petite enfance, je me rappelle qu'il me rejetait un peu pendant son adolescence. Ensuite il est devenu protecteur, mais avec un coté "papa" qui m'a toujours un peu dérangé, assez donneur de leçon.

Aujourd'hui je ne me sens plus du tout proche d'aucun des 2. Et ca me fait de la peine.

Le cadet est de plus en plus indépendant de nous, il répond de temps en temps à mes mails....

L'ainé a selon moi, completement changé depuis qu'il a rencontré sa femme et pris "du galon" professionnellement. Et j'ai beaucoup de mal a adhérer à la personne qu'il est devenu. On ne se parle plus, les seuls échange que nous avons, ce sont pour me demander de m'occuper des cadeaux annif/noel.
Il est trés critique vis a vis de moi. J'ai du mal a trouver du boulot et ai du revenir vivre chez mes parents depuis 2 ans, et du coup je suis une ratée profiteuse, selon selon lui.
Je suis trés comparé à lui, surtout par lui même et ma mère.
Une fois j'ai osé lui dire que j'étais peiné qu'il ne prenne jamais de mes nouvelles et il m'a envoyé chier avec des mots tres durs, qui résonnent encore dans ma tête alors que cela doit faire 3 ans... pour lui il n a rien a se reprocher car il appelle une fois par semaine ma mère et prend des nouvelles de "nous tous" par ce biais.

La famille c'est compliqué...

C'est bizarre, mais quelque part ça fait du bien de mettre à plat cela !!
 
17 Janvier 2014
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Dour (Belgique)
perchesurlabranche.wordpress.com
Je suis l'aînée d'une petite fratrie (mais d'une grande "cousinerie" : si on est 5 du côté de mon père, on passe à 14 petits-enfants du côté de ma mère, le plus jeune ayant presque 20 ans de moins que moi XD ).

J'ai un seul petit frère (ce qui n'est pas plus mal vu le loustic), avec 3 ans et demi d'écart.

A sa naissance et jusqu'à ce qu'il soit en âge de jouer avec moi (comprenez : de me piquer mes jouets ^^), j'étais la grande sœur modèle, je m'occupais de lui avec ma mère, je l'aidais à le faire manger, et même à lui mettre ses couches, du haut de mes 4 ans passés (je m'étais entraînée avec mes poupées ;) ). Je le protégeais, je lui racontais des histoires ... Je jouais vraiment à la maman avec lui au point de le gronder parfois comme ma mère le faisait avec moi.

Quand il est devenu plus grand, qu'il parlait bien, là nous avons d'abord eu une grande complicité basée sur l'envie qu'il avait de tout faire comme moi : je suçais mon pouce, alors lui aussi, je voulais faire du vélo, alors lui aussi, un vrai petit toutou, mais jusqu'à ce qu'il fasse sa crise d'ado, ça se passait très bien. C'était un mélange sain entre admiration et jalousie, et moi j'étais fière d'être un modèle pour lui (tout ça c'était inconscient à l'époque, je m'en suis rendue compte récemment en y songeant).

La crise d'ado de monsieur, par contre, a fait basculer les choses. Jusqu'à ce que je quitte la maison (il y  a un an seulement), c'est à dire pendant une dizaine d'année (ouais, THE crise d'ado qui a bien traîné) il a était hyper lunatique avec moi (et les parents aussi). Parfois on avait de supers moments de complicités (tous les deux geeks, quand on jouait à l'ordi ou que je lui demandais des conseils/aides en informatique, c'était impec), mais très (trop) souvent, juste parce qu'il avait passé une mauvaise journée, il passait ses nerfs sur moi (au point plusieurs fois de m'insulter (les mots pétasse et salope sont sortis plusieurs fois) voire de me frapper si j'étais trop près de son espace vital) et ça finissait en grosse crise familiale. Autant dire que ça fut très dur, parce que c'était le seul de ma famille qui savait pour mon orientation sexuelle mais que je n'arrivais pas à lui parler puisque, la vie étant une sale garce parfois, dès que j'en avais le besoin il était dans un mauvais jour ...

