Cb36;2552005 a dit :Je suis tout a fait d'accord et cela ne contredit pas ma phrase. Virginie Despente est une femme, qui dégomme peut être les codes du genre femme tels qu'on les connait mais ça n'en reste pas moins une femme, et c'est tout ce que le livre nous dit aussi. Bref, je suis d'accord avec la remarque j'aurais pu être plus claire la dessus.
Quant a insister sur son discours, la c'est subjectif pour ma part plus je m'y attarde (a la forme) moins mes amies pretent attention au fond ce qui est bien dommage...et puis le choix du discours de Despentes dans King Kong n'est pas propre a cet essai donc pourquoi y revenir quand cette non fiction a bien plus a offrir en termes d'idées...
Je prends note de la remarque. Même si je reste un peu persuadée que dans une revue, il faut essayer de donner l'envie et ne pas tout déballer. J'essaierai d'y faire plus attention à l'avenir
Pour le débat fond/forme, le souci vient plutôt de tes amis. On ne va pas se "contenter" du fond (même s'il est très important) juste pour être sûre que l'effort soit fait par tous. En tout cas, ça n'est pas ma façon d'envisager les choses et je crois que j'aimerais beaucoup moins lire si chaque auteur se mettait à écrire avec les pieds, aussi fort soit le message à faire passer.