Je t'envoie de l'amour, des fleurs et des câlins. Tu es très forte
Je voudrais rappeler que céder n'est pas consentir: le consentement est un choix libre, si une personne cède à une contrainte ce n'est pas le cas. Une pression psychologique c'est une contrainte. Elle ne laisse pas le choix à la victime et avoir le choix d'accepter ou de refuser c'est le principe du consentement. A partir du moment où on dénie son humanité à la victime, où on ne prend pas en compte son non-consentement il y a harcèlement, agression sexuelle ou viol. Et le non-consentement ce n'est pas seulement dire non, ne rien dire ce n'est pas consentir non plus. Consentir c'est exprimer de façon libre son accord.Donc si elle répond "non" mais fait l'inverse en cédant
Il peut y avoir un nombre énorme de réponses possibles: "Je l'ai allumé, peut-être que je lui dois quelque chose" "Je veux juste qu'il arrête de me mettre la pression" "C'est mon copain après tout" ectPourquoi cette femme as t-elle cédé?
La différence c'est que dans la sexualité il y a déjà une forme de pression qu'on enseigne aux femmes. Je n'ai pas le courage de développer parce que tout ça me rend tristesi vos enfants vous tannent toute la semaine pour aller à Disneyland, et qu'à la fin vous acceptez, c'est vous la responsable, vous prenez une décision en leur sens sans aucune autre forme de contrainte que la leur.
Vous aussi, apprenez ce qu'est un vrai viol. Vous ne remplissez pas les conditions ci-dessus? Ce n'était pas une vraie contrainte, et donc pas un """"vrai"""" viol. Ou comment illustrer la double violence que vivent certaines victimes.En revanche , si ont vous y oblige par exemple en vous collant un flingue sur la tempe, ou par du chantage, là il y a une vrai contrainte qui fait que vous n’êtes plus responsable de vos actes.
Non, le consentement à contre-coeur ce n'est pas du consentement. C'est aussi simple que çaC'est là qu'il faut faire la distinction entre le non- consentement, et le consentement à contre-cœur.
Consentir à contre cœur à une relation sexuelle n'est pas pas un viol