Mais depuis que je ne suis plus à la maison, les rares fois où on se voit et où on se parle, je retrouve cette belle complicité qu'on avait gamins et ça c'est plutôt cool. J'imagine que notre proximité était de trop en fait. Son admiration d'enfant a du se faire bouffer par la jalousie, ce qui ne fut pas aidé par le couvage de mes parents à son égard car même s'ils prétendent ne pas l'avoir favorisé, dans les faits ils ont été plus coulant et moins strictes avec lui qu'avec moi, sans le vouloir cela dit, mais du coup, ça a créé une rivalité entre nous. C'est la vie ^^

Maintenant, j'peux dire que mon petit frère est un pote, en fin de compte. L'avantage c'est que maintenant on se se bat plus l'un contre l'autre ;) A présent, il n'y a plus vraiment de rivalité : on a tous les deux nos compétences, dans des domaines différents (moi l'écriture et les travaux manuels, lui les maths et l'informatique) et on se complète. Et au final, on a les même goûts en matière de séries tv et de film, du coup on peut se faire de saines discussions, et étant geeks tous les deux, on a aussi le même genre de délires (et le même humour de marde aussi XD ), et on se rend vite compte qu'en fait on se ressemble beaucoup plus qu'on ne le croit.

J'avoue par contre que j'aurais adoré avoir un grand frère plutôt qu'un petit frère : étant l'aînée à la fois de mon frère mais aussi de mes cousins, je n'ai eu personne pour me protéger à l'école (et un grand frère, ça a toujours des supers copains pour quand les hormones travaillent ^^).
 
T

terrific-fluffy-bunny

Guest
4 frères et 22 cousins ici.

Je suis la plus jeune, et j'ai toujours eu 2 (voire 3, étant de fin d'année) ans d'avance sur les autres dans ma scolarité-jusqu'à la fac, du moins.

J'ai toujours été aidée par les autres, et ma mère n'ayant jamais eu le temps de s'occuper de moi, je n'ai eu quasiment aucune figure d'autorité pendant mon enfance.
Et ben devinez quoi, j'ai toujours été la fille qui s'attend à ce qu'on fasse les choses à sa place.
Aucune rigueur, paresseuse (sauf pour le sport).
L'immature qui a juste à demander "tu peux m'aider?" et c'est bon.

Cette attitude, j'essaye de m'en débarrasser; aujourd'hui j'ai 19 ans, je me prends encore à bâiller aux corneilles en attendant que quelqu'un prenne ma vie en main, révise à ma place, me dise de faire telle chose. Sans aucune autorité, je n'ai aucune discipline.

Ca m'est souvent arrivé de regarder les autres faire des trucs qui me semblaient "compliqués", des choses de personnes "matures"...
Je m'autorassurais en me disant qu'elles étaient plus vieilles donc s'y connaissaient mieux, ou bien qu'elles avaient du prendre des cours particuliers pour réussir et que donc je n'étais pas censée savoir le faire et que c'était normal que je n'en sois pas capable.
Des fois ça va loin, mais ça m'arrangeait parce que je me justifiais toute seule.


J'ai commencé à me rendre compte de l'ampleur de mon "immobilité" après une grosse dépression, je vais tenter des trucs, du style partir à l'étranger seule plusieurs mois et faire des trucs inconventionnels.
Histoire de prendre confiance et de me sentir capable.


Par contre, le truc marrant, c'est qu'on est tous des clichés dans la famille.
Le premier frère super travailleur, super sérieux;
Le deuxième déconneur, immature;
Le troisième est un peu comme moi, càd qu'il s'attend à ce qu'on s'occupe de ses affaires.
Des gros clichés.
 
Dernière édition :
13 Février 2014
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Paris
www.abagore.com
Je suis la plus grande ! J'ai un (demi) frère de presque 6 ans de moins que moi, avec qui j'ai vécus depuis sa naissance jusqu'à cette année et deux demi-frères qui vivent avec leurs mamans et que je ne connais quasi pas.

Moi je suis l'ainée donc, celle sur qui les espoirs de la maman immigrée repose *cliché1*, qui est vouée à de grandes études depuis qu'elle a l'âge de parler malgré la mère célibataire et la vie en cité *cliché2 et 3*, mais qui fait tout foirer à deux pas de la réussite scolaire et sociale. Et que j'me barre à l'autre bout du monde, me fout un piercing dans le septum, et me coupe les cheveux méga court... (j'ai pas voulu les teindre pour éviter les crises cardiaques même si le violet n'est pas bien loin)

Mon petit frère a 13 ans et je pense qu'on valide assez l'article. Lorsque j'étais la petite fille sage et 1ère de ma classe ou presque, mon petit frère était assez foireux au collège et même en primaire. J'adore lire, c'est littéralement ma vie, lui hait ça. Je suis plus tournée éclectisme musical gros penchant indé et découvertes classiques, il ne jure que par Booba et Rhoff. Je hais le foot, raffole du basket, il est accro au foot et Fifa est son dieu. Je suis d'un naturel très (trop) joyeux, il boude depuis sa naissance XD. Etc. Maintenant que je suis plus là il est tout à coup bien plus sage et raisonnable. Lorsque je l'ai revu récemment il semblait avoir prit 2 ans d'âge mental haha.

Par contre on est tout les deux méga lunatiques, coléreux, défaitistes et pessimistes, etc.
Mais aussi de gros cœurs made in marshmallows, protecteurs vis à vis de l'autre, tolérants et ouverts, avec un humour de m*rde et avec un code d'honneur non écrit entre nous (1° on se cafte pas!). On se détestait limite y a quelques petites années pour diverses raisons... Mais ça va beaucoup mieux depuis ma crise d'ado en retard et sa propre entrée dans le monde des boutonneux (héhé). Maintenant c'est bien la personne la plus importante de ma vie, et de loin, celle pour qui je ferais tout et qui compte le plus au monde pour moi.
 
17 Mai 2014
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Beaune
Merci pour cette article il est très intéressant !

Pour ma part, je suis l'aînée d'une famille de 3 enfant. J'ai 1 an et demi de différence avec mon frère et 5 ans avec ma soeur. Seulement je m'entends bien mieux avec mon frère qu'avec ma soeur ... Ces 5 années de différence apparaissent à mes yeux comme une véritable barrière empêchant une réelle entente. J'aimerais être plus complice avec elle, pouvoir lui raconter mes problèmes de filles etc ... Mais je crois qu'elle est tout simplement encore petite, pas assez mature pour partager de telle chose. A 11 ans elle reste encore avec un comportement d'enfant. Je ne souhaite pas la changer car elle grandira petit à petit mais je regrette de ne pas être aussi proche d'elle comme mes amies avec leurs soeurs. Avec mon frère c'est différent. Comme nous avons presque le même âge, on s'entend très bien !! Mais dans les situations familiales difficiles, nous sommes tout les 3 très soudés. Le mot "famille" occupe une place importante dans nos coeurs et c'est dans ces moments là que je sais que je tiens à eux et qu'eux tiennent à moi ...! Même si il n'est pas toujours visible, le lien fraternel est une véritable arme pour lutter contre la tristesse, l'angoisse. Je ne me vois pas vivre sans mon frère et ma soeur !<3
 
31 Octobre 2012
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Article très intéressant ! Je retrouve certaines caractéristiques dans ma famille.

Nous sommes 6 enfants : 3 garçons, puis 3 filles, assez rapprochés en âge (32-30-28-24-21-18 ans). Je suis la 4ème, mais je suis la première fille, donc quand je parle de ma fratrie je me sens toujours obligée de dire "je suis la 4ème mais l'aînée des filles!" car cela engendre deux situations différentes.

-Mes grands-frères ont tous fait des études scientifiques, et je me suis naturellement penchée vers ça, j'aime beaucoup les sciences, et mes parents m'ont encouragée dans cette voie. Mais j'étais aussi beaucoup plus disciplinée, un peu asociale et j'avais de meilleurs résultats scolaires qu'eux. J'étais une version "améliorée" quoi. De toute la fratrie je suis celle qui était "la meilleure".... Combien de fois ont-ils dit à des amis "au moins avec elle on n'a pas de problème, on ne s'inquiète pas" ce qui me mettait la pression mine de rien !

-Mais être la première des filles a fait que je devais donner l'exemple, et étant obéissante et sage ce n'était pas dur. Par contre mes petites soeurs ont toujours été comparées à moi. La première a été assez rebelle pendant l'adolescence, est était très populaire contrairement à moi. Lorsqu'elle est arrivée au lycée (j'étais en terminale) je suis passée de l'anonyme à "la soeur de X". Mais pour la dernière c'est dur car c'est la seule à ne pas faire de carrière scientifique, à avoir redoublé deux fois, et couvée par mes parents ceux-ci ne veulent pas admettre qu'elle grandit et cela l'empêche d'être mature et de s'épanouir.

Bref c'est compliqué.

Mais mes frères et soeurs et moi on s'adore, on garde contact bien qu'on vive tous nos petites vies, et quand on se retrouve tous (ce qui est très rare) c'est la fête !!!
 
17 Mai 2014
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Paris
Pour ma part mes frères et sœurs (demi-frères et demi-sœurs pour être exacte mais qui a besoin de préciser ??) sont vraiment très l'importants et je les aime vraiment et c'est réciproque.
Un simple exemple : pour le petit dernier, donc le sixième (ouais j'avais déjà l'habitude pourtant) lorsque je l'ai appris, ça m'a pas empêcher de fondre en larmes (des grosses avec un paquet de mouchoir et tout XD) et certainement pas parce que j'en voulais pas ^^  et y  a rien de mieux quand je vais chez eux pendant les vacances que de les voir courir pour se jeter dans tes bras ^^
 
12 Février 2014
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rainbowunicornkitty.com
Je trouve ça super triste les gens qui se sont retrouvés séparés de leurs frères/soeurs ou qui ne connaissent pas bien leurs demi-frères/soeurs :sad: pareil pour ceux qui ne s'entendent pas, j'arrive pas à concevoir je crois XD

Moi je n'ai qu'un petit frère (j'aurais aimé en avoir + mais bon :d) on a 10,5 ans d'écart et comme mes parents bossent beaucoup, je me suis énormément occupée de lui quand il était petit et j'adorais ça. Du coup j'ai de l'entraînement pour plus tard !

Maintenant il a 14 ans et on arrive à trouver un centre d’intérêt commun avec les jeux vidéos et les séries américaines, c'est sympa.
 
3 Avril 2007
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saint maximin
J'envie beaucoup les fratries qui s'entendent bien, qui sont proches. Moi je n'ai qu'un frère, il n'est pas beaucoup plus vieux que moi (4 ans d'écart), et comment dire… il pourrait mourir demain que ça me laisserait complètement indifférente. Peut-être même que je ressentirais une sorte de soulagement. D'ailleurs je ne l'appelle jamais, et après tout ce qu'il m'a fait je ne vois pas pourquoi je le ferai.

Je ne vais pas étaler ma vie ici, mais vraiment j'aurais tellement adoré avoir un frère gentil, aimable et aimant, poli, calme et tolèrent. Mais malheureusement on ne choisi pas sa famille, et mon frère est hélas le plus gros con que je connaisse (sexiste, homophobe, intolérant, très agressif/violent, vulgaire, profondément méchant et désagréable, bref un vrais cadeau du ciel en somme).

J'aurais tellement aimé savoir ce que c'est que d'être proche de son frère, mais je ne connaîtrais jamais ça... et ça me désole beaucoup.
 
18 Mai 2014
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Mon petit frère et moi étions très proches j'ai pratiquement élever mon frère j'ai tout donner pour lui et malheureusement j'ai fait une fausse couche le pire moment de ma vie et depuis ce jour je n'est plus de nouvelle de lui il a même dit qu'il ne voulais plus entendre parler de moi et sa sa fait mal..... j'irais jamais pensée sa....
 
18 Mai 2014
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Mon petit frère et moi étions très proches j'ai pratiquement élever mon frère j'ai tout donner pour lui et malheureusement j'ai fait une fausse couche le pire moment de ma vie et depuis ce jour je n'est plus de nouvelle de lui il a même dit qu'il ne voulais plus entendre parler de moi et sa sa fait mal..... j'irais jamais pensée sa....
 

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